Dans la psychologie analytique développée notamment par le psychiatre suisse Carl Gustav Jung, la synchronicité est l'occurrence simultanée dans l'esprit d'un individu d'au moins deux événements mentaux qui ne présentent pas de lien de causalité physique, mais dont l'association prend un sens pour la personne qui les perçoit. Cette notion s'articule avec d'autres notions de la psychologie jungienne, comme celles d'archétype et d'inconscient collectif.
La théorie de la synchronicité de Jung est aujourd'hui considérée comme pseudo-scientifique, du fait qu'elle ne s'appuie pas sur des preuves expérimentales. Les critiques apportent des explications issues des connaissances générales de la théorie des probabilités et de la psychologie humaine.
Selon la conception jungienne, la notion de synchronicité est à resituer dans le contexte d'un inconscient collectif constitué d'archétypes. Jung s'intéressait aux « thèmes » ou motifs archétypiques qui s'activaient chez ses patients. Il observait que s'organisent dans la vie des personnes des événements autour d'un thème de manière que la personne se sente « prise » dedans. Avec ce regard attentif à la dimension archétypique de toute vie, Jung dit avoir constaté l'occurrence de certaines « symétries ou correspondances » entre ce que vit et éprouve un individu avec des événements de la réalité concrète. Plus précisément, les synchronicités renvoient dès lors pour Jung et ceux qui ont prolongé sa pensée à des coïncidences qui frappent l'individu comme profondément porteuses de sens.
Ce qui est commun entre l'éprouvé personnel et l'événement externe renvoie selon cette conception au « thème » ou motif archétypique qui se manifeste de cette manière. Jung considère qu'.
Sur le plan de l'expérience, la rencontre avec un événement synchronistique a un tel degré de signifiance pour la personne, mais surtout apparaît d'une manière si troublante pour le sens commun (malgré le sens qu'il revêt, ou à cause du sens qu'il revêt, pourrait-on tout autant dire), que la personne s'en trouve transformée.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
«Unearthing Traces» proposes to explore memory processes, power structures in archival practices in relation to built environments and
material traces, providing an interdisciplinary frame allowing fo
Explore les fondamentaux des interactions d'échange, y compris l'échange intra-atomique et inter-atomique, le couplage spin-orbite et le couplage Dzyaloshinskii-Moryia.
La précognition (du préfixe latin prae-, «avant, devant», marquant l'antériorité temporelle, et cognitio « action d'apprendre à connaître ; connaissance ») est la connaissance d'informations concernant des événements et des situations futures acquise autrement que par déduction logique, et selon des modalités inexpliquées scientifiquement. La précognition fait partie des perceptions extra-sensorielles. En dehors de la psychologie transpersonnelle, le quatrième courant de la psychologie, l'hypothèse de son existence ne recueille que peu d'échos au sein de la communauté scientifique et de la communauté religieuse.
Dans la psychologie analytique développée notamment par le psychiatre suisse Carl Gustav Jung, la synchronicité est l'occurrence simultanée dans l'esprit d'un individu d'au moins deux événements mentaux qui ne présentent pas de lien de causalité physique, mais dont l'association prend un sens pour la personne qui les perçoit. Cette notion s'articule avec d'autres notions de la psychologie jungienne, comme celles d'archétype et d'inconscient collectif.
thumb|upright=1.5|Allégorie alchimique extraite de l'Alchimie de Nicolas Flamel, par le Chevalier Denys Molinier () et représentant les énergies conscientes et inconscientes se combinant pour guérir la personnalité.|alt=Allégorie alchimique (extraite de l'ouvrage Alchimie de Nicolas Flamel, par le Chevalier Denys Molinier ) représentant le caducée : bâton rouge surmonté d'un casque muni d'ailes (celui du dieu Hermès, patron des guérisseurs) et autour duquel s'enroulent deux serpents qui finissent par former une seule et même figure.