Générateur thermoélectrique à radioisotopeUn générateur thermoélectrique à radioisotope (en abrégé GTR ; en anglais Radioisotope Thermoelectric Generator, RTG) est un générateur électrique nucléaire de conception simple, produisant de l'électricité à partir de la chaleur résultant de la désintégration radioactive de matériaux riches en un ou plusieurs radioisotopes, généralement du sous forme de dioxyde de plutonium .
Liste de potentiels standardLa liste des potentiels standard, en volts, qui suit est relative à la tension obtenue avec l'électrode standard à hydrogène et est assemblée à partir de différents ouvrages Les valeurs sont obtenues sous ces conditions : température de ; concentration effective à 1 mol/L pour chaque espèce aqueuse ou pour chaque espèce dans un amalgame de mercure ; pression partielle à 101,325 kPa (absolu) (1 atm ou 1,01325 bar) pour chaque réactif gazeux.
Test de flammeUn test de flamme, appelé aussi test à la flamme, est un procédé utilisé en chimie pour détecter la présence de certains ions métalliques, basé sur les caractéristiques des spectres d'émission de chaque élément. En général, la couleur des flammes dépend également de la température. Le test consiste à introduire un échantillon de l'élément ou du composé à analyser dans une flamme, non lumineuse et à haute température, puis à observer la couleur qu'on obtient.
Bioaccumulationthumb|upright=1.2|Principe de la bioamplification La bioaccumulation désigne la capacité de certains organismes (végétaux, animaux, fongiques, microbiens) à absorber et concentrer dans tout ou une partie de leur organisme (partie vivante ou inerte telle que l'écorce ou le bois de l'arbre, la coquille de la moule, la corne, etc.) certaines substances chimiques, éventuellement rares dans l'environnement (oligo-éléments utiles ou indispensables, ou toxiques indésirables).
Oxyde de baryumL’oxyde de baryum, anciennement dénommé baryte, est l'oxyde de l'élément baryum, de formule BaO. Il se présente à température ambiante sous la forme d'une poudre blanche fortement hydrophile, et doit pour cette raison être conservé à l'abri de l'air ambiant. Ce composé hygroscopique réagit avec l'eau pour former l'hydroxyde de baryum selon la réaction : BaO + H2O → Ba(OH)2. Il peut donner lieu à une explosion au contact de l'humidité, de dioxyde de carbone ou de sulfure d'hydrogène.
Éther couronnevignette|droite|200px|Éther 18-couronne-6 coordonnant un ion potassium (au centre, en violet). Les atomes d'oxygène sont en rouge, les atomes de carbone en noir et les atomes d'hydrogène en blanc. vignette|droite|200px|Même molécule que ci-dessus (éther 18-couronne-6) représentée d'une manière différente, coordonnant un ion potassium (au centre, en violet). Les atomes d'oxygène sont en rouge, les atomes de carbone en noir et les atomes d'hydrogène en blanc.
Amalgame (métallurgie)Un amalgame est un alliage métallique qui se forme facilement, sans chauffage. Cela désigne uniquement des alliages composés de mercure et d'un autre métal le plus souvent de l'or (pour son extraction) de l'argent, et d'autres métaux tels l'étain et le cuivre (utilisé pour les obturations dentaires). Ils peuvent être naturels ou artificiels. Le mercure ne forme pas d'amalgame avec le fer, le platine, le tantale et le tungstène. L'amalgamation des métaux alcalins est fortement exothermique.
Élément incompatibleEn pétrologie et en géochimie, un élément incompatible est un élément dont la taille et/ou la charge ne conviennent pas aux sites cationiques des minéraux dont il fait partie. Il est défini par le coefficient de partage entre les minéraux rocheux et la fonte étant beaucoup plus petit que 1. Au cours de la cristallisation fractionnée d'un magma et de la création de magma par fusion partielle du manteau et de la croûte terrestre, les éléments qui ont du mal à pénétrer dans les sites cationiques des minéraux, sont concentrés dans la phase de fusion du magma (phase liquide).
Stockage des déchets radioactifs en couche géologique profondeLe stockage en couche géologique profonde, parfois appelé enfouissement, est envisagé pour confiner les déchets nucléaires, en complément du stockage en surface dans plusieurs pays, en particulier pour les déchets de haute et moyenne activité à vie longue. Il consiste à conditionner ces déchets puis à les placer dans une formation géologique stable en interposant des barrières naturelles et artificielles entre les déchets et l'environnement.
PhytoremédiationLa phytoremédiation est la dépollution des sols, l'épuration des eaux usées ou l'assainissement de l'air intérieur, utilisant des plantes vasculaires, des algues (phycoremédiation) ou des champignons (mycoremédiation), et par extension des écosystèmes qui supportent ces végétaux. Ainsi on élimine ou contrôle des contaminations. La dégradation de composés nocifs est accélérée par l'activité microbienne. L’étymologie provient du grec « phyton » = plante, et du latin « remedium » = rétablissement de l'équilibre, remédiation.