Galaxie activeEn astronomie, une galaxie active est une galaxie abritant un noyau actif (plus précisément noyau actif de galaxie, abrégé NAG, ou , abrégé AGN). Ce noyau est une région compacte au centre de la galaxie, dont la luminosité est beaucoup plus intense que la normale dans au moins un domaine du spectre électromagnétique (ondes radio, infrarouge, lumière visible, ultraviolet, rayons X ou rayons gamma), et qui présente des caractéristiques montrant que cette forte luminosité n'est pas d'origine stellaire.
Liste de courants stellairesvignette|Représentation des courants stellaires de la Voie lactée, connus en 2007. Cet article recense les courants stellaires connus. Un courant stellaire est une association d'étoiles orbitant une galaxie, provenant d'un ancien amas globulaire ou d'une ancienne galaxie naine déchiquetée et allongée le long de son orbite par les forces de marée. Le tableau suivant recense les courants stellaires connus de la Voie lactée. Le tableau suivant recense les courants stellaires connus dans la galaxie d'Andromède.
Marée galactiqueLa marée galactique est l'effet de la tension gravitationnelle subie par des objets astronomiques exposés au champ gravitationnel d'une galaxie. Ce phénomène concerne particulièrement les collisions galactiques, la dissociation de galaxies naines ou satellites, ainsi que l'effet de marée qui serait imposé par la Voie lactée à l'hypothétique nuage de Oort, au sein du système solaire. Lorsqu'un objet (comme l'objet indiqué en bleu dans les diagrammes à gauche) est dans le champ gravitationnel d'une masse importante (celle de l'objet indiqué en jaune), il subit une déformation gravitationnelle.
Hypernovavignette|η Carinae, dans la constellation de la Carène, est une candidate pour une hypernova. En astronomie, une hypernova, ou supernova superlumineuse (nom plus courant dans les publications récentes ; en abrégé SNSL, ou en anglais SLSN pour superluminous supernova), est une explosion qui libérerait l'énergie de plus de , soit environ . Il s'agirait des explosions les plus puissantes de notre Univers depuis le Big Bang. Depuis la fin des années 1990, le terme désigne plus spécifiquement l'effondrement en fin de vie d'une étoile exceptionnellement massive.
Proxima Centauri bou simplement est une exoplanète probablement tellurique, d'une masse minimale de , en orbite dans la zone habitable de l'étoile naine rouge , qui est la plus proche étoile du Soleil et qui fait partie d'un système stellaire triple. Elle est approximativement localisée à 4,2 années-lumière (1,3 parsecs, , ou ) de la Terre dans la constellation du Centaure, ce qui fait d'elle l'exoplanète la plus proche du système solaire connue à ce jour.
Formation de la Lunevignette|Vue d'artiste d'un impact géant similaire à celui qui aurait abouti à la formation de la Lune. La formation de la Lune est un phénomène généralement expliqué par l'impact d'une protoplanète contre la proto-Terre, créant un anneau de débris qui s'est finalement rassemblé en un seul satellite naturel, la Lune. Cependant, des variations de cette hypothèse d'un impact géant coexistent encore. D'autres scénarios proposés concernent par exemple la capture de ce corps, la fission, une formation commune ou des collisions de planétésimaux (formées à partir de corps de type astéroïde).
SpaghettificationEn astrophysique, la spaghettification (parfois appelé l'effet de nouilles) est l'allongement d'un corps sous l'effet des forces de marées gravitationnelles lorsque celui-ci est plongé dans un trou noir. Cet étirement vertical des objets en formes minces et longues (un peu comme des spaghettis) dans un fort champ gravitationnel résulte d'une force de marée intense. Dans les cas extrêmes, près d'un trou noir, l'étirement est si puissant qu'aucun objet ne peut lui résister, quelle que soit la cohésion de ses composantes.
Planète de pulsarvignette|Vue d'artiste du système planétaire de Une planète de pulsar est une exoplanète orbitant autour d'un pulsar, un type d'étoiles à neutrons en rotation rapide et fortement magnétisées qui émettent des faisceaux de lumière par leurs pôles magnétiques. C'est autour d'un pulsar milliseconde qu'a été annoncée puis confirmée en 1992 la découverte depuis le radiotélescope d'Arecibo par Dale Frail et Aleksander Wolszczan des deux premières exoplanètes connues, orbitant respectivement à et de La détection de telles planètes repose sur la mesure, par chronométrie, des infimes variations de la périodicité des pulsars, qui permettent de calculer les principaux paramètres orbitaux des corps responsables de ces perturbations.