Mangavignette|Magasin de mangas au Japon en 2004. vignette|Rayon de mangas.|alt= vignette|Stand Kurokawa, Les Misérables et d'autres mangas au Salon du livre de Paris, 2015.|alt= Un est une bande dessinée japonaise. La plupart des mangas se conforment à un style développé au Japon à la fin du , alors que la forme a une longue préhistoire dans l'art japonais antérieur. Au Japon, le terme manga désigne plus généralement la bande dessinée, quelle que soit son origine.
Man'yōshūLe est la première anthologie de waka, poésie japonaise datée des environs de 760. Le Man'yōshū est la première anthologie de waka, poésie japonaise, et date des environs de 760. Elle contient (répartis en ) du au sur divers sujets tels que la nature, l'amour, les voyages, et s'alimente des traditions légendaires nationales. La compilation comprend 265 , , 62 , 1 , 1 , 4 et 22 passages en prose chinoise. Les poèmes sont écrits en man'yōgana mais ont par la suite été adaptés en japonais moderne.
Han (Japon)Les ou domaines étaient des unités administratives correspondant aux territoires des fiefs des daimyos du Japon. Ce système fut créé par Toyotomi Hideyoshi et a existé jusqu'à son abolition en 1871, trois ans après la restauration de Meiji. Le nombre de han varia ; il y en avait approximativement 300 durant la période Edo. La plupart étaient dirigés par un daimyo avec un territoire correspondant à ou plus. Le daimyo jurait fidélité au shogun. Parfois, un daimyo puissant laissait un homme gouverner un domaine de plus de .
Guerre de BoshinLa est une guerre civile japonaise qui débuta en sous le règne de l'empereur Meiji, quelques mois après la restitution du pouvoir suprême à l'empereur, et qui se poursuivit jusqu'en . Elle vit principalement s'affronter, d'une part, les armées des clans de Satsuma, de Chōshū, de Tosa et leurs alliés, proches de l'empereur et, d'autre part, les troupes appartenant au gouvernement shogunal d'Edo et les clans qui lui restèrent fidèles.
Japanese traditional danceJapanese traditional dance describes a number of Japanese dance styles with a long history and prescribed method of performance. Some of the oldest forms of traditional Japanese dance may be among those transmitted through the kagura tradition, or folk dances relating to food producing activities such as planting rice (dengaku) and fishing, including rain dances. There are large number of these traditional dances, which are often subfixed -odori, -asobi, and -mai, and may be specific to a region or village.
KojikiLe est un recueil de mythes concernant l’origine des îles formant le Japon et des kamis, divinités du shintoïsme. Avec le Nihon shoki, les légendes contenues dans le Kojiki ont inspiré beaucoup de pratiques et de croyances du shintoïsme. Il est généralement considéré comme le plus ancien écrit japonais existant encore de nos jours et est entièrement écrit en langue japonaise, en caractères chinois. vignette|Édition française du Kojiki. Le Kojiki est une compilation des récits du conteur Hieda no Are par le chroniqueur Ō no Yasumaro, sur l’ordre de l’impératrice Genmei.
NôLe théâtre nô ou est un des styles traditionnels du théâtre japonais venant d'une conception religieuse et aristocratique de la vie. Le nō allie des chroniques en vers à des pantomimes dansées. Arborant des costumes somptueux et des masques spécifiques (il y a 138 masques différents), les acteurs jouent essentiellement pour les shoguns et les samouraïs. Le théâtre nō est composé de drames lyriques des , au jeu dépouillé et codifié. Ces acteurs sont accompagnés par un petit orchestre et un chœur.
Kobevignette|Vue de la ville de Kobe, au Japon, depuis son port. On peut voir à gauche la Kōbe Pōto Tawā (Kobe Port Tower ou tour du port de Kobe), lieu touristique achevé en 1963, l'un des éléments marquants de la ville, et plus bas à droite le musée maritime, qui retrace l'histoire maritime japonaise en général et celle du port de Kobe en particulier. Novembre 2016. « porte des esprits (ou des dieux) », également orthographié Kobé, est la capitale ainsi que la plus grande ville de la préfecture de Hyōgo, située sur l'île de Honshū proche d'Osaka.
Rangakuvignette|Rencontre entre le Japon, la Chine et l'Occident, de Shiba Kōkan, fin du . Les , signifiant littéralement « études néerlandaises » et par extension « études occidentales ») sont une discipline d'analyses développées par le Japon lors de ses contacts avec les Néerlandais de l'île de Dejima, par le biais desquelles il a pu découvrir les technologies et la médecine du monde occidental à une époque où le pays était replié sur lui-même, fermé aux étrangers, de 1641 à 1853, en raison de la politique isolationniste du shogunat Tokugawa (voir sakoku).
Région du KantōLa est une division géographique de Honshū, l'île principale du Japon. Les limites de la région du Kantō comprend non seulement la plaine de Kantō, qui ne représente que 40 % environ de sa superficie, mais aussi les zones périphériques formées des collines et montagnes bordant la plaine. Le nom de Kantō fait référence à la région située à l' du de Hakone ; Kantō signifie littéralement l'est de la barrière, en référence aux points de contrôle ou aux barrières qui étaient placés, pendant la période Edo, sur la route de Tōkaidō (qui reliait Edo à Kyoto).