The burden of proof (Latin: onus probandi, shortened from Onus probandi incumbit ei qui dicit, non ei qui negat) is the obligation on a party in a dispute to provide sufficient warrant for its position.
When two parties are in a discussion and one makes a claim that the other disputes, the one who makes the claim typically has a burden of proof to justify or substantiate that claim, especially when it challenges a perceived status quo. This is also stated in Hitchens's razor, which declares that "what may be asserted without evidence may be dismissed without evidence." Carl Sagan proposed a related criterion – "extraordinary claims require extraordinary evidence" – which is known as the Sagan standard.
While certain kinds of arguments, such as logical syllogisms, require mathematical or strictly logical proofs, the standard for evidence to meet the burden of proof is usually determined by context and community standards and conventions.
Philosophical debate can devolve into arguing about who has the burden of proof about a particular claim. This has been described as "burden tennis" or the "onus game".
One way in which one would attempt to shift the burden of proof is by committing a logical fallacy known as the argument from ignorance. It occurs when either a proposition is assumed to be true because it has not yet been proven false or a proposition is assumed to be false because it has not yet been proven true.
A negative claim is the opposite of an affirmative or positive claim. It asserts the non-existence or exclusion of something.
A negative claim may or may not exist as a counterpoint to a previous claim. A proof of impossibility or an evidence of absence argument are typical methods to fulfill the burden of proof for a negative claim.
Burden of proof is an important concept in the public arena of ideas. Once participants in discourse establish common assumptions, the mechanism of burden of proof helps to ensure that all parties contribute productively, using relevant arguments.
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Le rasoir de Hitchens est un rasoir épistémologique affirmant que la charge de la preuve concernant la véracité d'une affirmation incombe à celui qui la formule ; si cette charge n'est pas remplie, l’assertion est alors sans fondement et peut être facilement rejetée. Il a été nommé ainsi en écho au rasoir d'Ockham et en référence au journaliste et auteur Christopher Hitchens, qui, dans son livre Dieu n'est pas grand publié en 2007, écrit (en anglais: ).
En philosophie, la charge ou le fardeau de la preuve est l'obligation des opposants d'un débat épistémique à fournir des preuves de leurs positions. Lors de n'importe quel débat impliquant des enjeux, il y a une attente implicite de preuves soutenant la position d'un intervenant. Cette charge de preuve ne demande pas nécessairement une preuve mathématique ou logique, bien que de nombreux débats exigent ce niveau. L'évaluation de la crédibilité d'une affirmation est faite selon des conventions variables en fonction du contexte.
Une preuve, (en science ou en droit) est un fait ou un raisonnement propre à établir la vérité. Une preuve est associée à son niveau d'incertitude quand elle est utilisée. Les éléments inductifs et déductifs qui y sont attachés lui confèrent donc un certain niveau d'incertitude. L'évaluation intuitive de ce niveau détermine le degré de confiance qu'on peut apporter à la preuve. La plupart des preuves utilisées dans la vie courante sont communément admises comme étant dignes de confiance.
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