Muscle weaknessMuscle weakness is a lack of muscle strength. Its causes are many and can be divided into conditions that have either true or perceived muscle weakness. True muscle weakness is a primary symptom of a variety of skeletal muscle diseases, including muscular dystrophy and inflammatory myopathy. It occurs in neuromuscular junction disorders, such as myasthenia gravis. Muscle weakness can also be caused by low levels of potassium and other electrolytes within muscle cells.
SpasmeEn médecine, un spasme est toute forme de contraction musculaire involontaire. Un tonus musculaire anormalement élevé localement, de manière durable et même sans mouvement peut également être une manifestation de spasticité. Il s'agit donc d'un ensemble de phénomènes très différents les uns des autres, tant dans leurs causes que dans leurs manifestations. Il peut toucher tous les types de muscle : les muscles striés crampe, myoclonies, convulsions, clonus, tétanies les muscles lisses : spasme gastro-intest
SpasticitéExagération du réflexe myotatique, la spasticité consiste en un étirement rapide d'un muscle qui entraîne trop facilement sa contraction réflexe qui dure un certain temps. Une spasticité est présente jusque dans un tiers des accidents vasculaires cérébraux et jusqu'à 2/3 des patients ayant une sclérose en plaques. Typiquement, elle se décrit comme une résistance involontaire à un mouvement imposé, cette résistance augmentant avec la vitesse du mouvement.
Traumatisme médullaireUn traumatisme médullaire ou traumatisme de la moelle épinière (ou moelle spinale) met en jeu le pronostic vital immédiat ou retardé. Il est à l'origine de troubles moteurs et sensitifs, et de troubles des fonctions neuro-végétatives. La médicalisation systématique et les progrès de la prise en charge pré-hospitalière ont permis d'améliorer considérablement la survie de ces blessés. L'évolution des connaissances, notamment dans la physiopathologie des lésions cellulaires, fait proposer régulièrement de nouvelles attitudes thérapeutiques, parfois controversées.
Plaque motriceLa plaque motrice est une zone spécialisée de la membrane des cellules musculaires squelettiques comprenant des récepteurs cholinergiques. Elle fait partie de la jonction neuromusculaire et permet la réception de l’acétylcholine, neurotransmetteur libéré par le motoneurone dans la fente synaptique. À l'entrée d'un muscle, le motoneurone se ramifie et forme une terminaison axonale accolée à la fibre musculaire qu'il innerve. La terminaison axonale et la plaque motrice constituent ensemble la jonction neuromusculaire.
Contraction musculaireLa contraction musculaire résulte de la contraction coordonnée de chacune des cellules du muscle. Il existe quatre phases au cours de la contraction d'une cellule musculaire « type » : l'excitation ou la stimulation qui correspond à l'arrivée du message nerveux sur la fibre musculaire ; le couplage excitation-contraction qui regroupe l'ensemble des processus permettant de transformer le signal nerveux reçu par la cellule en un signal intracellulaire vers les fibres contractiles ; la contraction proprement dite ; la relaxation qui est le retour de la cellule musculaire à l'état de repos physiologique.
MotoneuroneLes motoneurones constituent la voie de sortie du système nerveux central ou la voie finale de tout acte moteur. Les corps cellulaires des motoneurones sont situés soit dans le tronc cérébral, soit dans la corne ventrale de la substance grise de la moelle épinière. Chaque motoneurone possède un axone qui part du système nerveux central pour innerver les fibres musculaires d'un muscle. L'ensemble constitué par un motoneurone et les fibres musculaires qu'il innerve constitue une unité motrice.
Muscle squelettiqueLes muscles squelettiques sont les muscles sous contrôle volontaire du système nerveux central. Le corps humain comprend environ 570 muscles présents chez tous les individus sains. Leur corps contient des vaisseaux sanguins, des nerfs, des organes sensoriels, du tissu conjonctif commun, et des cellules musculaires. En microscopie photonique (ou optique), ils présentent une double striation longitudinale et transversale. La science du muscle est la myologie. Les myoblastes sont les cellules précurseurs des muscles.
Infirmité motrice cérébraleL'infirmité motrice d'origine cérébrale (IMC ou IMOC) a été définie en 1955 par le professeur Guy Tardieu comme étant une infirmité motrice due à des lésions survenues durant la période périnatale. Aujourd'hui, on utilise plus fréquemment le terme de « paralysie cérébrale ». Les sujets souffrant d'affections neurologiques dégénératives ou de retards moteurs liés à une déficience intellectuelle ne peuvent donc pas être considérés comme IMOC. Il s'agit d'un état pathologique (non évolutif) non héréditaire comportant diverses atteintes neurologiques.