Racial antisemitism is prejudice against Jews based on a belief or assertion that Jews constitute a distinct race that has inherent traits or characteristics that appear in some way abhorrent or inherently inferior or otherwise different from the traits or characteristics of the rest of a society. The abhorrence may find expression in the form of discrimination, stereotypes or caricatures. Racial antisemitism may present Jews, as a group, as a threat in some way to the values or safety of a society. Racial antisemitism can seem deeper-rooted than religious antisemitism, because for religious antisemites conversion of Jews remains an option and once converted the "Jew" is gone. In the context of racial antisemitism Jews cannot get rid of their Jewishness.
The premise of racial antisemitism is that Jews constitute a distinct racial or ethnic group which negatively impacts gentiles. Racial antisemitism differs from religious antisemitism, which involves prejudice against Jews and Judaism on the basis of their religion. According to William Nichols, one can distinguish historical religious antisemitism from "the new secular antisemitism" based on racial or ethnic grounds: "The dividing line was the possibility of effective conversion ... a Jew ceased to be a Jew upon baptism." However, with racial antisemitism: Now the assimilated Jew was still a Jew, even after baptism ... From the Enlightenment onward, it is no longer possible to draw clear lines of distinction between religious and racial forms of hostility towards Jews... Once Jews have been emancipated and secular thinking makes its appearance, without leaving behind the old Christian hostility towards Jews, the new term antisemitism becomes almost unavoidable, even before explicitly racist doctrines appear.
In the context of the Industrial Revolution, with the emancipation of the Jews (1790s onwards) and the Haskalah (the Jewish Enlightenment of the 18th and 19th centuries), many Jews rapidly urbanized and experienced a period of greater social mobility.
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Des Juifs et de leurs mensonges, ou encore Les Juifs et leurs mensonges (en vieil allemand : Von den Jüden und iren Lügen et en allemand moderne : Von den Juden und ihren Lügen), est un traité de mots écrit en 1543, trois ans avant sa mort, par Martin Luther, moine allemand et l'un des fondateurs du protestantisme (luthéranisme). Une question majeure chez les savants depuis la Seconde Guerre mondiale est de savoir si le traité a exercé une influence majeure et persistante sur l'attitude de l'Allemagne envers ses citoyens juifs dans les siècles entre la Réforme et la Shoah.
En sociologie, la racisation est le processus par lequel certaines personnes sont assignées à une catégorie raciale (à comprendre comme une construction sociale, et non une réalité biologique). Certains auteurs français distinguent et . Alors que le mot race ne désignait jusqu'au milieu du que des groupes « descendants d'un même ancêtre ou d'une même famille », le racisme repose sur le postulat d'une division de l'espèce humaine en races bien distinctes et d'une hiérarchie entre elles.
vignette|Allégorie de la Synagogue (Ecclesia et Synagoga) (aux yeux bandés, lance brisée et tables de la Loi affaissée), une des représentations de l'antijudaïsme médiéval européen (cathédrale Saint-Etienne de Metz) L’antijudaïsme est l'hostilité à l'égard de la religion juive. Ce terme peut être employé à propos de l'attitude du christianisme envers le judaïsme, attitude longtemps marquée par la théologie de la substitution, elle-même issue de plusieurs courants, dont le marcionisme et la doctrine augustinienne du « peuple témoin ».