Récepteur couplé aux protéines GLes récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) sont une famille de récepteurs transmembranaires chez les mammifères. Parmi les nombreux récepteurs qui jouent un rôle dans la communication cellulaire, les récepteurs couplés aux protéines G (RCPG) constituent la plus grande famille de récepteurs membranaires de mammifères puisqu’elle représente 3,4 % du génome. Plus de la moitié des agents pharmacologiques agissent sur les RCPG : ils sont donc une classe de protéines d'importance thérapeutique majeure.
Récepteur AMPALes récepteurs AMPA sont des récepteurs ionotropes activés par le glutamate. Ils sont perméables aux ions Na+ et K+. Ils sont spécifiquement activés par le -amino-3-hydroxy-5-méthylisoxazol-4-propionate (AMPA). Leurs activations ne nécessitent pas la présence d'un coagoniste. On les rencontre principalement dans la densité postsynaptique des synapses glutamatergiques, les plus abondantes du système nerveux central.
Bactériémievignette|Relation entre SRIS et septicémie. La bactériémie est définie par la présence d'une bactérie pathogène dans le sang circulant, authentifiée par des hémocultures positives. Cette présence peut être éphémère ou chronique et peut être accompagnée de signes cliniques ou non. Une bactériémie peut être le point de départ d'un syndrome de réponse inflammatoire systémique (SRIS), d'un sepsis sévère ou non, voire dans les cas les plus graves d'un choc septique.
Maladie immunitaireLes maladies immunitaires, ou immunopathies, regroupent toutes les maladies affectant le système immunitaire. On en distingue deux groupes : les maladies auto-immunes dites « autoinflammatoires » ; les déficits immunitaires, éventuellement d'origine génétique, ou « médiées ». Certaines maladies présentent toutefois des caractéristiques évoquant ces deux types de maladies ( cystite interstitielle, neuromyotonie, sclérodermie, vitiligo, vulvodynie, maladie de Behçet, maladie de Lyme, syndrome des poumons rétractés, maladie de Menière.
MycoseUne mycose est une infection fongique provoquée par une ou plusieurs espèces de microchampignons parasites ou saprophytes. Les pathologies fongiques étudiées par la mycologie médicale, sont souvent subdivisées en infections appelées superficielles, mycoses sous-cutanées et mycoses systémiques. Elles concernent le plus souvent de petites zones de la peau et/ou des muqueuses. Beaucoup plus rarement le champignon envahit des organes internes (quand il s'agit des poumons ils peuvent y provoquer une infection évoquant une pneumonie ou une tuberculose pulmonaire).
Vertically transmitted infectionA vertically transmitted infection is an infection caused by pathogenic bacteria or viruses that use mother-to-child transmission, that is, transmission directly from the mother to an embryo, fetus, or baby during pregnancy or childbirth. It can occur when the mother has a pre-existing disease or becomes infected during pregnancy. Nutritional deficiencies may exacerbate the risks of perinatal infections. Vertical transmission is important for the mathematical modelling of infectious diseases, especially for diseases of animals with large litter sizes, as it causes a wave of new infectious individuals.
Antibiotique sulfamidéL'antibiotique sulfamidé est, comme la plupart des sulfamidés, un agent antimicrobien de structure moléculaire proche de l'acide para-aminobenzoïque normalement utilisé par la bactérie pour produire la vitamine B9. La cellule va les reconnaître pour ce qu'ils ne sont pas et les intégrer dans son métabolisme, et, parce que ce sont des molécules analogues, les voies métaboliques seront bloquées. Ceci provoque une inhibition de la synthèse des bases nucléiques et la cellule meurt par carence en bases nucléiques.
Défensinevignette|Mode d'action des défensines : indirect (modulation de la réponse immunitaire), direct (action bactéricide par dysfonction de la membrane microbienne ou par action sur des cibles intracellulaires : inhibition de la synthèse des acides nucléiques, des protéines, et d'activités enzymatiques). Les défensines constituent une famille de peptides antimicrobiens. Ce sont des petits peptides cationiques, de masse moléculaire variant de 3,5 à 6 kDa, qui sont largement impliqués dans l’immunité innée du fait de leur activité antimicrobienne.