D-Wave (D-Wave Systems) se présente comme première entreprise d'informatique quantique au monde, fondée en 1999 et basée en Colombie-Britannique (Canada). Elle annonce en 2007 avoir construit le prototype d'un processeur de 28 qubits permettant de faire du recuit simulé quantique.
Le , elle annonce son système D-Wave One comme le premier calculateur quantique commercial. C'est un processeur de 128 qubits basé sur la méthode du recuit simulé quantique. En , elle communique sur sa prochaine génération de processeurs contenant 2000 qubits.
Plusieurs experts rappellent que le système D-Wave n'est pas un calculateur quantique général, et qu'hormis les calculs de recuit simulé, il ne présente pas d'avantage particulier sur un ordinateur classique. Les ingénieurs de Google qui ont testé D-Wave avouent qu'il n'a pour l'instant pas d'applications, ce qui a conduit Google à développer ses propres circuits quantiques à partir de 2014.
La société D-Wave a annoncé officiellement le avoir réalisé un calculateur quantique à base solide de 16 qubits. Ce calculateur serait cependant limité à certaines opérations quantiques d'optimisation, comme celui du « voyageur de commerce ». Aucun prototype n’a été dûment testé par des spécialistes reconnus des ordinateurs quantiques, pour des raisons alléguées de secret industriel (le prototype n’était pas présent durant la conférence). Ces machines utiliseraient une puce nommée Europa qui fonctionne uniquement en milieu cryogénique. Reflétant le sentiment d’une partie de la communauté scientifique, Scientific American reste réservé. Les problèmes combinatoires résolus (sudoku) le sont moins vite qu’avec un simple ordinateur. Il n’y a là rien de surprenant au vu des caractéristiques de l’appareil, mais de ce fait on ne peut exclure totalement une opération du type Turc mécanique ayant simplement pour objectif de lever des fonds, d’autant que D-Wave promettait un ordinateur quantique à 32 qubits pour la fin de l’année 2007, et un ordinateur à 512 puis à 1024 qubits d’ici l’année suivante.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
After introducing the foundations of classical and quantum information theory, and quantum measurement, the course will address the theory and practice of digital quantum computing, covering fundament
We introduce a model-independent method for the efficient simulation of low-entropy systems, whose dynamics can be accurately described with a limited number of states. Our method leverages the time-dependent variational principle to efficiently integrate ...
Mechanical oscillators can exhibit modes with ultra-low energy dissipation and compact form factors due to the slow velocity of acoustic waves, and are already used in applications ranging from timing to wireless filters. Over the past decade, novel ways i ...
EPFL2024
,
Frequency-bin qubits get the best of time-bin and dual-rail encodings, but require external modulators and pulse shapers to build arbitrary states. Here, instead, the authors work directly on-chip by controlling the interference of biphoton amplitudes gene ...
Le calcul quantique adiabatique (en anglais, adiabatic quantum computation ou AQC) est une méthode de calcul quantique reposant sur le théorème adiabatique, qui peut être vu comme une sous-classe des méthodes de recuit simulé quantique. On détermine d'abord un hamiltonien complexe dont l'état fondamental décrit une solution du problème étudié. On prépare ensuite un système possédant un hamiltonien plus simple, que l'on initialise dans son état fondamental.
Superconducting quantum computing is a branch of solid state quantum computing that implements superconducting electronic circuits using superconducting qubits as artificial atoms, or quantum dots. For superconducting qubits, the two logic states are the ground state and the excited state, denoted respectively. Research in superconducting quantum computing is conducted by companies such as Google, IBM, IMEC, BBN Technologies, Rigetti, and Intel. Many recently developed QPUs (quantum processing units, or quantum chips) utilize superconducting architecture.
Quantum annealing (QA) is an optimization process for finding the global minimum of a given objective function over a given set of candidate solutions (candidate states), by a process using quantum fluctuations. Quantum annealing is used mainly for problems where the search space is discrete (combinatorial optimization problems) with many local minima; such as finding the ground state of a spin glass or the traveling salesman problem. The term "quantum annealing" was first proposed in 1988 by B. Apolloni, N.