Root locus analysisIn control theory and stability theory, root locus analysis is a graphical method for examining how the roots of a system change with variation of a certain system parameter, commonly a gain within a feedback system. This is a technique used as a stability criterion in the field of classical control theory developed by Walter R. Evans which can determine stability of the system. The root locus plots the poles of the closed loop transfer function in the complex s-plane as a function of a gain parameter (see pole–zero plot).
Théorie du contrôleEn mathématiques et en sciences de l'ingénieur, la théorie du contrôle a comme objet l'étude du comportement de systèmes dynamiques paramétrés en fonction des trajectoires de leurs paramètres. On se place dans un ensemble, l'espace d'état sur lequel on définit une dynamique, c'est-à-dire une loi mathématiques caractérisant l'évolution de variables (dites variables d'état) au sein de cet ensemble. Le déroulement du temps est modélisé par un entier .
Méthodes de saisie et d'encodage du chinoisLa langue chinoise utilise des sinogrammes pour son écriture. Un mot compte rarement plus de un ou deux caractères, mais il existe beaucoup plus de caractères (ou glyphes ou sinogrammes) que de touches sur un clavier d'ordinateur tel que celui généralement utilisé dans le monde. Les premiers ordinateurs chinois utilisaient pourtant des claviers de plusieurs milliers de touches. De nombreuses méthodes d'entrée (ou IME, Input Method Editor, en anglais) ont été conçues pour permettre au mieux l'encodage des caractères chinois par des claviers standards.
Espace nucléaireEn mathématiques, et plus précisément en analyse, un espace nucléaire est un espace vectoriel topologique possédant certaines propriétés analogues à celles des espaces de dimension finie. Leur topologie peut être définie par une famille de semi-normes dont la taille des boules unités décroit rapidement. Les espaces vectoriels dont les éléments sont « lisses » en un certain sens sont souvent des espaces nucléaires ; un exemple typique est celui des fonctions régulières sur une variété compacte.
Chaîne de caractèresEn informatique, une chaîne de caractères est à la fois conceptuellement une suite ordonnée de caractères et physiquement une suite ordonnée d' unités de code (code unit). La chaîne de caractères est un type de donnée dans de nombreux langages informatiques. La traduction en anglais est string. À l'époque des pionniers, on a communément confondu chaîne de caractères et chaîne d'octets, ce qui prête aujourd'hui à confusion, lorsque l'on ne veut pas se limiter à 255 caractères.
Convergence of Fourier seriesIn mathematics, the question of whether the Fourier series of a periodic function converges to a given function is researched by a field known as classical harmonic analysis, a branch of pure mathematics. Convergence is not necessarily given in the general case, and certain criteria must be met for convergence to occur. Determination of convergence requires the comprehension of pointwise convergence, uniform convergence, absolute convergence, Lp spaces, summability methods and the Cesàro mean.
Slater's conditionIn mathematics, Slater's condition (or Slater condition) is a sufficient condition for strong duality to hold for a convex optimization problem, named after Morton L. Slater. Informally, Slater's condition states that the feasible region must have an interior point (see technical details below). Slater's condition is a specific example of a constraint qualification. In particular, if Slater's condition holds for the primal problem, then the duality gap is 0, and if the dual value is finite then it is attained.
Necessity and sufficiencyIn logic and mathematics, necessity and sufficiency are terms used to describe a conditional or implicational relationship between two statements. For example, in the conditional statement: "If P then Q", Q is necessary for P, because the truth of Q is guaranteed by the truth of P. (Equivalently, it is impossible to have P without Q, or the falsity of Q ensures the falsity of P.) Similarly, P is sufficient for Q, because P being true always implies that Q is true, but P not being true does not always imply that Q is not true.