The Correlation between Relatives on the Supposition of Mendelian Inheritance"The Correlation between Relatives on the Supposition of Mendelian Inheritance" is a scientific paper by Ronald Fisher which was published in the Transactions of the Royal Society of Edinburgh in 1918, (volume 52, pages 399–433). In it, Fisher puts forward the "infinitesimal model", a genetics conceptual model showing that continuous variation amongst phenotypic traits could be the result of Mendelian inheritance. The paper also contains the first use of the statistical term variance.
Histoire génétique des populations européennesvignette|redresse=1.5|Analyse en composantes principales des populations européennes actuelles à partir de et (2009). L’histoire génétique des populations européennes débute au Paléolithique supérieur avec l'arrivée en Europe il y a des hommes modernes venus d'Afrique via le Moyen-Orient. Avec le dernier maximum glaciaire, un effet fondateur se produit, et provoque une augmentation de la pression sélective qui permet à une lignée de prendre de l'ampleur au Mésolithique.
Human population planningHuman population planning is the practice of managing the growth rate of a human population. The practice, traditionally referred to as population control, had historically been implemented mainly with the goal of increasing population growth, though from the 1950s to the 1980s, concerns about overpopulation and its effects on poverty, the environment and political stability led to efforts to reduce population growth rates in many countries.
Race and geneticsResearchers have investigated the relationship between race and genetics as part of efforts to understand how biology may or may not contribute to human racial categorization. Many constructions of race are associated with phenotypical traits and geographic ancestry, and scholars like Carl Linnaeus have proposed scientific models for the organization of race since at least the 18th century. Following the discovery of Mendelian genetics and the mapping of the human genome, questions about the biology of race have often been framed in terms of genetics.
Génétique quantitativeLa génétique quantitative est la génétique des caractères qui peuvent donner lieu à des mesures, que ce soient des caractères à variation continue (tels que le poids ou la taille d'un organisme) ou discontinue (à déterminisme complexe), c'est-à-dire résultant de plusieurs facteurs génétiques ou non (on parle également de génétique multifactorielle). La génétique quantitative s’appuie sur la génétique des populations et les statistiques.
Génotypevignette|Une molécule d'ADN : les deux brins sont composés de nucléotides, dont la séquence constitue l'information génétique. Le génotype est une partie donnée de l'information génétique (composition génétique) d'un individu. Le génotype d'un individu est donc la composition allélique de tous les gènes de ce dernier. La définition de génotype sert également lorsque l'on considère la composition allélique d'un individu pour un nombre restreint de gènes d'intérêt.
Gene targetingEn biologie moléculaire, le gene targeting est une méthode permettant le remplacement d'un gène par une nouvelle séquence par le biais de la recombinaison homologue. La nouvelle séquence peut être un nouveau gène, une version modifiée du même gène ou tout autre séquence d'intérêt. Au sens large le gene targeting décrit tout remplacement ciblé d'une séquence dans un génome. Le Prix Nobel de physiologie ou médecine 2007 fut décerné à Mario R. Capecchi, Martin J.
Population mondialeLa population mondiale est le nombre d'êtres humains vivant sur Terre à un instant donné. L’ONU l'estime à le . Elle avait été estimée à pour 2000, entre 1,55 et pour 1900, entre 0,813 et pour 1800 et entre 600 et d'habitants pour 1700. Cette augmentation de la population avec le temps tend cependant à ralentir avec une baisse mondiale de l'indice de fécondité, plus ou moins importante selon les pays. Le taux annuel de la croissance démographique de la population mondiale est tombé de 2,1 % au début des années 1960 à moins de 1 % en 2020.
Surpopulationthumb|upright=1.5|Taux de croissance de la population, 2018source : CIA thumb|200px|La densité de population est facteur de promiscuité (ici à Taipei) pouvant augmenter le risque épidémique et pandémique thumb|200px|L'empreinte écologique de l'urbanisation est l'un des facteurs en jeu dans les évaluations de la surpopulation (ici : New York, Manhattan) La surpopulation est un état démographique caractérisé par le fait que le nombre d'individus d'une espèce vivante excède la capacité de charge de son habitat, c'est-à-dire sa capacité à : fournir les ressources nécessaires pour assurer la pérennité de cette espèce ; réparer les agressions (pollutions, perturbation des régulations écologiques naturelles) infligées par cette espèce à son environnement.
Génétique inverseLa génétique inverse est une approche génétique cherchant à comprendre la fonction de gènes donnés par l'observation des mutants correspondants. Cette approche « s'oppose » (inverse), à la démarche de génétique classique, qui, pour un phénotype mutant donné, cherche à identifier le gène responsable. Elle procède 1° soit en empêchant l'expression d'un gène choisi en utilisant soit des ARN interférents soit des ARN anti-sens, 2° soit en modifiant un gène en faisant appel à des techniques de mutagénèse dirigée telle que la mutagénèse dirigée par recombinaison homologue apparue dans les années 1990.