UpanishadLes Upanishad ou Upaniṣad (IAST : Upaniṣad, devanāgarī : उपनिषद्, du sanskrit upa, déplacement physique, ni, mouvement vers le bas et shad, s'asseoir, soit l'idée de « venir s'asseoir respectueusement au pied du maître pour écouter son enseignement ») sont un ensemble de textes philosophiques qui forment la base théorique de la religion hindoue. Elles constituent une partie des textes en Inde liés à la śruti (connaissance révélée) et consistent en des spéculations philosophiques qui éclairent le texte auquel elles se réfèrent, chacune se réclamant d'une partie du Veda.
SkandhaSkandha (sanskrit ; devanāgarī : स्कन्ध ; pali : khandha) peut être traduit par , « agrégat », Citation|facteur constitutif de l'egoThe Sanskrit Heritage Dictionary de Gérard Huet. Dans le bouddhisme, on désigne par là les cinq agrégats ou facteurs (pañcaskandhī) psychophysiques constitutifs de l'individu: la forme corporelle (rūpa), la sensation (vedanā), la perception (saṃjñā), la formation mentale (saṃskāra) et la prise de conscience active (vijñāna).
Three marks of existenceIn Buddhism, the three marks of existence are three characteristics (Pali: tilakkhaṇa; Sanskrit: त्रिलक्षण trilakṣaṇa) of all existence and beings, namely aniccā (impermanence), dukkha (commonly translated as "suffering", "unsatisfactory," "unease"), and anattā (without a lasting essence). That humans are subject to delusion about the three marks, that this delusion results in suffering, and that removal of that delusion results in the end of dukkha, is a central theme in the Buddhist Four Noble Truths and Noble Eightfold Path.
ShivaïsmeLe shivaïsme est une branche de l'hindouisme, basée sur les textes des Purana, dont les fidèles, les shivaïtes (śaiva en sanskrit), considèrent Shiva comme divinité d'élection, effectuent des pratiques yogiques et ascétiques, ainsi que des rituels souvent codifiés dans les Agama et influencés par le tantrisme. Au niveau philosophique, le shivaïsme s'appuie sur les systèmes du Yoga, Vaisheshika, Nyaya. C'est l'une des plus importantes expressions spirituelles de l'hindouisme avec le vishnouisme.
Hindu philosophyHindu philosophy or Vedic philosophy is the set of Indian philosophical systems developing alongside the religion of Hinduism and emerging in the Iron and Classical periods, which consists of six orthodox schools of thought (shad-darśana): Samkhya, Yoga, Nyaya, Vaisheshika, Mimamsa and Vedanta. In Indian tradition, the word used for philosophy is Darshana (viewpoint or perspective), from the Sanskrit root drish ('to see, to experience'). These are also called the āstika philosophical traditions: those that accept the Vedas as an authoritative, important source of knowledge.
SâmkhyaSāṃkhya (en devanāgarī : सांख्य ) ou Sāṅkhya, terme sanskrit, est connu aujourd'hui comme une école de la philosophie indienne orthodoxe (āstika) ou plus particulièrement comme un des six darśana. Il a été codifié dans la Sāṃkhyakārikā composée au ou de l'ère courante par Īśvarakṛṣṇa. Le Sāṃkhya est traditionnellement couplé au yoga de Patañjali systématisé dans les Yogasūtra, qui en sont l'aspect considéré comme pratique. Kapila, dont on sait peu de chose, est donné comme le fondateur du « système Sāṃkhya ».
Saṅkhāra(Pali; सङ्खार; Sanskrit: संस्कार or ) is a term figuring prominently in Buddhism. The word means 'formations' or 'that which has been put together' and 'that which puts together'. In the first (passive) sense, refers to conditioned phenomena generally but specifically to all mental "dispositions". These are called 'volitional formations' both because they are formed as a result of volition and because they are causes for the arising of future volitional actions.
TaṇhāTaṇhā (pāli ; sanskrit : tṛṣṇā ; chinois : tān 贪 ; japonais : ton 貪 ; tibétain : sred pa) signifie : soif, avidité, désir, convoitise, envie irrésistible, attachement, fixation. C'est, selon la deuxième noble vérité, l'origine de dukkha. Il s'agit de la fièvre de la convoitise insatiable, par opposition à la paix de l’esprit (upekkhā). La soif est précisément le désir de posséder encore et encore. Taṇhā recouvre les désirs brûlants (concupiscence, convoitise), « mais également le prurit spéculatif de l’insatiable mental qui fomente les apories métaphysiques ».