Pardonvignette|Dans le Christianisme le pardon est lié à la miséricorde culte popularisé par Sainte Faustine au XXe siècle Le pardon est le résultat de l'acte de pardonner, la rémission d'une faute. C'est tenir une offense, une faute, pour nulle (ou l'excuser) et renoncer soit – au plan personnel – à en tirer vengeance, soit – au plan institutionnel – à poursuivre et à punir les responsables. Le pardon ne doit pas cependant être confondu avec l'amnistie qui est un simple effacement de peine.
AsteyaAsteya (sanskrit IAST ; devanagari : अस्तेय ; « absence de vol ») désigne dans l'hindouisme l'une des cinq observances morales du yama (yoga), et dans le jaïnisme l'un des cinq vœux majeurs. Dans le Bhagavata Purana (VII, 14) Nârada explique au roi Yudhishthira que Pour les hindous, Ce Mahavrata qui se rapproche de l'honnêteté, est synonyme du non-vol ou plus précisément de ne pas prendre ce qui n'a pas été donné. Les sages jaïns veulent ainsi que le croyant réfrène ses envies matérielles, envies illusoires pour le jaïnisme.
GentillesseLa gentillesse est un état d'esprit et une disposition à agir de manière aimable, bienveillante, attentionnée et respectueuse envers autrui. Elle se traduit par un comportement altruiste destiné à prendre soin des autres, tenant en compte la sensibilité d'autrui afin de ne pas le brusquer ou l'offusquer. Elle s'oppose à la notion de méchanceté. La gentillesse est considérée comme une vertu dans de nombreuses cultures et religions.
Summum bonumSummum bonum (« souverain bien » en latin) est une locution latine utilisée en philosophie pour décrire l', l'objectif final recherché par tout être humain. La summum bonum est généralement considérée comme une fin en soi. En philosophie chrétienne, la summum bonum est typiquement définie comme étant la droiture, une vie vécue en communion avec Dieu en respectant ses préceptes. Laurent Gallois, Le souverain bien chez Kant, Vrin, 2008 Marceline Morais, Le souverain bien et la fin dernière de la philosophie.
Intégrité (droit)Chaque personne (physique ou morale) a droit au respect de son intégrité physique et morale. Les Principes de Jogjakarta et la Convention relative aux droits des personnes handicapées affirment l'intégrité comme les droits de l'Homme.
AgapéAgapè (en grec ancien : ἀγάπη) est un concept philosophique qui désigne l'amour « divin », « inconditionnel », celui des principes. Lagapè est souvent comparée à la charité chrétienne. Lagapè est, pour Platon, la troisième forme que prend l'amour après l'amour sexuel (« éros ») et l'amour de la famille (« storgê »). L'amour platonique est un amour désintéressé, c'est donc l'amour pour l'amour c'est-à-dire l'acte de charité principalement.
Enviethumb|upright=1.0|La Monomane de l'envie ; Théodore Géricault (1791–1824). L’envie (du latin : invidia) est l'objet de plusieurs définitions et sens. Elle peut être synonyme de désir, ou désigner un ressentiment et créer un désir face au bonheur d'autrui ou à ses avantages. Bertrand Russell explique que l'envie est la plus importante des causes de malheur moral. Elle ne doit pas être confondue avec la jalousie, qui consiste à ne pas vouloir partager ou perdre son bien. L'envie peut déclencher la jalousie.
LoyautéLa loyauté est une qualité morale. La loyauté est le dévouement envers ses engagements (cause, personne) et à obéir aux règles de probité. La loyauté confucéenne exclut la tromperie et le mensonge. Loyauté (psychologie de la famille) En psychologie de la famille, la loyauté est définie par rapport à un système relationnel qui relie un individu à un autre ou à un groupe. Dans le cadre des thérapies familiales il s'agit d'une fidélité inconditionnelle à respecter les règles d'une famille.
DroitureLa droiture est un concept théologique présent dans le judaïsme, le christianisme et l'islam, et dans d'autres croyances non-abrahamiques. Elle est un attribut qui implique que les actions d'une personne sont justifiées et peut avoir pour connotation que la personne a été jugée ou reconnue comme menant une vie en accord avec la volonté de Dieu dans ces religions. Le mot « droiture » est composé de deux éléments : la racine « droit » et le suffixe « -ure ».
Aristotelian ethicsAristotle first used the term ethics to name a field of study developed by his predecessors Socrates and Plato. In philosophy, ethics is the attempt to offer a rational response to the question of how humans should best live. Aristotle regarded ethics and politics as two related but separate fields of study, since ethics examines the good of the individual, while politics examines the good of the City-State, which he considered to be the best type of community.