Destroyer escort (DE) was the United States Navy mid-20th-century classification for a warship designed with the endurance necessary to escort mid-ocean convoys of merchant marine ships.
Development of the destroyer escort was promoted by the British need in World War II for anti-submarine ships that could operate in open oceans at speeds of up to 20 knots. These "British Destroyer Escort"s were designed by the US for mass-production under Lend Lease as a less expensive alternative to fleet destroyers.
The Royal Navy and Commonwealth forces identified such warships as frigates, and that classification was widely accepted when the United States redesignated destroyer escorts as frigates (FF) in 1975. From circa 1954 until 1975 new-build US Navy ships designated as destroyer escorts (DE) were called ocean escorts. Similar types of warships in other navies of the time included the 46 diesel-engined Kaibōkan of the Imperial Japanese Navy, 10 Kriegsmarine F-class escort ships, and the two Amiral Murgescu-class vessels of the Romanian Navy.
Postwar destroyer escorts and frigates were larger than those produced during wartime, with increased anti-aircraft capability, but remained smaller and slower than postwar destroyers. As Cold War destroyer escorts became as large as wartime destroyers, the United States Navy converted some of their World War II destroyers to escort destroyers (DDE).
Full-sized destroyers must be able to steam as fast or faster than fast capital ships such as fleet carriers and cruisers. This typically requires a speed of (dependent upon the era and navy). They must carry torpedoes and a smaller caliber of cannon to use against enemy ships, as well as antisubmarine detection equipment and weapons.
A destroyer escort needed only to be able to maneuver relative to a slow convoy (which in World War II would travel at ), be able to defend against aircraft, and detect, pursue, and attack submarines. These lower requirements greatly reduce the size, cost, and crew required for the destroyer escort.
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vignette|Le sloop of war Providence (1775-1779)|alt= Au temps de la marine à voile, le sloop-de-guerre () désigne, à partir du dans l'Empire britannique, les navires militaires plus petits que les frégates à un, deux ou trois mâts. Le terme est composé de « sloop » provenant du néerlandais sloep (qui est de la même origine étymologique que le français « chaloupe ») et de l’anglais (littéralement : « de guerre »). À partir du , le terme de désigne dans l'Empire britannique, des navires armés en moyenne de 6 à 8 canons (brig sloop) et 10 à 18 canons (packed sloop of war et ship sloop) sur un seul pont.
La lutte anti-sous-marine (ASM) désigne l'ensemble des tactiques de combat et de protection contre la menace représentée par les sous-marins. Elle met en œuvre plusieurs moyens complémentaires : navires de surface, des escorteurs, équipés de sonars (essentiellement des frégates et des corvettes) ; avion de patrouille maritime ; hélicoptères ASM ; sous-marins d'attaque. Le dispositif est dirigé depuis un des escorteurs anti sous-marin, à bord duquel est embarqué le commandant de l'opération de lutte anti-sous-marine.
Le programme FRAM (Fleet Rehabilitation and Modernization - Programme de réhabilitation et de modernisation de la flotte) de la marine américaine (US Navy) a permis de prolonger la durée de vie des destroyers de la Seconde Guerre mondiale en faisant passer leur mission d'attaque de surface à celle de chasseur de sous-marins. Le programme FRAM concernait également les croiseurs, les porte-avions, les sous-marins, les navires amphibies et les navires auxiliaires.