Myōshin-jivignette|256px|Shunkō-in au Myōshin-ji. Le est un temple situé à Kyōto au Japon. L'école Myōshin-ji du bouddhisme zen Rinzai est la plus grande école de Rinzai. Cette école dispose de plus de à travers tout le Japon ainsi que de dix-neuf monastères. Le premier temple fut fondé en 1342 par le maître Kanzan-Egen Zenji (1277-1360). La plupart des temples furent détruits pendant la guerre d'Ōnin en 1467 mais beaucoup ont été reconstruits depuis. Fichier:Myōshin-ji Butsuden.jpg|alt=|''Butsuden'' ou grand hall.
VimalakīrtiVimalakīrti, (विमलकीर्ति, « renommée immaculée »: विमल vimala, « pur, immaculé, clair, limpide » et कीर्ति kīrti: « renommée, gloire »), selon le sûtra du bouddhisme mahāyāna qui porte son nom, le Soutra de l'enseignement de Vimalakīrti, est un célèbre personnage laïc de l'époque du bouddha Shākyamuni ( au ) Vimalakīrti pratiquait la voie du bodhisattva du courant mahāyāna, dans la société, habillé comme des gens ordinaires, vivant en famille dans la ville de Vaisali (actuelle Basarh), à 40 km au nord-ouest
Mu (zen)est la traduction japonaise du terme ou « non-existence ») utilisé dans le taoïsme pour exprimer la vacuité. Ce terme a été introduit par syncrétisme dans le bouddhisme chan sous l'influence taoïste en Chine, puis lors de la diffusion de ce dernier, d'abord en Corée, dans le bouddhisme son, et enfin au Japon, dans le bouddhisme dit zen. Ce terme est aussi utilisé en chinois pour définir le bouddhisme, sous le nom de . On le retrouve également dans le non-agir taoïste ().
SengzhaoSengzhao ou Seng-Chao (chinois : 僧肇 ), 374-414) est un célèbre moine bouddhiste chinois,, un des principaux disciples du grand traducteur Kumārajīva, et un important représentant de l'école des Trois traités (Sānlùn zōng 三论宗) du Mādhyamika chinois. Sa courte vie n'influença pas moins la formation et l'assimilation du bouddhisme en Chine. Originaire de Jingzhao (actuel Xi'an), il étudie dans sa jeunesse les écrits de Laozi et de Zhuangzi, après la lecture du Vimalakīrti nirdeśa Sūtra, séduit par la sagesse profonde du bouddhisme, il devient moine auprès de Kumārajīva sous la direction duquel il étudie les œuvres de Nāgārjuna.
TaixuTaixu (), né en 1890 et décédé en 1947 est un leader du renouveau du bouddhisme en Chine au . Il a joué un rôle de premier plan dans le renouveau du bouddhisme en Chine, et il est sera l'un des bouddhistes chinois les plus célèbres du . Dans les premières décennies du , le bouddhisme en Chine fait face à une hostilité de plus en plus marquée. La critique du bouddhisme est menée et entretenue par un certain nombre d'intellectuels qui voient dans cette religion une sorte de superstition primitive qui constitue un obstacle à l'entrée de la Chine dans le monde moderne.
Arts martiaux chinoisLes arts martiaux chinois, popularisés sous le nom de kung-fu, également désignés par les termes mandarins wǔshù (武术), guóshù (国术) ou quánfǎ (拳法) et parfois désignés sous le terme de boxes chinoises, sont constitués de centaines de styles différents de combat à main nue ou armée, qui ont été développés en Chine au fil des siècles. Kung-fu (terme) Kung-fu est en Occident le nom généralement donné aux arts martiaux chinois externes comme internes, bien que l'on utilise rarement ce terme pour désigner le tai-chi-chuan.
Homa (rituel)vignette|saifukuji Le Homa dénommé aussi homan ou havan est la cérémonie du feu dans l'hindouisme. Tout rituel autour du feu porte ce nom; cependant certains ont des noms plus spécifiques comme Agnihotra. Ces rituels ancestraux, proche de l'animisme sont censés relier les humains aux Dieux; ainsi ce qui est offert au feu parvient aux divinités. Des homas pour Hanuman ou Ganesh sont organisés. La purification est aussi un symbole du feu. De nombreuses pujas sur le sous-continent indien se passent autour du feu.
Seizathumb|300px|Une femme en seiza, sur des tatamis, s'appliquant à une cérémonie du thé. Le , est le terme japonais pour la façon traditionnelle de s’asseoir au Japon. Pour s’asseoir en style seiza, la personne doit premièrement s’agenouiller sur le sol en pliant ses jambes en dessous de ses cuisses, tout en reposant les fesses sur les talons. Les chevilles sont tournées vers l’extérieur du corps au fur et à mesure que le dessus des pieds descend afin que, dans une forme légèrement en « V », le dessus des pieds soit à plat sur le sol et que les gros orteils se chevauchent, puis que les fesses soient finalement descendues jusqu’en bas.
DaoxinDaoxin (道信)signifie littéralement « la foi de la voie », ou Dayi Daoxin (大醫道信, jap. Dai'i Doshin), le Grand médecin « la foi de la voie », (580- 651), fut le quatrième patriarche chinois de l’école bouddhiste Chan. Dayi Daoxin est le titre conféré par l'empereur Daizong des Tang. Il est parfois appelé Shuangfeng Daoxin (雙峰道信), du nom du mont à deux pics où il établit sa communauté. Le nom posthume inscrit sur son stupa est Ciyun (慈雲), nuage compatissant.
École CaodongL'École Caodong (chinois: 曹洞宗, pinyin: Cáodòng zōng, Wade-Giles: Ts'ao-tung-tsung) est une branche du bouddhisme Chan, fondée en Chine, durant la dynastie Tang. Elle a été fondée par Dongshan Liangjie et son disciple Caoshan Benji et forme un courant majeur du Chan chinois. Le nom de l'école dérive des premiers caractères (Cao et Dong) des noms de chacun des fondateurs. On dit que le nom du disciple apparaît avant celui de son maître pour des raisons d'euphonie.