thumb|La signature de John Hancock est l'une des plus remarquables de la Déclaration d'indépendance des États-Unis.
thumb|Signature de Benjamin Franklin.
thumb|Signature du Mahatma Gandhi.
thumb|Signature de Chahbanou Farah Pahlavi d’Iran en écriture persane.
thumb|Signature de Johannes Vermeer.
thumb|Marques valant signatures dans des actes paroissiaux de Penmarc'h.
Une signature est une marque autographe permettant d'identifier son auteur et témoigner du caractere authentique (lettre) ou valider le contenu (contrat, traité de paix) ou l'oeuvre (tableau) auquel elle se rapporte. Par extension, le terme est employé pour désigner la cause d'un phénomène physique.
Le paraphe, quant à lui, est la marque visuelle abrégée de la signature complète tandis que le parapheur est un registre cartonné destiné à présenter page à page et l'un après l'autre chaque document sur lequel chaque personne concernée doit apposer sa signature (gouvernement, administration, entreprise). A l'ère de la numérisation, un parapheur électronique fait allusion au circuit de signatures ou visas requis pour valider un document ou une decision.
Signatures et graffitis anciens des grottes
Dans l'Antiquité, toutes cultures confondues, l'écriture ne fut d'abord maitrisée que par des profils specialisés. Plusieurs cultures, notamment asiatiques, en ont conservé la trace et ne partagent pas la notion moderne occidentale de la signature manuscrite : dans ces cultures, signer de son nom ne diffère en rien de l'écriture normale de son nom car les caractères utilisés restent les mêmes.
Tel est le cas en Chine, au Japon ou en Corée: on utilise des inkan, sceau nominatif, sur lequel le nom est écrit avec une graphie dite tensho (littéralement, une graphie de cachet).
thumb|Seing royal de la reine Élisabeth II, en haut à droite.
Acte sous seing privé en France
Dans les cultures pour lesquelles les systèmes d'écriture sont basés sur un alphabet, la signature d'une personne se présente généralement comme une forme personnalisée de l'écriture à la main de ses propres prénom et nom (pas forcément dans cet ordre).
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Un contrat en droit suisse est défini par l'article 1, alinéa premier du Code des obligations : « Le contrat est parfait lorsque les parties ont, réciproquement et d'une manière concordante, manifesté leur volonté ». Comme dans de nombreux pays de tradition juridique romano-civiliste, le contrat en droit suisse est l'échange d'au moins deux manifestations de volonté, appelées l'offre et l'acceptation, par lesquelles les parties décident de produire un effet juridique. Le contrat est donc un acte juridique bilatéral ou multilatéral.
thumb|Échantillons de coupures de émis par différentes banques : au premier plan le 5 000 francs Flameng de la Banque de France. Le billet de banque est un moyen de paiement généralement en papier imprimé, émis le plus souvent par la banque centrale ou l'Institut d'émission d'un pays. Ce type de monnaie — appelée papier-monnaie ou monnaie-papier — est de nature fiduciaire (du latin fiducia : confiance) dans la mesure où sa valeur est fortement dépendante du degré de confiance accordé par les porteurs de billets à l'organisme qui les émet.
present several optimizations to SPHINCS, a stateless hash-based signature scheme proposed by Bernstein et al. in (2015): PORS, a more secure variant of the HORS few-time signature scheme used in SPHINCS; secret key caching, to speed-up signing and reduce ...
Our main motivation is to design more user-friendly security protocols. Indeed, if the use of the protocol is tedious, most users will not behave correctly and, consequently, security issues occur. An example is the actual behavior of a user in front of an ...
We introduce the notion of forgery-resilience for digital signature schemes, a new paradigm for digital signature schemes exhibiting desirable legislative properties. It evolves around the idea that, for any message, there can only be a unique valid signat ...