Divergent evolutionDivergent evolution or divergent selection is the accumulation of differences between closely related populations within a species, sometimes leading to speciation. Divergent evolution is typically exhibited when two populations become separated by a geographic barrier (such as in allopatric or peripatric speciation) and experience different selective pressures that drive adaptations to their new environment. After many generations and continual evolution, the populations become less able to interbreed with one another.
Évolution parallèleDans l'étude de l'évolution et de la sélection naturelle, le phénomène d' se produit quand deux espèces indépendantes développent, en même temps et dans un écosystème identique, des caractéristiques similaires. Un des exemples les plus courants d'évolution parallèle est la corrélation entre les rats-taupes et les taupes, deux mammifères globalement contemporains. Les taupes sont des mammifères insectivores habitués à vivre sous terre, et qui possèdent des griffes adaptés pour creuser la terre.
Deep homologyIn evolutionary developmental biology, the concept of deep homology is used to describe cases where growth and differentiation processes are governed by genetic mechanisms that are homologous and deeply conserved across a wide range of species. In 1822, the French zoologist Étienne Geoffroy Saint-Hilaire dissected a crayfish, discovering that its body is organised like a vertebrate's, but inverted belly to back (dorsoventrally): I just found that all the soft organs, that is to say, the principal organs of life are found in crustaceans, and so in insects, in the same order, in the same relationships and with the same arrangement as their analogues in the high vertebrate animals .
Test du miroirvignette|Chien se regardant dans un miroir. Le test du miroir (ou plus rarement test de Gallup) est un moyen d'estimer la perception de soi, développé par l'Américain Gordon G. Gallup dans les années 1970. En éthologie cognitive, ce test permet d'évaluer la reconnaissance de son corps en permettant de déterminer si un animal est capable de reconnaître son propre reflet dans un miroir comme étant une de son corps.
EuphorbiaceaeLa famille des Euphorbiaceae (Euphorbiacées) regroupe des plantes dicotylédones, cosmopolites sauf dans les régions arctique et antarctique. La famille des Euphorbiaceae est la septième plus vaste famille de plantes à fleurs avec plus de espèces réparties en 200 à 300 genres. Le nom vient du genre type Euphorbia, nom classique d'une espèce de ce genre (passé au grec ), dédié par le roi de Maurétanie, Juba II ( - ), à son médecin Euphorbus.
Dionée attrape-moucheLa Dionée attrape-mouche (Dionaea muscipula) est une plante carnivore, sans doute la plus connue et la plus emblématique. C'est une plante vivace herbacée de la famille des Droseraceae. C'est la seule espèce du genre Dionaea. En 1763, Arthur Dobbs, alors gouverneur de la Caroline du Nord, attira pour la première fois l'attention du public et des scientifiques européens sur la plante. Aux environs de 1770, Carl von Linné, botaniste suédois, étudia le végétal et le nomma « Venus flytrap » (« Vénus attrape-mouche ») en s'inspirant de Vénus, déesse de l'amour et de la beauté dans la mythologie romaine.
Maximum de parcimonieLes méthodes de maximum de parcimonie, ou plus simplement méthodes de parcimonie ou encore parcimonie de Wagner, sont une méthode statistique non-paramétrique très utilisée, notamment pour l'inférence phylogénétique. Cette méthode permet de construire des arbres de classification hiérarchique après enracinement, lesquels permettent d'obtenir des informations sur la structure de parenté d'un ensemble de taxons. Sous l'hypothèse du maximum de parcimonie, l'arbre phylogénétique « préféré » est celui qui requiert le plus petit nombre de changements évolutifs.
Pouce (anatomie)En anatomie, le pouce est le premier doigt de la main chez les primates dont l'être humain. Il est composé de deux phalanges seulement, la première s'articulant, en-haut, avec le premier métacarpien. Sa mobilité et sa capacité à se placer en opposition aux autres doigts (pulpe contre pulpe) offre à la main son rôle de préhension. Dans la nomenclature anatomique, il est nommé pollex. Le premier orteil (parfois appelé incorrectement doigt de pied) porte chez l'humain la dénomination classique Hallux ou parfois gros orteil.
Réceptacle floralEn botanique, le réceptacle floral est constitué par l'extrémité plus ou moins élargie du pédoncule floral sur laquelle sont insérées les pièces florales formant, dans une fleur complète, quatre verticilles superposés : le calice (sépales), la corolle (pétales), l'androcée (étamines) et le pistil ou gynécée (formé d'un ou plusieurs carpelles). vignette|Réceptacle floral (faux-fruit) d'un lotus sacré. On parle aussi de réceptacle dans le cas de certaines inflorescences, comme les capitules, dans lesquelles les fleurs individuelles, ou fleurons, sont insérées sur un réceptacle élargi en plateau.
PapaïneLa papaïne est une protéase à cystéine qui catalyse le clivage des liaisons peptidiques avec une spécificité assez faible, mais toutefois une préférence pour l'hydrolyse des sites ayant un résidu d'acide aminé portant une grande chaîne latérale hydrophobe en position P2 et pas de résidu de valine en position P1’. On trouve cette enzyme dans le latex de la papaye (Carica papaya). Elle est l'exemple-type de la famille des papaïnes dite famille C1, dont d'autres enzymes se retrouvent dans l'ananas et de très nombreux végétaux.