Poutre (construction)right|thumb|Poutres et solives dans une maison polonaise Une poutre est à l'origine un bois de brin, de manière préférentielle du chêne, équarri à la scie de long ou à la hache (cognée, herminette et doloire de charpentier), et qui était donc de toute la grosseur des arbres; c'est-à-dire qu'on n'avait enlevé du tronc que les dosses, laissant le duramen quasi intact. Elle peut servir à faire des clôtures. Le côté d’une poutre est selon NF B50-002 supérieur à 120 millimètres.
Espace localement simplement connexeEn mathématiques, un espace localement simplement connexe est un espace topologique qui admet une base d'ouverts simplement connexes. Tout espace localement simplement connexe est donc localement connexe par arcs et a fortiori localement connexe. Le cercle est localement simplement connexe mais pas simplement connexe. La boucle d'oreille hawaïenne n'est pas localement simplement connexe ni simplement connexe, puisqu'elle n'est même pas . Le cône de la boucle d'oreille hawaïenne est contractile donc simplement connexe, mais n'est pas localement simplement connexe.
T-beamA T-beam (or tee beam), used in construction, is a load-bearing structure of reinforced concrete, wood or metal, with a -shaped cross section. The top of the -shaped cross section serves as a flange or compression member in resisting compressive stresses. The web (vertical section) of the beam below the compression flange serves to resist shear stress. When used for highway bridges the beam incorporates reinforcing bars in the bottom of the beam to resist the tensile stresses which occur during bending.
Connexité (mathématiques)La connexité est une notion de topologie qui formalise le concept d'« objet d'un seul tenant ». Un objet est dit connexe s'il est fait d'un seul « morceau ». Dans le cas contraire, chacun des morceaux est une composante connexe de l'objet étudié. Soit un espace topologique E. Les quatre propositions suivantes sont équivalentes : E n'est pas la réunion de deux ouverts non vides disjoints ; E n'est pas la réunion de deux fermés non vides disjoints ; les seuls ouverts-fermés de E sont ∅ et E ; toute application continue de E dans un ensemble à deux éléments muni de la topologie discrète est constante.
PapeterieLe mot papeterie ou papèterie peut désigner : une usine à papier, également appelée papetière, spécialisée dans la transformation du bois, de vieux papiers, ou de pailles en papier ou d'autres fibres (chiffons) ; un magasin de fournitures de bureau ou de fournitures scolaires ; l'industrie papetière, c'est-à-dire l'industrie de fabrication du papier principalement à partir de pâte à papier ; un article de papeterie, un article fabriqué en tout ou partie avec du papier ; une petite boîte contenant le matérie
PapierLe papier est un matériau en feuilles minces fabriqué à partir de fibres végétales. C'est un support d'écriture et de dessin avec de nombreuses autres applications. On appelle carton un papier épais et rigide. L'usage du papier est attesté il y a en Chine. Il s'y fabrique à partir de plantes riches en cellulose. L'invention de la xylographie au en augmente l'usage et la fabrication. À la même époque, il se diffuse dans le monde musulman, où les fabricants utilisent le chiffon, puis en Occident où on lui ajoute de la colle pour l'adapter à l'écriture à la plume.
Espace localement connexeEn mathématiques, plus précisément en topologie, un espace localement connexe est un espace topologique pouvant être décrit à l’aide de ses ouverts connexes. En topologie, on dit qu’un espace est connexe lorsqu’il est fait « d’une seule pièce ». La question naturelle qui suit est de savoir si tout espace topologique peut être décrit comme la réunion disjointe (dans la catégorie des espaces topologiques) de ses composantes connexes ; en d’autres termes, peut-on considérer que lorsqu’on connait toutes les « pièces » d’un espace topologique, on sait tout de cet espace ? Une condition nécessaire et suffisante pour cela est que toutes les composantes connexes soient ouvertes.
Diagramme des efforts intérieursEn théorie des poutres, les diagrammes des efforts intérieurs désignent le tracé des efforts subis par la poutre en fonction de la position le long de cette dernière. Les principaux diagrammes des efforts intérieurs sont ceux de l'effort tranchant (V) et du moment de flexion (M). On parle alors de diagrammes V-M. Les diagrammes V-M sont généralement tracés l'un sous l'autre directement sous la poutre.
Colonne (architecture)vignette|250px|Colonnes monumentales datant de l'Antiquité romaine du temple de Bel à Palmyre, Syrie. vignette|200px|Colonnes engagées et baguées à bossages vermiculés. La colonne est, en architecture, ameublement, sculpture et ingénierie des structures, un support vertical dont le plan est un cercle (colonne cylindrique) ou un polygone régulier à plus de quatre côtés (colonne polygonale). Elle se distingue du pilier et du pilastre. Elle est composée en principe d'une base, d'un fût et d'un chapiteau.
Flexion (matériau)En physique (mécanique), la flexion est la déformation d'un objet sous l'action d'une charge. Elle se traduit par une courbure. Dans le cas d'une poutre, elle tend à rapprocher ses deux extrémités. Dans le cas d'une plaque, elle tend à rapprocher deux points diamétralement opposés sous l'action. L'essai de flexion d'une poutre est un essai mécanique utilisé pour tester la résistance en flexion. On utilise la flexion dite « trois points » et la flexion dite « quatre points ».