In phonetics, a nasal, also called a nasal occlusive or nasal stop in contrast with an oral stop or nasalized consonant, is an occlusive consonant produced with a lowered velum, allowing air to escape freely through the nose. The vast majority of consonants are oral consonants. Examples of nasals in English are [n], [ŋ] and [m], in words such as nose, bring and mouth. Nasal occlusives are nearly universal in human languages. There are also other kinds of nasal consonants in some languages.
Nearly all nasal consonants are nasal occlusives, in which air escapes through the nose but not through the mouth, as it is blocked (occluded) by the lips or tongue. The oral cavity still acts as a resonance chamber for the sound. Rarely, non-occlusive consonants may be nasalized.
Most nasals are voiced, and in fact, the nasal sounds [n] and [m] are among the most common sounds cross-linguistically. Voiceless nasals occur in a few languages such as Burmese, Welsh, Icelandic and Guaraní. (Compare oral stops, which block off the air completely, and fricatives, which obstruct the air with a narrow channel. Both stops and fricatives are more commonly voiceless than voiced, and are known as obstruents.)
In terms of acoustics, nasals are sonorants, which means that they do not significantly restrict the escape of air (as it can freely escape out the nose). However, nasals are also obstruents in their articulation because the flow of air through the mouth is blocked. This duality, a sonorant airflow through the nose along with an obstruction in the mouth, means that nasal occlusives behave both like sonorants and like obstruents. For example, nasals tend to pattern with other sonorants such as [r] and [l], but in many languages, they may develop from or into stops.
Acoustically, nasals have bands of energy at around 200 and 2,000 Hz.
The symbol n is commonly used to represent the dental nasal as well, rather than n̪, as it is rarely distinguished from the alveolar nasal.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
En phonétique articulatoire, une consonne latérale, ou par souci de concision latérale, est une consonne qui nécessite pour sa réalisation l'écoulement de l'air par un canal latéral (parfois bilatéral) formé par l'affaissement de l'avant de la langue et le contact de son dos avec le palais. La plupart des latérales sont des spirantes, mais d'autres sont aussi des fricatives. Le français comporte aujourd'hui une seule latérale : (lait). Il en a jadis compté une seconde : , écrite -il(l) comme dans soleil, feuille, mais elle est devenue la semi-voyelle depuis le .
En phonologie, domaine de la linguistique, un phonème est la plus petite unité discrète (ou distinctive, c'est-à-dire permettant de distinguer des mots les uns des autres) que l'on puisse isoler par segmentation dans la chaîne parlée. Un phonème est en réalité une entité abstraite, qui peut correspondre à plusieurs sons. Il est en effet susceptible d'être prononcé de façon différente selon les locuteurs ou selon sa position et son environnement au sein du mot (voir allophone) : les phones sont les différentes réalisations d'un phonème.
Une consonne occlusive, momentanée ou, plus concisément, une occlusive, en phonétique articulatoire, est une consonne dont le mode d'articulation fait intervenir un blocage complet de l'écoulement de l'air au niveau de la bouche, du pharynx ou de la glotte, suivi d'un relâchement soudain de ce blocage. Dans le cas de consonnes orales, l'écoulement de l'air est complètement arrêté (phase d'occlusion) et provoque donc une différence de pression entre l'amont et l'aval du lieu d'articulation.
Confusion matrices and truncation experiments have long been a part of psychoacoustic experimentation. However confusion matrices are seldom used to analyze truncation experiments. A truncation experiment was conducted and the confusion patterns were analy ...
We make a case for ‘synthetic clear speech’ in the context of the persons with hearing impairment. We study the acoustic attributes of ‘clear speech’ that enable us to understand their importance in speech perception. Our perception experiments are motivat ...