The Provinces of Prussia (Provinzen Preußens) were the main administrative divisions of Prussia from 1815 to 1946. Prussia's province system was introduced in the Stein-Hardenberg Reforms in 1815, and were mostly organized from duchies and historical regions. Provinces were divided into several Regierungsbezirke, sub-divided into Kreise (districts), and then into Gemeinden (townships) at the lowest level. Provinces constituted the highest level of administration in the Kingdom of Prussia and Free State of Prussia until 1933, when Nazi Germany established de facto direct rule over provincial politics, and were formally abolished in 1946 following World War II. The Prussian provinces became the basis for many federal states of Germany, and the states of Brandenburg, Lower Saxony, and Schleswig-Holstein are direct successors of provinces.
Following the dissolution of the Holy Roman Empire in 1806 and the Congress of Vienna in 1815, the various German states gained nominal sovereignty. However, the reunification process that culminated in the creation of the German Empire in 1871, produced a country that was constituted of several principalities and dominated by one of them, the Kingdom of Prussia after it had ultimately defeated its Austrian rival. Its territory covered some 60 percent of the territory that was to become the German Reich.
The German Confederation was established at the Congress of Vienna in 1815 and the Kingdom of Prussia was a member until the dissolution in 1866 following the Austro-Prussian War.
The Prussian state was initially subdivided into ten provinces. The Prussian government appointed the heads of each province known as Oberpräsident (i.e. High Commissioner). The Oberpräsident represented the Prussian government in the province, and was busy with implementing and supervising central prerogatives of the Prussian government. The provinces of Prussia were further subdivided into government districts (Regierungsbezirke), subject to the High Commissioner.
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vignette|300px|Le pays de Hohenzollern (en rouge) au sein du royaume de Prusse (en blanc). Les pays de Hohenzollern (en allemand : Hohenzollernsche Lande) étaient une province du royaume puis de l'État libre de Prusse. Ils ont été créés en 1850 par la fusion des principautés de Hohenzollern-Sigmaringen et de Hohenzollern-Hechingen après que ces deux États indépendants eurent été annexés par la Prusse, et a été dirigé par la branche protestante de la famille des Hohenzollern.
L’État libre de Prusse (en allemand : Freistaat Preußen) est le principal Land allemand entre 1918 et 1945, durant la république de Weimar et le Troisième Reich. Il est fondé sur les bases territoriales de l'ancien royaume de Prusse. L'approche d'une défaite de l'Empire allemand à la fin de la Première Guerre mondiale, alimenta un contexte de crise politique et économique. Les premiers mouvements populaires ne tardèrent pas à éclater le à Kiel, dans la province prussienne du Schleswig-Holstein.
La province de Prusse-Orientale (en allemand : Ostpreußen) est une province allemande, aujourd'hui disparue, qui fit partie du royaume de Prusse de 1773 à 1824 et de 1878 à 1918, puis de l'État libre de Prusse de 1919 à 1945. Située au bord de la mer Baltique, entre la Vistule et le Niémen, sa capitale était la ville de Königsberg. La province est créée le . Elle correspondait approximativement à la partie du territoire de l'ancien État monastique des chevaliers Teutoniques qui constitua en 1525 le duché de Prusse et qui porta aussi le nom de Prusse ducale, puis de Vieille Prusse.