Numération japonaiseLa numération japonaise est calquée sur le modèle chinois. Les sinogrammes sont d'ailleurs restés identiques dans l'écriture kanji. Le tableau ci-dessous présente les différentes façons d'écrire les nombres en japonais. Pour le chiffre 4, « し » (shi) est moins utilisé parce qu'il se prononce de la même façon que « la mort » (死). Une fois que l'on connaît ce tableau, il suffit de mettre les kanjis côte à côte pour construire les nombres. Une différence réside néanmoins dans le fait que l'on regroupe les chiffres par quatre et non par trois.
Entier d'Eisensteinthumb|Les entiers d'Eisenstein sont les points d'intersection d'un treillis triangulaire dans le plan complexe. En mathématiques, les 'entiers d'Eisenstein', nommés en l'honneur du mathématicien Gotthold Eisenstein, sont les nombres complexes de la forme où a et b sont des entiers relatifs et est une racine cubique primitive de l'unité (souvent autrement notée j). Les entiers d'Eisenstein forment un réseau triangulaire dans le plan complexe. Ils contrastent avec les entiers de Gauss qui forment un réseau carré dans le plan complexe.
Système de numération indo-arabevignette|upright=1.5|Généalogie des numérations brahmi, gwalior, sanskrit-dévanagari et arabes (1935). Le système de numération indo-arabe est un système de numération de base dix employant une notation positionnelle et dix chiffres, allant de zéro à neuf, dont le tracé est indépendant de la valeur représentée. Dans ce système, la représentation d'un nombre correspond à son développement décimal. Le système doit son nom au fait qu'il est apparu en Inde et qu'il est parvenu en Europe par l'intermédiaire des Arabes.
64 (nombre)Le nombre 64 (soixante-quatre) est l'entier naturel qui suit 63 et qui précède 65. Le nombre 64 est : le carré de 8. le cube de 4. un nombre composé deux fois brésilien car 64 = 4415 = 2231 la plus petite puissance de deux positive qui n'est adjacente ni à un nombre premier de Mersenne, ni à un nombre premier de Fermat. un nombre triangulaire centré. un dodécagonal. un auto nombre.
100 (nombre)Le nombre 100 (cent) est l'entier naturel qui suit 99 et qui précède 101. Une quantité d'environ 100 éléments est appelé une centaine. En numération romaine, il est représenté par la lettre « C » en majuscule. Le nombre 100 est : Le carré de 10 : 10 = 100. vignette|Le carré de 10 : 10 = 100. Un nombre composé trois fois brésilien car 100 = 5519 = 4424 = 2249. La somme des neuf premiers nombres premiers : 2 + 3 + 5 + 7 + 11 + 13 + 17 + 19 + 23 = 100. La somme des cubes des quatre premiers entiers naturels : 13 + 23 + 33 + 43 = 100.
Nombre refactorisablevignette|Démonstration grâce aux réglettes Cuisenaire que 1, 2, 8, 9 et 12 sont refactorisables. En mathématiques, un nombre refactorisable ou nombre tau est un entier qui est divisible par le nombre total de ses diviseurs. Les premiers nombres refactorisables sont listés dans la 1, 2, 8, 9, 12, 18, 24, 36, 40, 56, 60, 72, 80, 84, 88, 96. Cooper et Kennedy ont démontré que les nombres refactorisables ont pour densité naturelle zéro. Zelinsky a démontré que trois entiers consécutifs ne peuvent pas être tous refactorisables.
23 (nombre)Le nombre 23 (vingt-trois) est l'entier naturel qui suit 22 et qui précède 24. Le nombre 23 est : le neuvième nombre premier (cousin avec 19 et sexy avec 17 et avec 29) ; un nombre premier factoriel ; le septième nombre premier non brésilien ; un nombre premier de Sophie Germain ; un nombre premier sûr ; un nombre premier supersingulier un nombre de Woodall ; un nombre de Smarandache-Wellin ; un nombre premier long ; un nombre premier de Pillai ; le plus petit entier n > 0 tel que Z[e] ne soit pas principal ; le seul entier naturel avec 239 à ne pas être somme de 8 cubes (voir problème de Waring); le nombre de personnes que l'on doit réunir pour avoir au moins une chance sur deux que deux personnes de ce groupe aient leur anniversaire le même jour (voir le Paradoxe des anniversaires) ; un nombre de Wedderburn-Etherington ; la somme des produits des quatre premiers entiers par leur factorielle .
Suite de PellEn mathématiques, la suite de Pell et la suite de Pell-Lucas sont respectivement les suites d'entiers U(2, –1) et V(2, –1), cas particulier de suites de Lucas. La première est aussi la 2-suite de Fibonacci. Leurs termes sont dénommés respectivement nombres de Pell et nombres de Pell-Lucas. La suite de Pell et la suite de Pell-Lucas sont définies par récurrence linéaire double : Autrement dit : on commence par 0 et 1 pour la première suite et par 2 et 2 pour la seconde, et dans chacune des deux suites, on produit le terme suivant en additionnant deux fois le dernier à l'avant-dernier.
42 (nombre)Le nombre 42 (quarante-deux) est l’entier naturel qui suit 41 et qui précède 43.
32 (nombre)Le nombre 32 (trente-deux) est l'entier naturel qui suit 31 et qui précède 33. Le nombre 32 est : un nombre pratique ; le plus petit nombre n pour lequel l'équation φ(x) = n possède exactement 7 solutions ; la puissance cinquième de 2 (2 = 32) ; un nombre composé deux fois brésilien car 32 = 447 = 2215 ; la somme des trois premiers entiers non nuls élevés à leur propre puissance (1 + 2 + 3 = 32).