Bouddhisme dans le mondeOn estime le nombre de bouddhistes dans le monde (mais le chiffre doit être pris avec prudence) à quelque de personnes. En 2015, les bouddhistes représentaient grosso modo 7 % de la population mondiale. Cependant, ce pourcentage pourrait passer à 5 % en 2060, du fait du taux de natalité relativement faible des bouddhistes. du fait que : de nombreux bouddhistes d'Asie de l'Est ont des croyances mélangées de plusieurs religions (bouddhisme, taoïsme, confucianisme, shinto, religions traditionnelles chinoises, chamanisme, animisme, etc).
ThangkaUn thangka, aussi orthographié « tangka », « thanka » ou « tanka » (), littéralement « chose que l'on déroule », « rouleau », est une peinture, un dessin, ou un tissu sur toile originaire d'Inde et caractéristique de la culture bouddhiste tibétaine. On en trouve de toutes les tailles, depuis les thangkas portatifs que l'on peut enrouler et dérouler au moyen de deux baguettes passées dans des ourlets, jusqu'aux thangkas monumentaux destinés à être déroulés sur une aire à flanc de colline ou sur un mur à thangka et qui peuvent atteindre plusieurs dizaines de mètres de hauteur.
Rennyo(1415–1499) est le monshu, ou prêtre en chef, du temple Hongan-ji de la secte Jōdo Shinshū du bouddhisme, et le descendant du fondateur Shinran. Il est aussi connu sous le nom Shinshō-in (信証院), et à titre posthume Etō Daishi (慧灯大師). Il est considéré comme le revivificateur (ou parfois le second fondateur) du Jōdo Shinshū, raison pour laquelle il est aussi appelé Rennyo Shonin (« moine éminent »). Rennyo est responsable d'une période de revitalisation de l'histoire du Jōdo Shinshū dans laquelle la religion est popularisée pour les masses.
IndologieL'indologie, ou indianisme, est l'étude des langues du sous-continent indien telles que le sanskrit, mais également de leurs civilisations. Faisant appel aux ressources de plusieurs sciences humaines (ethnologie, linguistique, archéologie), l'indologue, ou indianiste, s'appuie principalement sur des sources textuelles. João de Lucena (1549-1600) Diogo do Couto (1542-1616) William Jones (1746-1794) John Muir (indianiste) (1810-1882) Franz Felix Adalbert Kuhn (1812-1881) Robert Caldwell (1814-1891) Ivan Mina
Taoism in SingaporeTaoism in Singapore is the religion of about 8.8% of the country's entire population as per the 2020 census. The definition of "Taoism" in the country is included as part of the wider Chinese folk religion. In general, nearly all adherents of Taoism in Singapore are associated with the mainstream Zhengyi school. Larger proportion of older residents adhere to Taoism, as compared with those in younger age groups. The Taoist Federation of Singapore was first established in 1990 to promote greater public awareness and understanding of the Taoist culture and traditions.
Buddhism in AustriaBuddhism is a legally recognized religion in Austria. Although still small in absolute numbers (10,402 at the 2001 census), Buddhism in Austria enjoys widespread acceptance. A majority of Buddhists in the country are Austrian nationals (some of them naturalized after immigration from Asia, predominantly from the People's Republic of China and Vietnam), while a considerable number of them are foreign nationals. As in most European countries, different branches and schools of Buddhism are represented by groups of varying sizes.
Bouddhisme au Népalvignette|345x345px|Le stūpa de Bodnath, site bouddhiste le plus vénéré de la vallée de Katmandou. Cet article traite de l'histoire, de la diffusion et de l'importance du bouddhisme au Népal. Le bouddhisme est aujourd'hui la deuxième religion du pays, après l'hindouisme, principalement du fait des Tamangs. Environ 10 % de la population népalaise est bouddhiste, tendance en légère baisse. Le bouddhisme au Népal est représenté depuis le règne d'Ashoka au , et l'envoi de missionnaires indiens et tibétains.
ShuddhodanaShuddhodana (sanskrit Śuddhodana: riz pur), chef Śākya, est le père du Bouddha. Il aurait obtenu le titre de roi (raja) et régnait à Kapilavastu, ville située dans le Népal actuel. Hormis sa généalogie, on sait très peu de chose de lui. En tant que Shakya, il prétendait descendre du souverain mythique Ikshvaku (Okkaka), fils du premier homme Manu. Shuddhodana était le fils de Simhahanu (pâli : à la mâchoire de lion, qui est aussi une épithète de Bouddha et devient en khmer Sihanouk) et de Kaccānā du clan Koliya ; il avait quatre frères (Dhotodana, Sakkodana, Sukkodana et Amitodana), et deux sœurs (Amitā et Pamitā).
SamadhiSamādhi (समाधि en sanskrit devanāgarī) est un terme utilisé dans la philosophie indienne et bouddhiste. Son usage généralisé a entraîné un important élargissement sémantique : ce substantif masculin signifie « union, totalité, accomplissement, achèvement, mise en ordre, concentration totale de l’esprit, contemplation, absorption, extase, enstase ». Dans l'hindouisme, c'est le nom de la huitième et dernière étape de l'aṣṭāṅga-yoga qui est exposée dans les Yoga Sūtra de Patañjali, durant laquelle l’esprit du yogi réalise la « réalité ultime ».
SengcanSengcan, Seng-ts'an (僧燦) ou Jianzhi Sengcan (鑑智僧璨), japonais [Kanchi] Sosan (? ~ 606?) est considéré comme le troisième patriarche chinois de l'école bouddhiste Chan et le trentième depuis Bouddha. Le Sin sin ming (Xinxinming 信心銘) « Inscription sur la Foi en l'Esprit », texte essentiel du Chan sur le non-dualisme fondamental, lui serait attribué, ce qui est contesté par certains érudits. Jianzhi « miroir de sagesse » est un titre décerné par l’empereur Tang Xuanzong.