Plasmodium falciparumPlasmodium falciparum est une des espèces de Plasmodium, des parasites qui causent le paludisme chez l'être humain. Il est transmis par la piqûre d'anophèle femelle (un moustique). P. falciparum est le plus dangereux de ces parasites causant le paludisme car il entraîne le taux de mortalité le plus élevé. En outre, il représente 80 % de toutes les infections malariques humaines et 90 % des décès. Il est plus répandu en Afrique subdésertique que dans d'autres régions du monde.
Paludismevignette|Un Anopheles gambiae (une des espèces d'anophèles, vecteur du parasite responsable du paludisme). Le paludisme ou la malaria, appelé également « fièvre des marais », est une maladie infectieuse due à un parasite du genre Plasmodium, propagée par la piqûre de certaines espèces de moustiques anophèles. Avec de personnes malades et en 2019, le paludisme demeure la parasitose la plus importante et concerne majoritairement les enfants de moins de cinq ans et les femmes enceintes.
Plasmodiumvignette Plasmodium est un genre de protozoaires parasites, dont cinq espèces causent le paludisme chez l'être humain. Le parasite est transmis à l’homme par une piqûre d’anophèle (genre de moustique majoritairement présent en régions chaudes). Chez l’être humain et les autres animaux, il infecte en premier lieu les hépatocytes et ensuite, au cours du cycle parasitaire, les érythrocytes. D'autres espèces de Plasmodium ont été retrouvées chez divers animaux endothermes comme les singes, les oiseaux mais aussi ectothermes comme les lézards.
Plasmodium vivaxPlasmodium vivax est la cause la plus fréquente de la fièvre tierce bénigne, l'une des formes du paludisme encore appelé malaria. Cette maladie est moins virulente que le P. falciparum, et souvent considérée comme bénigne. Elle est néanmoins débilitante et parfois mortelle, et économiquement coûteuse (coût estimé entre 1,4 et 4 milliards de dollars américains par an) dans de nombreux pays tropicaux et tempérés hors d'Afrique.
ChloroquineLa chloroquine (ou chloroquinine) est un antipaludique de la famille des 4-aminoquinoléines qui a été largement commercialisée sous forme de sels (sulfate ou phosphate). Avec la quinine, dont elle est un substitut synthétique, et l’hydroxychloroquine, une molécule qui lui est proche, elle est le traitement qui a été le plus employé contre le paludisme, en préventif comme en curatif. Elle est aussi très utilisée contre des maladies auto-immunes telles que le lupus et des maladies rhumatoïdes telles que la polyarthrite rhumatoïde.
History of malariaThe history of malaria extends from its prehistoric origin as a zoonotic disease in the primates of Africa through to the 21st century. A widespread and potentially lethal human infectious disease, at its peak malaria infested every continent except Antarctica. Its prevention and treatment have been targeted in science and medicine for hundreds of years. Since the discovery of the Plasmodium parasites which cause it, research attention has focused on their biology as well as that of the mosquitoes which transmit the parasites.
Protein phosphorylationProtein phosphorylation is a reversible post-translational modification of proteins in which an amino acid residue is phosphorylated by a protein kinase by the addition of a covalently bound phosphate group. Phosphorylation alters the structural conformation of a protein, causing it to become either activated or deactivated, or otherwise modifying its function. Approximately 13000 human proteins have sites that are phosphorylated. The reverse reaction of phosphorylation is called dephosphorylation, and is catalyzed by protein phosphatases.
Paludisme aviaireLe paludisme aviaire ou malaria aviaire est une maladie causée par des protozoaires du genre Plasmodium (comme pour le paludisme humain) affectant les oiseaux. Il est causé par plusieurs espèces de Plasmodium comme Plasmodium anasum et Plasmodium gallinaceum mais surtout Plasmodium relictum. Le paludisme aviaire ne provoque pas toujours de maladie chez les oiseaux qui ont co-évolués avec lui. Toutefois, il peut tuer les individus des espèces qui ne sont pas en contact avec celui-ci dans leur environnement.
Malaria prophylaxisMalaria prophylaxis is the preventive treatment of malaria. Several malaria vaccines are under development. For pregnant women who are living in malaria endemic areas, routine malaria chemoprevention is recommended. It improves anemia and parasite level in the blood for the pregnant women and the birthweight in their infants. Risk management Bite prevention—clothes that cover as much skin as possible, insect repellent, insecticide-impregnated bed nets and indoor residual spraying Chemoprophylaxis Rapid diagnosis and treatment Recent improvements in malaria prevention strategies have further enhanced its effectiveness in combating areas highly infected with the malaria parasite.
Apicomplexan life cycleApicomplexans, a group of intracellular parasites, have life cycle stages that allow them to survive the wide variety of environments they are exposed to during their complex life cycle. Each stage in the life cycle of an apicomplexan organism is typified by a cellular variety with a distinct morphology and biochemistry. Not all apicomplexa develop all the following cellular varieties and division methods. This presentation is intended as an outline of a hypothetical generalised apicomplexan organism.