Nombre de Mersenne premiervignette|droite|Le moine français Marin Mersenne (1588-1648) En mathématiques et plus précisément en arithmétique, un nombre de Mersenne est un nombre de la forme 2 − 1 (souvent noté ), où est un entier naturel non nul ; un nombre de Mersenne premier (ou nombre premier de Mersenne) est donc un nombre premier de cette forme. Ces nombres doivent leur nom au religieux érudit et mathématicien français du Marin Mersenne ; mais, près de auparavant, Euclide les utilisait déjà pour étudier les nombres parfaits.
Calcul distribuéUn calcul distribué, ou réparti ou encore partagé, est un calcul ou un traitement réparti sur plusieurs microprocesseurs et plus généralement sur plusieurs unités centrales informatiques, et on parle alors d'architecture distribuée ou de système distribué. Le calcul distribué est souvent réalisé sur des clusters de calcul spécialisés, mais peut aussi être réalisé sur des stations informatiques individuelles à plusieurs cœurs. La distribution d'un calcul est un domaine de recherche des sciences mathématiques et informatiques.
Elliptic curve primalityIn mathematics, elliptic curve primality testing techniques, or elliptic curve primality proving (ECPP), are among the quickest and most widely used methods in primality proving. It is an idea put forward by Shafi Goldwasser and Joe Kilian in 1986 and turned into an algorithm by A. O. L. Atkin the same year. The algorithm was altered and improved by several collaborators subsequently, and notably by Atkin and de, in 1993. The concept of using elliptic curves in factorization had been developed by H. W.
Algorithme d'Euclide étenduEn mathématiques, l'algorithme d'Euclide étendu est une variante de l'algorithme d'Euclide. À partir de deux entiers a et b, il calcule non seulement leur plus grand commun diviseur (PGCD), mais aussi un de leurs couples de coefficients de Bézout, c'est-à-dire deux entiers u et v tels que au + bv = PGCD(a, b). Quand a et b sont premiers entre eux, u est alors l'inverse pour la multiplication de a modulo b (et v est de la même façon l'inverse modulaire de b, modulo a), ce qui est un cas particulièrement utile.
OpenSSLOpenSSL est une boîte à outils de chiffrement comportant deux bibliothèques, libcrypto et libssl, fournissant respectivement une implémentation des algorithmes cryptographiques et du protocole de communication SSL/TLS, ainsi qu'une interface en ligne de commande, openssl. Développée en C, OpenSSL est disponible sur les principaux systèmes d'exploitation et dispose de nombreux wrappers ce qui la rend utilisable dans une grande variété de langages informatiques. En 2014, deux tiers des sites Web l'utilisaient.
Mot (architecture informatique)En architecture informatique, un mot est une unité de base manipulée par un microprocesseur. On parle aussi de mot machine. La taille d’un mot s’exprime en bits, parfois même en octets. Elle est souvent utilisée pour classer les microprocesseurs (, ). Toutes choses étant égales par ailleurs, un microprocesseur est d’autant plus rapide que ses mots sont longs, car les données qu'il traite à chaque cycle sont plus importantes.
4-bit computing4-bit computing is the use of computer architectures in which integers and other data units are 4 bits wide. 4-bit central processing unit (CPU) and arithmetic logic unit (ALU) architectures are those that are based on registers or data buses of that size. Memory addresses (and thus address buses) for 4-bit CPUs are generally much larger than 4-bit (since only 16 memory locations would be very restrictive), such as 12-bit or more, while they could in theory be 8-bit. A group of four bits is also called a nibble and has 24 = 16 possible values.
Indeterminacy in concurrent computationIndeterminacy in concurrent computation is concerned with the effects of indeterminacy in concurrent computation. Computation is an area in which indeterminacy is becoming increasingly important because of the massive increase in concurrency due to networking and the advent of many-core computer architectures. These computer systems make use of arbiters which gives rise to indeterminacy. Patrick Hayes [1973] argued that the "usual sharp distinction that is made between the processes of computation and deduction, is misleading".
Safe and Sophie Germain primesIn number theory, a prime number p is a Sophie Germain prime if 2p + 1 is also prime. The number 2p + 1 associated with a Sophie Germain prime is called a safe prime. For example, 11 is a Sophie Germain prime and 2 × 11 + 1 = 23 is its associated safe prime. Sophie Germain primes are named after French mathematician Sophie Germain, who used them in her investigations of Fermat's Last Theorem. One attempt by Germain to prove Fermat’s Last Theorem was to let p be a prime number of the form 8k + 7 and to let n = p – 1.
Nombre premier régulierEn mathématiques, un nombre premier p > 2 est dit régulier si une certaine propriété liée aux racines du polynôme X – 1 est vérifiée. Cette notion a été introduite par Ernst Kummer en 1847, en vue de démontrer le « dernier théorème de Fermat », dans un article intitulé . Un nombre premier impair p est dit régulier s'il ne divise pas le nombre de classes du corps cyclotomique Q(ζp), où ζp est une racine primitive p-ième de l'unité.