Impact climatique du transport aérienL'impact climatique du transport aérien est la contribution au réchauffement climatique de l'aviation utilisée pour le transport de personnes et de marchandises. Il résulte principalement de la combustion de kérosène dans les réacteurs d'avion, qui émet du dioxyde de carbone (), un gaz à effet de serre qui s'accumule dans l'atmosphère et dont les émissions représentent 2,5 % des émissions anthropiques de .
Stratospheric aerosol injectionStratospheric aerosol injection is a proposed method of solar geoengineering (or solar radiation modification) to reduce global warming. This would introduce aerosols into the stratosphere to create a cooling effect via global dimming and increased albedo, which occurs naturally from volcanic winter. It appears that stratospheric aerosol injection, at a moderate intensity, could counter most changes to temperature and precipitation, take effect rapidly, have low direct implementation costs, and be reversible in its direct climatic effects.
Méthane atmosphériquevignette|redresse=1.2|Augmentation annuelle de la moyenne mondiale du méthane atmosphérique depuis 2004. Le méthane atmosphérique désigne la quantité de méthane présent dans l'atmosphère terrestre. Sa concentration est intéressante car il s'agit de l'un des gaz à effet de serre les plus puissants et qu'elle est en hausse depuis plusieurs décennies. Le potentiel de réchauffement planétaire du méthane sur 20 ans est de 84, c'est-à-dire que sur une période de 20 ans, il piège 84 fois plus de chaleur par unité de masse que le dioxyde de carbone () et 105 fois plus si l'on tient compte des interactions avec les aérosols.
Îlot de chaleur urbainLes îlots de chaleur urbains (ICU en abrégé) sont des élévations localisées des températures, particulièrement des températures maximales diurnes et nocturnes, enregistrées en milieu urbain par rapport aux zones rurales ou forestières voisines ou par rapport aux températures moyennes régionales. Ce dôme thermique créant une sorte de serait compris et décrit pour la première fois au à Londres par Luke Howard, un pharmacien passionné par la météorologie qui publie en 1818-1820 The Climate of London en deux volumes, dans lequel il note une différence des températures diurnes de et nocturnes de l'ordre de entre le centre de Londres et sa campagne.
Théorie conspirationniste des chemtrailsLa théorie conspirationniste des chemtrails avance que certaines traînées blanches créées par le passage des avions en vol sont composées d'agents chimiques ou biologiques délibérément répandus en haute altitude par diverses agences gouvernementales pour des raisons dissimulées au grand public. Cette théorie complotiste est rejetée par la communauté scientifique, qui indique qu'il s'agit de simples traînées de condensation.
Relevés de température instrumentaleLes relevés de température instrumentale fournissent la température du système climatique de la Terre à partir du réseau historique de mesures in situ de la température de l'air en surface, et de la température de la surface des océans. Les données sont collectées dans des milliers de stations météorologiques, de bouées et de navires dans le monde entier. Le plus vieux relevé de température est une série de données météorologiques en Angleterre, qui a commencé en 1659. Les relevés à l'échelle quasi-planétaire ont lieu depuis 1850.
Amplification polairevignette| Tendance de la température GISS de la NASA 2000-2009, montrant une forte amplification arctique. L’amplification polaire est le phénomène selon lequel tout changement dans le bilan radiatif net (par exemple l'intensification de l'effet de serre) a tendance à produire un changement de température plus important près des pôles que la moyenne planétaire. C'est ce que l'on appelle communément le rapport entre le réchauffement polaire et le réchauffement tropical.
Ozone troposphériqueL’ozone troposphérique parfois qualifié de mauvais ozone est l'ozone () formé dans la troposphère (basse atmosphère). C'est un gaz à effet de serre (forçage radiatif moyen estimé à +0,35 (± 0,15) W/m2 et un polluant majeur dont la concentration dans la troposphère a selon le GIEC (2001) doublé, voire triplé, au cours du . Son taux varie considérablement dans le temps et l'espace ; de au-dessus des océans tropicaux à plus de dans les couches hautes de la troposphère, au contact de la stratosphère et au-dessus des zones urbaines très polluées.
Sulfure de diméthyleLe sulfure de diméthyle ou diméthylsulfure (DMS) est un composé organosulfuré de formule (CH3)2S. C'est un liquide volatil, inflammable, insoluble dans l'eau et dont la caractéristique principale est une odeur très désagréable à haute concentration. Il apparaît notamment lors de la cuisson de certains végétaux comme le maïs, le chou ou la betterave. Il est également le signe d'une infection bactérienne dans le brassage. C'est un produit de la décomposition du diméthylsulfoniopropionate (DMSP).
Brume sècheLa brume sèche est une réduction de la visibilité par des particules hygroscopiques microscopiques suspendues dans l'air et qui donnent une visibilité réduite dans de l'air non saturé de vapeur d'eau. Elle se distingue du brouillard par sa teinte bleuâtre ou jaunâtre. Elle se différencie de la brume de poussière en ce qu'elle ne laisse pas de dépôt visible au sol (la brume de poussière est définie comme étant ).