Le peuple atayal (泰雅) sont l’un des aborigènes de Taïwan qui sont officiellement reconnus par la République de Chine. Ils parlent des langues du sous-groupe formosan des langues austronésiennes. Les Atayals sont près de et peuvent se subdiviser en deux sous-groupes linguistiques divisés eux-mêmes en plusieurs sous-groupes. Les deux principaux groupes linguistiques sont le seediq et l’atayal stricto sensu.
Le seediq se divise lui-même en trois dialectes (le paran, le taroko et le tduya) alors que l’atayal peut être divisé en deux dialectes majeurs (le sqoleq et le tso’le).
Le groupe des Trukus, comme douzième groupe, est apparenté aux Atayals (plus précisément aux Seedeqs) mais ils ont tout de même été reconnus comme groupe indépendant.
Traditionnellement, la société atayale est une société patrilinéaire monogame. Les relations sexuelles avant le mariage sont interdites ainsi que les relations sexuelles avec des proches parents jusqu’à un certain degré de parenté. Les jeunes sont libres de choisir leur partenaire, mais le consentement des deux familles est obligatoire pour que le mariage ait lieu. C’est au jeune homme qu’il incombe d’aller demander la main de la jeune fille à la famille de celle-ci, et de la convaincre de l’accepter. Après le mariage. l’homme doit quitter la maison familiale.
Les défunts étaient enterrés à l’intérieur de l’habitation, mais cette pratique fut interdite par les Japonais après l’occupation de l’île en 1913 et depuis lors, l’enterrement se fait en dehors de la maison.
Il n’y avait pas de chef de village chez les Atayals : un chef était élu lorsque la nécessité s’en faisait sentir, que ce soit pour des raisons culturelles ou conflictuelles...
Lors de la colonisation japonaise, les Japonais déterminèrent un chef de village afin de plus facilement contrôler la population en ayant un interlocuteur direct. Ce système est par la suite devenu héréditaire.
vignette|upright|Femme Atayal – période de l’occupation japonaise.
Les premiers tatouages se faisaient vers l’âge de et les suivants vers l’âge de lorsque les jeunes gens arrivaient à l’âge adulte.
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thumb|Une carte postale japonaise représentant une famille Truku. Les Truku (chinois : 太魯閣) sont l'un des aborigènes de Taïwan, officiellement reconnus par la République de Chine. Ils vivent dans la région de Taroko. Ils parlent le seediq, également appelé truku ou taroko, une langue du sous-groupe formosan des langues austronésiennes. Ils sont près de individus. Projet d'archives linguistiques de l'académie de Sinica austronesia web Site gouvernemental Digital Museum of Taiwan Indigenous Peoples, introduct
On appelle Austronésiens les membres des populations parlant des langues austronésiennes. Un usage plus ancien est celui de malayo-polynésiens, mais aujourd’hui, l’expression « langues malayo-polynésiennes » ne désigne plus que l'une des branches de la famille austronésienne, quoique de loin la plus nombreuse ( sur un total de austronésiennes). Certains chercheurs utilisent, comme équivalent de malayo-polynésien, le terme de « nusantarien » (de nusantara, ancien mot javanais signifiant « îles de l’extérieur », qui désignait à l'origine les îles de l’archipel indonésien autres que Java).
Les Seedeqs ou Seediqs (), également appelés taroko, sont l’un peuples aborigènes de Taïwan officiellement reconnus par la République de Chine. Ils parlent des langues du sous-groupe formosan, notamment le seediq. En 2019, ils sont près de . Ils sont principalement situés autour de Hualien, sur la côte Est de Taïwan et vivaient dans ce qu'est devenu le parc national de Taroko. Les Seediq vivaient dans les montagnes de Wushe avant la colonisation japonaise de l'île de Formose en 1895.