vignette|redresse=1.3|Schéma d'un calorimètre utilisé à l'institut de la nouvelle énergie à base d'hydrogène au Japon.
« Fusion froide » est une expression médiatique qui désigne des réactions supposées nucléaires à température et pression ambiantes.
La plus connue est celle qui semble être une fusion nucléaire réalisée selon des techniques dérivées d'une expérience réalisée par Martin Fleischmann et Stanley Pons en mars 1989. Cette expérience se caractérisait par un dégagement de chaleur non explicable par la quantité d'énergie électrique reçue (faisant fondre l'électrode). Mais les conditions expérimentales ne permettaient pas d'exclure une origine extérieure non maîtrisée à cette énergie qui semblait excédentaire.
Le terme de « fusion froide » apparaît en 1956 dans un article du New York Times décrivant le travail de Luis W. Alvarez sur la catalyse par muon. E. Paul Palmer de l'université Brigham Young a aussi utilisé le terme en 1986 dans son investigation sur la « géo-fusion », la possible existence de la fusion dans le cœur des planètes. Les phénomènes de ce domaine de recherche sont aussi appelés (LENR, pour « réactions nucléaires à basse énergie »), CANR, LANR, CMNS, BL, Sonofusion, Bubble fusion, CNT ou « transmutations biologiques ».
L'expression « fusion froide » n'est pas admise par la majorité de la communauté scientifique, parce que l'expérience de Pons et Fleischman est difficilement reproductible et a déclenché une polémique mondiale sur la vérification effectuée par les comités de lecture. Le principe même de la fusion froide reste controversé, certains n'hésitant pas à assimiler ces expériences à celles de l'alchimie et des tentatives de transmutation du plomb en or ; les processus physiques reconnus permettant d'aboutir de façon avérée à des réactions de fusion nucléaire, utilisables pour la production d'énergie, nécessitant en effet des pressions et des températures extrêmement élevées.
Toutefois, des processus de réaction nucléaire à faible énergie peuvent faire l'objet de recherches scientifiques, financés par des institutions publiques, universités et groupes industriels.
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The course provides an overview of the technologies that are essential for fusion developments and for industrial plasma applications, highlighting the synergies between the two fields. The aim is to
The first MOOC to teach the basics of plasma physics and its main applications: fusion energy, astrophysical and space plasmas, societal and industrial applications
Learn the basics of plasma, one of the fundamental states of matter, and the different types of models used to describe it, including fluid and kinetic.
Learn the basics of plasma, one of the fundamental states of matter, and the different types of models used to describe it, including fluid and kinetic.
Le tritium (/tʁi.sjɔm/ ou /tʁi.tjɔm/), noté H ou T, est l'isotope de l'hydrogène dont le nombre de masse est égal à 3 : son noyau atomique, appelé triton, compte et avec un spin 1/2+ pour une masse atomique de . Il est caractérisé par un excès de masse de et une énergie de liaison nucléaire par nucléon de . Il a été mis en évidence en 1934 par Ernest Rutherford, dans la réaction de fusion nucléaire . À la différence du protium H et du deutérium H, ce nucléide est radioactif et se désintègre en (He) avec une demi-vie de .
Lhydrogène est l'élément chimique de numéro atomique 1, de symbole H. L'hydrogène présent sur Terre est presque entièrement constitué de l'isotope H (ou protium, comportant un proton et zéro neutron) et d'environ 0,01 % de deutérium H (un proton, un neutron). Ces deux isotopes de l'hydrogène sont stables. Un troisième isotope, le tritium H (un proton, deux neutrons), instable, est produit dans les réactions de fission nucléaire (réacteurs nucléaires ou bombes).
vignette|redresse=1.3|Schéma d'un calorimètre utilisé à l'institut de la nouvelle énergie à base d'hydrogène au Japon. « Fusion froide » est une expression médiatique qui désigne des réactions supposées nucléaires à température et pression ambiantes. La plus connue est celle qui semble être une fusion nucléaire réalisée selon des techniques dérivées d'une expérience réalisée par Martin Fleischmann et Stanley Pons en mars 1989. Cette expérience se caractérisait par un dégagement de chaleur non explicable par la quantité d'énergie électrique reçue (faisant fondre l'électrode).
Pulse plating of nickel-tungsten alloys has been studied from two citrate ammonia based model electrolytes containing either an excess of nickel or an excess of tungsten. The alloy composition and cur