Christianisme en ChineCet article traite du christianisme en Chine. a été traduit par () et (présent essentiellement sous ses versions anglo-saxonnes) par () ou (). Le christianisme en général est traduit par (). Il est fréquent que les Chinois, en majorité peu familiers du christianisme, considèrent que ces deux confessions adorent des dieux différents.
Mouvement d'indépendance du Turkestan orientalthumb|Le drapeau de la république du Turkestan oriental, hissé la fois à Kachgar en 1933. thumb|Drapeaux de la Turquie et du Turkestan oriental au Doğu Türkistan Vakfı-Kültür Merkezi (Centre culturel de la fondation du Turkestan oriental) dans le district de Fatih à Istanbul. thumb|Drapeau de la seconde république du Turkestan oriental. thumb|Emblème du Gouvernement en exil du Turkestan oriental.
Droits de l'homme en république populaire de ChineDe nombreux observateurs ont qualifié de pauvre la protection des droits de l'homme en Chine. Parmi ces observateurs, on trouve notamment les États — en particulier les démocraties occidentales — ainsi que des organisations internationales et des organisations non gouvernementales. Les militants dénoncent des violations des Droits de l'Homme passées, notamment lors du Grand Bond en avant, une politique qui a causé la mort de vingt à trente millions de Chinois sous-alimentés, ou après les manifestations de la place Tian'anmen en 1989, lors de la répression qui a suivi et qui a fait de 400 à et de à (estimations).
Politique en république populaire de ChineLe pouvoir politique opérationnel en république populaire de Chine (RPC) () est divisé entre trois organes : l'Assemblée nationale populaire, le système judiciaire et le conseil des affaires d'État. Cependant, chaque niveau de l'État est doublé d'un poste du Parti, ce dernier ayant la prééminence. La Constitution de la république populaire de Chine définit cette dernière comme . Le préambule de la constitution spécifie le rôle dirigeant du Parti communiste chinois (PCC) et continue de citer officiellement le marxisme-léninisme comme idéologie de référence de l'État.
Nationalisme ethniquevignette|Túpac Amaru II a mené la plus grande rébellion indépendantiste et indigène de la vice-royauté du Pérou. Il fut le premier à demander la libération de toute l'Amérique latine de toute dépendance, tant vis-à-vis de l'Espagne que de son monarque, impliquant non seulement la simple séparation politique mais aussi l'abolition des impôts (mita minière, distribution des marchandises, moulins), de les districts, la taxe de vente et les douanes.
Génocide des DzoungarsLe génocide des Dzoungars est l'extermination de masse du peuple mongol et bouddhiste des Dzoungars par la dynastie Qing, qui règne alors sur la Chine. L'empereur Qianlong ordonne le génocide à la suite de la rébellion de 1755 du chef Dzoungar Amursana contre la domination Qing, alors que ce dernier avait aidé les Qing à conquérir le khanat dzoungar. Le génocide est perpétré par les généraux de l'armée Qing envoyé écraser la révolte des Dzoungars, avec l'aide de leurs alliés ouïghours, des vassaux des Dzoungars entré en révolte contre leurs maîtres.
Génocide culturel des OuïghoursLe génocide culturel des Ouïghours est une incrimination d'ethnocide portée par des exilés ouïghours, des ONG internationales ainsi que plusieurs États à l'encontre du gouvernement de la république populaire de Chine, qui mène, depuis le début des années 2010, une politique répressive contre les Ouïghours, un peuple musulman et turcophone du Xinjiang, région autonome du Nord-Ouest de la Chine. Le gouvernement chinois prétexte un « processus de rééducation » afin de garantir la sécurité dans le Xinjiang, après les émeutes de juillet 2009.
Mouvement d'indépendance tibétainLe mouvement d'indépendance tibétain est un mouvement visant à établir le Tibet historique, comprenant les trois provinces traditionnelles de l'Amdo, du Kham et de l'Ü-Tsang comme un État indépendant. Le mouvement est principalement mené par les Tibétains en exil avec le soutien d'individus et d'organisations extérieur au Tibet. Parmi ces soutiens on trouve plusieurs personnalités américaines et européennes, et quelques fidèles non-tibétains du bouddhisme tibétain.
Forced assimilationForced assimilation is the involuntary cultural assimilation of religious or ethnic minority groups, during which they are forced to adopt the language, national identity, norms, mores, customs, traditions, values, mentality, perceptions, way of life, and often the religion and ideology of an established and generally larger community belonging to dominant culture by a government. The enforced use of a dominant language in legislation, education, literature, and worship also counts as forced assimilation.
Génocide culturelL’expression génocide culturel employée pour décrire la destruction intentionnelle du patrimoine culturel d’un peuple ou d’une nation pour des raisons politiques, militaires, religieuses, idéologiques, économiques, ethniques ou raciales, est, aujourd’hui, généralement considérée comme un abus de langage dans son usage francophone, tout comme celle plus ou moins apparentée d’« ethnocide ».