Clique-sumIn graph theory, a branch of mathematics, a clique-sum is a way of combining two graphs by gluing them together at a clique, analogous to the connected sum operation in topology. If two graphs G and H each contain cliques of equal size, the clique-sum of G and H is formed from their disjoint union by identifying pairs of vertices in these two cliques to form a single shared clique, and then possibly deleting some of the clique edges. A k-clique-sum is a clique-sum in which both cliques have at most k vertices.
Décomposition arborescenteEn théorie des graphes, une décomposition arborescente ou décomposition en arbre (en anglais : tree-decomposition) consiste en une décomposition d'un graphe en séparateurs (sous-ensembles de sommets dont la suppression rend le graphe non connexe), connectés dans un arbre. Cette décomposition permet de définir une autre notion importante, la largeur arborescente ou largeur d'arbre (treewidth). Cette méthode a été proposée par Paul Seymour et Neil Robertson dans le cadre de leur théorie sur les mineurs d'un graphe.
Théorème des quatre couleursLe théorème des quatre couleurs indique qu'il est possible, en n'utilisant que quatre couleurs différentes, de colorier n'importe quelle carte découpée en régions connexes, de sorte que deux régions adjacentes (ou limitrophes), c'est-à-dire ayant toute une frontière (et non simplement un point) en commun reçoivent toujours deux couleurs distinctes. L'énoncé peut varier et concerner, de manière tout à fait équivalente, la coloration des faces d'un polyèdre ou celle des sommets d'un graphe planaire, en remplaçant la carte par un graphe dont les sommets sont les régions et les arêtes sont les frontières entre régions.
Circular-arc graphIn graph theory, a circular-arc graph is the intersection graph of a set of arcs on the circle. It has one vertex for each arc in the set, and an edge between every pair of vertices corresponding to arcs that intersect. Formally, let be a set of arcs. Then the corresponding circular-arc graph is G = (V, E) where and A family of arcs that corresponds to G is called an arc model. demonstrated the first polynomial recognition algorithm for circular-arc graphs, which runs in time.
Interval orderIn mathematics, especially order theory, the interval order for a collection of intervals on the real line is the partial order corresponding to their left-to-right precedence relation—one interval, I1, being considered less than another, I2, if I1 is completely to the left of I2. More formally, a countable poset is an interval order if and only if there exists a bijection from to a set of real intervals, so , such that for any we have in exactly when .
K-arbrevignette|Le graphe de Goldner–Harary est un exemple d'un 3-arbre planaire. En théorie des graphes, un k- arbre est un type de graphe non orienté. Un graphe est un k-arbre s'il peut être obtenu de la manière suivante : on part du graphe complet à ( k + 1) sommets, puis on ajoute des sommets tels que, pour un sommet v ajouté, v a exactement k voisins dans le graphe au moment de l'ajout, et ces voisins forment une clique. Les k-arbres sont exactement les graphes de largeur arborescente donnée, maximaux au sens que l'on ne peut pas ajouter d'arêtes sans augmenter leur largeur arborescente.
Graphe de MycielskiEn théorie des graphes, les graphes de Mycielski, ou myscielkiens, sont des graphes sans triangles de nombre chromatique élevé, construits par récurrence à partir du graphe formé d'un unique sommet par une transformation appelée elle aussi myscielskien. Ils sont dus au mathématicien Jan Mycielski. Soit un graphe. Le mycielkien de ce graphe noté est le graphe avec où est une copie de et où et . Les graphes de Mycielski sont les graphes définis par la récurrence suivante : est le graphe à une arête, et .
Théorème de DilworthLe théorème de Dilworth en théorie des ordres et en combinatoire, dû à Robert Dilworth, caractérise la largeur de tout ordre (partiel) fini en termes d'une partition de cet ordre en un nombre minimum de chaînes. Dans un ensemble ordonné, une antichaîne est une partie dont les éléments sont deux à deux incomparables et une chaîne est une partie dont les éléments sont deux à deux comparables. Le théorème de Dilworth établit, pour un ordre fini, l'existence d'une antichaîne A et d'une partition de l'ensemble ordonné en une famille P de chaînes, telles que A et P aient même cardinal.
Graphe chenillethumb|upright=1.2|Un graphe chenille. En théorie des graphes, un graphe chenille ou plus simplement une chenille est un arbre dans lequel tous les sommets sont à distance au plus 1 d'un chemin central. Les graphes chenilles ont d'abord été étudiés dans une série d'articles de Harary et Schwenk. Le nom a été suggéré par A. Hobbs. Harary & Schwenk écrivent de façon colorée : « une chenille est un arbre qui se métamorphose en un chemin lorsque son cocon de points d'extrémité est supprimé ».
Mirsky's theoremIn mathematics, in the areas of order theory and combinatorics, Mirsky's theorem characterizes the height of any finite partially ordered set in terms of a partition of the order into a minimum number of antichains. It is named for and is closely related to Dilworth's theorem on the widths of partial orders, to the perfection of comparability graphs, to the Gallai–Hasse–Roy–Vitaver theorem relating longest paths and colorings in graphs, and to the Erdős–Szekeres theorem on monotonic subsequences.