In mathematics, Kan complexes and Kan fibrations are part of the theory of simplicial sets. Kan fibrations are the fibrations of the standard structure on simplicial sets and are therefore of fundamental importance. Kan complexes are the fibrant objects in this model category. The name is in honor of Daniel Kan.
For each n ≥ 0, recall that the , , is the representable simplicial set
Applying the geometric realization functor to this simplicial set gives a space homeomorphic to the topological standard -simplex: the convex subspace of Rn+1 consisting of all points such that the coordinates are non-negative and sum to 1.
Horn of a simplex
For each k ≤ n, this has a subcomplex , the k-th horn inside , corresponding to the boundary of the n-simplex, with the k-th face removed. This may be formally defined in various ways, as for instance the union of the images of the n maps corresponding to all the other faces of . Horns of the form sitting inside look like the black V at the top of the adjacent image. If is a simplicial set, then maps
correspond to collections of -simplices satisfying a compatibility condition, one for each . Explicitly, this condition can be written as follows. Write the -simplices as a list and require that
for all with .
These conditions are satisfied for the -simplices of sitting inside .
A map of simplicial sets is a Kan fibration if, for any and , and for any maps and such that (where is the inclusion of in ), there exists a map such that and
Stated this way, the definition is very similar to that of fibrations in topology (see also homotopy lifting property), whence the name "fibration".
Using the correspondence between -simplices of a simplicial set and morphisms (a consequence of the Yoneda lemma), this definition can be written in terms of simplices. The image of the map can be thought of as a horn as described above. Asking that factors through corresponds to requiring that there is an -simplex in whose faces make up the horn from (together with one other face).
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
En mathématiques, plus précisément en théorie des catégories, une quasi-catégorie est une généralisation de la notion de catégorie. L'étude de telles généralisations est connue sous le nom de théorie des catégories supérieures. Les quasi-catégories ont été introduites par et Vogt en 1973. André Joyal a fait beaucoup progresser l'étude des quasi-catégories en montrant qu’il existe un analogue pour les quasi-catégories de la plupart des notions de base de la théorie des catégories et même de certaines notions et théorèmes d’un niveau plus avancé.
En mathématiques, plus précisément en théorie de l'homotopie, une catégorie de modèles est une catégorie dotée de trois classes de morphismes, appelés équivalences faibles, fibrations et cofibrations, satisfaisant à certains axiomes. Ceux-ci sont abstraits du comportement homotopique des espaces topologiques et des complexes de chaînes. La théorie des catégories de modèles est une sous-branche de la théorie des catégories et a été introduite par Daniel Quillen en 1967 pour généraliser l'étude de l'homotopie aux catégories et ainsi avoir de nouveaux outils pour travailler avec l'homotopie dans les espaces topologiques.
En mathématiques, et plus particulièrement en théorie des catégories et en topologie algébrique, la notion de groupoïde généralise à la fois les notions de groupe, de relation d'équivalence sur un ensemble, et de l'action d'un groupe sur un ensemble. Elle a été initialement développée par Heinrich Brandt en 1927. Les groupoïdes sont souvent utilisés pour représenter certaines informations sur des objets topologiques ou géométriques comme les variétés. Un groupoïde est une petite catégorie dans laquelle tout morphisme est un isomorphisme.
This course will provide an introduction to model category theory, which is an abstract framework for generalizing homotopy theory beyond topological spaces and continuous maps. We will study numerous
We propose an introduction to homotopy theory for topological spaces. We define higher homotopy groups and relate them to homology groups. We introduce (co)fibration sequences, loop spaces, and suspen
Déplacez-vous dans le calcul et la réalisation géométrique de petites catégories, explorant la relation entre les nerfs et les structures géométriques.
Couvre les objets fibreux, le levage des cornes, et l'adjonction entre quasi-catégories et complexes kan, ainsi que la généralisation des catégories et complexes kan.
In this thesis, we study the homotopical relations of 2-categories, double categories, and their infinity-analogues. For this, we construct homotopy theories for the objects of interest, and show that there are homotopically full embeddings of 2-categories ...
EPFL2021
,
We apply the Acyclicity Theorem of Hess, Kedziorek, Riehl, and Shipley (recently corrected by Garner, Kedziorek, and Riehl) to establishing the existence of model category structure on categories of coalgebras over comonads arising from simplicial adjuncti ...
We define twisted composition products of symmetric sequences via classifying morphisms rather than twisting cochains. Our approach allows us to establish an adjunction that simultaneously generalizes a classic one for algebras and coalgebras, and the bar- ...