Liste des termes japonais spécifiques à la lutte sumoLe sumo, un sport de lutte traditionnel originaire du Japon, possède un vocabulaire propre, comprenant de nombreux termes techniques en japonais. premier contact d'un combat de sumo, souvent violent. Les rikishi, sumotori ou lutteurs de sumo, se ruent l'un sur l'autre en engageant toute leur puissance physique. classement officiel des lutteurs de sumo, mais aussi des arbitres (gyōji) et des personnes qui présentent les lutteurs avant un combat (yobidashi). tournoi.
LutteLa lutte est une discipline sportive et un sport de combat. Il en existe un très grand nombre de variétés mais on peut en distinguer trois principales : la lutte libre (LL), la lutte gréco-romaine (GR) et la lutte féminine (LF). La lutte est un système de combat à mains nues au cours duquel les adversaires se mesurent au corps à corps. L'objectif est de remporter le combat soit en faisant tomber l'adversaire au sol et en maintenant ses deux épaules collées au tapis : c'est le tombé ; soit en gagnant aux points.
Culture japonaisevignette|Une danseuse exécutant une danse traditionnelle. vignette|Sceau impérial du Japon à 16 pétales doubles. La culture japonaise plonge ses racines dans les cultures continentales chinoise et coréenne, avant de connaître une longue période d'isolement (sakoku) sous le shogunat Tokugawa, jusqu’à l'arrivée des « bateaux noirs » et l'ère Meiji (1868-1912). De ces emprunts variés résulte une culture très différenciée des autres cultures asiatiques et dont l'écho résonne encore dans le Japon contemporain.
Asahi shinbun, ou Asahi shimbun, est un des grands quotidiens nationaux japonais. Fondé en 1879, avec un tirage de quatre millions d'exemplaires, il est le deuxième journal le plus lu dans le monde après un autre quotidien japonais, le Yomiuri shinbun. Globalement, le Asahi shinbun se distingue de ses concurrents par ses prises de position plus proches de la gauche et ses analyses en profondeur de la société et de la vie politique japonaises. Le journal fait partie du groupe de presse Asahi Shimbun Company.
Ukiyo-ethumb|upright=1.2|Estampe à fond micacé d'Utamaro : Trois beautés de notre temps, un détournement de la classique triade bouddhiste, dont Toyohina est la « divinité » centrale. L' est un mouvement artistique japonais de l'époque d'Edo (1603-1868) comprenant non seulement une peinture populaire et narrative originale, mais aussi et surtout les estampes japonaises gravées sur bois.
Arts martiaux japonaisLes termes arts martiaux japonais désignent une grande variété d'arts martiaux originaires du Japon. Ils traduisent au moins trois termes japonais couramment employés de manière interchangeable : budō, dont le sens littéral est « voie de la guerre », , et . Le premier terme, budō, est un terme moderne, et fait référence à la pratique des arts martiaux comme à un mode de vie, comprenant des dimensions à la fois physiques, morales et spirituelles. Les termes bujutsu et bugei ont des définitions plus restreintes, au moins dans leur usage historique propre.
Rikishivignette|Un rikishi dessiné en ukiyo-e, Inagawa Masanosuke (de rang le plus élevé sekiwake), 1844. Un , ou, plus familièrement, , est un lutteur de sumo professionnel. Les rikishi sont censés vivre selon des règles séculaires et, bien qu'il y ait quelques exceptions, la plupart viennent du Japon, où le sumo est exclusivement pratiqué. La participation à des tournois officiels est le seul moyen de noter les performances et définir le rang d'un rikishi. Ce classement individuel est basé uniquement sur les victoires officielles.
Makuuchiou est le nom de la première division dans le système de classement des lutteurs de sumo. Elle est la division immédiatement supérieure à la division jūryō. « Makuuchi » signifie littéralement « à l'intérieur du rideau », en référence à l'époque où les lutteurs de cette division avaient un lieu pour se préparer avant leur combat. La division makuuchi comprend . Au sommet de cette division sont les catégories de champions, appelés san'yaku, qui regroupent yokozuna, ōzeki, sekiwake (au moins deux lutteurs) et komusubi (au moins deux).
Amaterasuest, dans le shintoïsme, la déesse du Soleil, et la plus importante divinité de cette religion. Selon la mythologie, elle a donné naissance à la lignée de tous les empereurs japonais. Elle aurait introduit la riziculture, la culture du blé et les vers à soie. Elle figure sur le drapeau japonais sous l'apparence du disque solaire, accompagné ou non de ses rayons. On accole parfois à son nom le qualificatif ou signifiant « grande déesse ». Le Kojiki et le Nihon shoki évoquent tous deux cette déesse.
Taikovignette|Un joueur de taiko. Le taiko est un art de jouer du tambour au Japon. Le mot , qui veut dire « tambour » en japonais, vient du , mais il est généralement utilisé en dehors de ce pays pour désigner les différentes formes de tambours. Les Japonais préfèrent utiliser le terme plus spécifique , associé depuis longtemps à l'histoire du Japon. vignette|Joueurs de taiko à Aichi. vignette| vignette| On en trouve déjà des traces au dans les sépultures sous tumulus (kofun) sur le pourtour et au sommet desquelles certains haniwa (sortes de figurines anthropomorphes en terre cuite), sont représentés un tambour à la main.