FourmiLes sont des insectes sociaux qui constituent la famille des (ou en français) et, avec les guêpes et les abeilles, sont classées dans l’ordre des Hymenoptera, sous-ordre des Apocrita. Ces insectes eusociaux forment des colonies, appelées fourmilières, parfois extrêmement complexes, contenant de quelques dizaines à plusieurs millions d’individus. Certaines espèces forment des supercolonies à plusieurs centaines de millions d’individus.
DichlorodiphényltrichloroéthaneLe DDT (ou dichlorodiphényltrichloroéthane ou bis p-chlorophényl-2,2 trichloro-1,1,1 éthane ou encore le 1,1,1-trichloro-2,2-bis(p-chlorophényl)éthane pour la nomenclature chimique) est un produit chimique (organochloré) synthétisé en 1874 mais dont les propriétés insecticides et acaricides n'ont été découvertes qu'à la fin des années 1930.
Développement durablevignette|Diagramme de Venn du développement durable, à l'intersection de trois préoccupations, dites « les trois piliers du développement durable ».Les descriptions des intersections partielles peuvent varier. Le développement durable (, parfois traduit par développement soutenable) est une conception du développement qui s'inscrit dans une perspective de long terme et en intégrant les contraintes environnementales et sociales à l'économie.
Biosphèrethumb|350px|La biosphère ou symbiosphère (expression de Joël de Rosnay) est le niveau planétaire d'intégration de toutes les échelles du Vivant (du gène à la somme des biomes (sans laquelle l'oxygène et donc la couche d'ozone n'existeraient pas). Le gène est représenté à part, car non vivant en tant que tel, mais support d'information et base du vivant. Plus on monte dans la pyramide, plus l'échelle est globale et plus le niveau de complexité mais aussi de stabilité et de résilience du système semble augmenter.
Environnement biophysiquevignette|Les résidents font la promotion des activités de service communautaire le matin pour nettoyer l'environnement du village afin qu'il ait l'air propre, ordonné, sain et soigné. L’environnement biophysique, appelé aussi milieu biophysique ou milieu de vie, désigne le milieu biotique (interactions dans les biocénoses) et abiotique (topographie, caractéristiques du sol, climat, qualité de l'eau, etc.) d'un individu, d'une espèce ou d'une population d'espèces, et comprend par conséquent les facteurs qui ont une influence sur leur survie, leur développement et leur évolution.
Extrêmophilevignette|upright=1.5|Une souche archéenne de Thermococcus gammatolerans est hyperthermophile et tolérante à une forte radioactivité. Elle vit dans les grands fonds, idéalement dans une eau salée, anoxique, légèrement acide et à . Un organisme est dit extrêmophile, ou extrémophile, lorsque ses conditions de vie normales sont mortelles pour la plupart des autres organismes : températures proches ou supérieures à (hyperthermophiles) ou inférieures à (psychrophiles), pressions exceptionnelles (barophiles des grands fonds marins), milieux très chargés en sel (halophiles), milieux très acides (acidophiles) ou hyper-alcalins (alcalophiles), milieux radioactifs ou anoxique (sans dioxygène) ou non-éclairé comme les endolithes.
Démécologiethumb|350px|Groupes familiaux d'éléphants, au sein d'une population régionale thumb|350px|Un groupe de « populations » constitue une métapopulation. Les populations d'animaux, plantes, champignons, microbes... contribuent au fonctionnement des écosystèmes, qui eux-mêmes forment des biomes et la biosphère ou symbiosphère (expression de Joël de Rosnay est le niveau planétaire d'intégration de toutes les échelles du Vivant (du gène à la somme des biomes (sans laquelle l'oxygène et donc la couche d'ozone n'existeraient pas) ; Le gène est représenté à part, car non vivant en tant que tel, mais support d'information et base du vivant.
Perturbation écologiqueDans le domaine de l'environnement, la notion de perturbation (à ne pas confondre avec celle de « dérangement », plus utilisée dans les contextes légaux), désigne une détérioration naturelle et souvent provisoire de l’environnement ou d'un écosystème. Ce concept a pris une importance croissante dans l'étude des cycles naturels et des habitats.
Espèce ingénieureDans le domaine de l'écologie et plus précisément des interactions biologiques et interactions durables, on parle d' « espèce ingénieure » pour décrire les espèces qui par leur seule présence et activité modifient significativement à fortement leur environnement (souvent sans directement agir sur un autre organisme). Les termes « organisme ingénieur », « ingénieur d'écosystème » et « ingénierie écologique » sont des synonymes. Cette transformation se fait en leur faveur et souvent en faveur d'autres espèces (on parle alors aussi d'espèces facilitatrices).
Niveau d'organisation (biologie)En biologie, les niveaux d'organisation du vivant forment une hiérarchie des structures et des systèmes biologiques complexes qui définissent la vie en utilisant une approche réductionniste. La hiérarchie traditionnelle, détaillée ci-dessous, s'étend des atomes aux biosphères. Chaque niveau de la hiérarchie représente une augmentation de la complexité organisationnelle, chaque « objet » étant principalement composé de l'unité de base du niveau précédent.