Camionnette d'un groupe uyoku.|300px|thumb
est un terme générique qui désigne divers groupes japonais ultra-nationalistes parmi lesquels on trouve le groupe . Ces groupes demeurent marginaux au Japon mais assurent une présence fréquente dans les grandes villes japonaises où l'on peut voir des camionnettes noires appelées munis de haut-parleurs appelant les gens à se joindre à leurs idées et jouant le Kimi Ga Yo.
Certains groupes uyoku sont affiliés aux organisations criminelles des Yakuzas.
Traditionnellement axé contre le communisme et les pays liés à cette doctrine, comme la Chine et la Corée du Nord, ainsi que le syndicalisme, ce mouvement compte également des groupes de la hostiles aux États-Unis et à l'attitude de leur gouvernement face à ce pays. Ces groupes s'opposent généralement à ce qu'ils appellent le « masochisme historique » et prônent la révision des cours et manuels d'histoire.
Il existe différents points de ralliement, par exemple le sanctuaire de Yasukuni à Tokyo, mais également les sanctuaires gokoku (護国神社, gokoku-jinja) honorant les soldats morts au front, que les groupes uyoku ont récupéré à des fins politiques.
Les groupes uyoku prônent :
un militarisme exacerbé ;
la restauration d'un sentiment national fort ;
la restitution des territoires spoliés par l'URSS à l'issue de la guerre de la Grande Asie orientale ;
le respect envers les personnes ayant influencé et réalisé l'expansionnisme du Japon Showa ;
la dénonciation des procès menés par les tribunaux alliés comme le Tribunal de Tokyo et l'apologie des ;
la suppression de l'article 9 de la Constitution japonaise empêchant le Japon de disposer d'une armée réelle en lieu et place des Forces japonaises d'autodéfense.
Révisionnisme au Japon
Netto uyoku, internautes de droite japonais
Kazutaka Komori, membre d’Uyoku dantai et assassin
Issuikai, organisation d'extrême droite
Otoya Yamaguchi, membre d’Uyoku dantai et assassin du chef du parti socialiste japonais Inejirō Asanuma
Site consacré aux camionnettes noires gaisenshas.
Catégorie:Nationalism
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La est une organisation nationaliste japonaise anti-coréenne fondée en 2006 par un homme qui serait un quadragénaire ancien inspecteur des impôts dont le pseudonyme est Makoto Sakurai. Les caractéristiques du mouvement sont : prétention à la normalité, à être composé de citoyens ordinaires ; usage d'Internet, mais aussi action directe ; la cible principale du mouvement est les Zainichi et la politique officielle de lutte contre les discriminations envers ceux-ci.
, ou Asahi shimbun, est un des grands quotidiens nationaux japonais. Fondé en 1879, avec un tirage de quatre millions d'exemplaires, il est le deuxième journal le plus lu dans le monde après un autre quotidien japonais, le Yomiuri shinbun. Globalement, le Asahi shinbun se distingue de ses concurrents par ses prises de position plus proches de la gauche et ses analyses en profondeur de la société et de la vie politique japonaises. Le journal fait partie du groupe de presse Asahi Shimbun Company.
vignette|redresse=1.5|Membres du groupe révisionniste en train d'installer une bannière où est inscrit « (Enseignez) la vraie histoire aux enfants » en face du sanctuaire Yasukuni. La guerre des Manuels est une expression qui désigne les tensions entre la Chine, la Corée du Sud, et le Japon au sujet des manuels d'histoire japonais. Ces tensions débutent en 1982 lors du processus d'homologation de nouveaux manuels d'histoire par le ministère de l'Education japonais, où est relevé un problème de terminologie.