In , two categories C and D are isomorphic if there exist functors F : C → D and G : D → C which are mutually inverse to each other, i.e. FG = 1D (the identity functor on D) and GF = 1C. This means that both the s and the morphisms of C and D stand in a one-to-one correspondence to each other. Two isomorphic categories share all properties that are defined solely in terms of category theory; for all practical purposes, they are identical and differ only in the notation of their objects and morphisms.
Isomorphism of categories is a very strong condition and rarely satisfied in practice. Much more important is the notion of equivalence of categories; roughly speaking, for an equivalence of categories we don't require that be equal to , but only naturally isomorphic to , and likewise that be naturally isomorphic to .
As is true for any notion of isomorphism, we have the following general properties formally similar to an equivalence relation:
any category C is isomorphic to itself
if C is isomorphic to D, then D is isomorphic to C
if C is isomorphic to D and D is isomorphic to E, then C is isomorphic to E.
A functor F : C → D yields an isomorphism of categories if and only if it is bijective on objects and on morphism sets. This criterion can be convenient as it avoids the need to construct the inverse functor G.
Consider a finite group G, a field k and the group algebra kG. The category of k-linear group representations of G is isomorphic to the category of left modules over kG. The isomorphism can be described as follows: given a group representation ρ : G → GL(V), where V is a vector space over k, GL(V) is the group of its k-linear automorphisms, and ρ is a group homomorphism, we turn V into a left kG module by defining for every v in V and every element Σ ag g in kG. Conversely, given a left kG module M, then M is a k vector space, and multiplication with an element g of G yields a k-linear automorphism of M (since g is invertible in kG), which describes a group homomorphism G → GL(M).
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En mathématiques, la catégorie des anneaux est une construction qui rend compte abstraitement des propriétés des anneaux en algèbre. Dans ce contexte, « anneau » signifie toujours anneau unitaire. La catégorie des anneaux, notée Ring, est la catégorie définie ainsi : Les objets sont les anneaux ; Les morphismes sont les morphismes d'anneaux, avec la composition usuelle, et l'identité est la fonction identité sur un anneau donné. La sous-catégorie pleine de Ring, dont les objets sont les anneaux commutatifs, forme la catégorie des anneaux commutatifs, notée CRing.
En mathématiques, et plus particulièrement en théorie des catégories et en topologie algébrique, la notion de groupoïde généralise à la fois les notions de groupe, de relation d'équivalence sur un ensemble, et de l'action d'un groupe sur un ensemble. Elle a été initialement développée par Heinrich Brandt en 1927. Les groupoïdes sont souvent utilisés pour représenter certaines informations sur des objets topologiques ou géométriques comme les variétés. Un groupoïde est une petite catégorie dans laquelle tout morphisme est un isomorphisme.
En mathématiques, plus précisément en théorie des catégories, une équivalence de catégories est une relation qui établit que deux catégories sont "essentiellement les mêmes". C'est un foncteur entre les deux catégories, qui prend compte formellement du fait que ces catégories relèvent d'une même structure : on dit alors que les catégories sont équivalentes. À la différence de la notion d'isomorphisme de catégories, la notion d'équivalence est moins rigide, plus pratique et plus courante.
Inductive circuits and devices are ubiquitous and important design elements in many applications, such as magnetic drives, galvanometers, magnetic scanners, applying direct current (DC) magnetic fields to systems, radio frequency coils in nuclear magnetic ...
AIP Publishing2023
K-Theory was originally defined by Grothendieck as a contravariant functor from a subcategory of schemes to abelian groups, known today as K0. The same kind of construction was then applied to other fields of mathematics, like spaces and (not necessarily c ...
This dissertation is concerned with modular representation theory of finite groups, and more precisely, with the study of classes of representations, which we shall term relative endotrivial modules. Given a prime number p, a finite group G of order divisi ...