Théorie de l'orbitale moléculaireLa théorie de l'orbitale moléculaire (TOM) est un des socles de la chimie théorique du . Jusqu'alors les chimistes théoriciens étaient prisonniers des succès du modèle de la liaison covalente de Lewis. Les méthodes spectroscopiques du montrent les limites de l'idée de liaisons localisées en résolvant des structures chimiques jusque-là inédites. Par exemple la mésomérie ou résonance était vue, à tort, comme le passage rapide d'une conformation à une autre (résonance de Kekulé), ce qui n'était pas vérifié ni dans le spectre infrarouge ni dans la réactivité de molécules comme le benzène.
Cellule CIGSLe sigle CIGS (pour les éléments chimiques cuivre, indium, gallium et sélénium) désigne à la fois : une technique d'élaboration des cellules photovoltaïques en couches minces et de haute performance. le matériau semiconducteur fait d'un alliage permettant de réaliser ces cellules. Dans le CIGS, la concentration d'indium et de gallium peut varier entre du séléniure de cuivre et d'indium (CIS) pur, et du séléniure de cuivre et de gallium (CGS) pur. C’est un semi-conducteur à structure de chalcopyrite.
Orbitale de type gaussienEn chimie numérique, les orbitales de type gaussien (connues aussi comme orbitales gaussiennes ou gaussiennes, en anglais Gaussian orbitals - GTO) sont des fonctions utilisées comme orbitales atomiques dans les méthodes LCAO pour le calcul des orbitales électroniques dans les molécules ou les solides. La raison principale d'utilisation d'une base de fonctions gaussiennes pour des calculs de chimie numérique est le théorème de produit gaussien, qui assure que le produit de deux fonctions gaussiennes centrées sur deux atomes différents est une somme finie de gaussiennes centrées sur un point sur l'axe qui les connecte.
Orbitale de type SlaterLes orbitales de type Slater (en anglais Slater-type orbitals, STO) sont des fonctions utilisées comme orbitales atomiques dans les méthodes de combinaison linéaire d'orbitales atomiques. Elles se distinguent par la forme de leur composante radiale, donnée par : où n joue le rôle du nombre quantique principal, n = 1,2,..., N est une constante de normalisation, r est la distance de l'électron au noyau atomique, et est une constante liée à la charge effective du noyau, souvent estimée à l'aide des règles empiriques proposées par Slater.
Deuxième choc pétrolierthumb|Embouteillages devant une station service du Maryland, le 15 juin 1979. Le deuxième choc pétrolier est une crise mondiale des prix du pétrole à la fin des années 1970 ayant principalement trouvé sa source en Iran. Sous les effets conjugués de la révolution iranienne, de la guerre Iran-Irak et du redémarrage de la demande mondiale à la suite du premier choc pétrolier, le prix du pétrole est multiplié par 2,7 entre le milieu de l'année 1978 et 1981.
Premier choc pétroliervignette|Un passant dans l'Oregon prenant connaissance des nouvelles concernant le rationnement de l'essence, en . vignette|Un panneau dans l'Oregon, fin 1973 : « Désolé, pas d'essence aujourd'hui ». Le premier choc pétrolier est une crise mondiale des prix du pétrole qui débute en 1973 à la suite du pic de production de pétrole des États-Unis et de l'abandon des accords de Bretton Woods qui a pour effet une forte dévalorisation du dollar et donc des cours du pétrole libellés en dollars.
PanasonicPanasonic Corporation (anciennement Matsushita) est un grand groupe japonais spécialisé dans l'électronique grand public (téléviseurs, caméscopes, appareils photo, baladeurs, téléphones portables, etc.), et pour les professionnels (caméras professionnelles, caméras broadcast, ordinateurs portables, fax, copieurs, etc.). Il est basé à Kadoma, dans la préfecture d'Osaka, au Japon. Kōnosuke Matsushita, inspecteur électrique dans la Compagnie de lumière électrique d'Ōsaka, présente à son patron un nouveau modèle de douille qu'il a mis au point durant son temps libre.