Corresponding sides and corresponding anglesIn geometry, the tests for congruence and similarity involve comparing corresponding sides and corresponding angles of polygons. In these tests, each side and each angle in one polygon is paired with a side or angle in the second polygon, taking care to preserve the order of adjacency. For example, if one polygon has sequential sides a, b, c, d, and e and the other has sequential sides v, w, x, y, and z, and if b and w are corresponding sides, then side a (adjacent to b) must correspond to either v or x (both adjacent to w).
Quadrilatère de LambertEn géométrie, un quadrilatère de Lambert, du nom de Jean-Henri Lambert, est un quadrilatère ayant trois angles droits. Historiquement, Lambert espérait pouvoir démontrer (à l'aide des axiomes d'Euclide à l'exception de l'axiome des parallèles) qu'un tel quadrilatère était un rectangle (démontrant ainsi l'axiome des parallèles), mais il semble s'être convaincu que la chose était impossible, obtenant ainsi les premiers résultats de géométrie hyperbolique, et en particulier la formule donnant l'aire d'un triangle en fonction de ses trois angles.
Fonction de plusieurs variables complexesLa théorie des fonctions de plusieurs variables complexes est une branche des mathématiques traitant des fonctions à variables complexes. On définit de cette manière une fonction de Cn dans C, dont on peut noter les variables . L'analyse complexe correspond au cas . H. Cartan: Théorie élémentaire des fonctions analytiques d'une ou plusieurs variables complexes. Hermann, Paris, 1961. C. Laurent-Thiébaut : Théorie des fonctions holomorphes de plusieurs variables. EDP Sciences, 1997. V.S.
Perspective (représentation)vignette|Effet de perspective dans Ulysse remet Chryséis à son père du Lorrain, vers 1644. La perspective est l'ensemble des techniques picturales destinées à représenter les trois dimensions d'un objet ou d'une scène par une sur une surface plane. Les techniques de perspective utilisent certains des indices qui fondent la perception de la profondeur. L'enseignement la décompose en perspective linéaire, technique du dessin et de la géométrie des contours, et en perspective aérienne, technique picturale qui s'intéresse au rendu des objets lointains.
Saccheri quadrilateralA Saccheri quadrilateral is a quadrilateral with two equal sides perpendicular to the base. It is named after Giovanni Gerolamo Saccheri, who used it extensively in his 1733 book Euclides ab omni naevo vindicatus (Euclid freed of every flaw), an attempt to prove the parallel postulate using the method reductio ad absurdum. Such a quadrilateral is sometimes called a Khayyam–Saccheri quadrilateral to credit Persian scholar Omar Khayyam who described them in his 11th century book Risāla fī šarḥ mā aškala min muṣādarāt kitāb Uqlīdis (Explanations of the difficulties in the postulates of Euclid).
Mathématiques mésopotamiennesthumb|250px|Photographie de la tablette YBC 7289 annotée. Les nombres écrits dans le système babylonien donnent la racine carrée de 2 avec quatre chiffres sexagésimaux significatifs, soit près de six chiffres décimaux :1 + 24/60 + 51/602 + 10/603 = 1,41421296... (crédit : Bill Casselman). Les mathématiques mésopotamiennes sont les mathématiques pratiquées par les peuples de l'ancienne Mésopotamie (dans l’Irak actuel), depuis l'époque des Sumériens jusqu'à la chute de Babylone en .
Géométrie discrèteLa géométrie discrète est une branche de la géométrie. On parle de géométrie discrète pour la distinguer de la géométrie « continue ». Tout comme cette dernière, elle peut être analytique, les objets sont dans ce cas décrits par des inéquations. Un exemple simple : la géométrie continue en deux dimensions permet de définir des droites, des cercles dans un plan. Ces objets sont des ensembles de points qui sont des couples de nombres réels.
Projection (mathematics)In mathematics, a projection is an idempotent mapping of a set (or other mathematical structure) into a subset (or sub-structure). In this case, idempotent means that projecting twice is the same as projecting once. The restriction to a subspace of a projection is also called a projection, even if the idempotence property is lost. An everyday example of a projection is the casting of shadows onto a plane (sheet of paper): the projection of a point is its shadow on the sheet of paper, and the projection (shadow) of a point on the sheet of paper is that point itself (idempotency).
Congruence (géométrie)En géométrie euclidienne, la congruence est une relation sur l'ensemble des parties de l'espace considéré : deux ensembles de points sont dits si l'un est l' de l'autre par une isométrie (une bijection qui conserve les distances). De manière moins formelle, deux figures sont congruentes si elles ont la même forme et la même taille, mais ont des positions respectives différentes. La congruence est une relation d'équivalence plus fine que la similitude : par exemple, deux triangles isométriques sont toujours semblables.
Similitude (géométrie)En géométrie euclidienne, une similitude est une transformation qui multiplie toutes les distances par une constante fixe, appelée son rapport. L' de toute figure par une telle application est une figure semblable, c'est-à-dire intuitivement « de même forme ». thumb|300px|Dans ce dessin, les objets de même couleur sont semblables. Les isométries, c'est-à-dire les transformations qui conservent les distances sont des cas particuliers de similitudes ; elles transforment des figures en des figures de même forme et de même taille.