Valeur de l'entrepriseLa valeur de l'entreprise est la valeur des cash flows libres de celle-ci. Cette valeur se calcule comme suit : Valeur de l'entreprise = capitalisation boursière + dette financière nette + intérêts minoritaires + provisions - entreprises associées. Cette donnée ne dépendant que faiblement de la structure du capital, elle permet de comparer des entreprises dont le niveau d'endettement est très différent. Elle se distingue en cela de la capitalisation boursière.
Crise de la dette publique grecquevignette|droite|upright=1.3|Palais du parlement hellénique devant la place Syntagma à Athènes. La crise de la dette publique grecque est une crise financière ayant débuté en 2008, affectant la Grèce et menaçant de s'étendre à l'Union européenne, due à l'emballement de la dette publique de la Grèce. Cette dette pèse sur l'économie du pays de deux manières : par les craintes qu'elle fait naître chez les investisseurs sur la capacité de la Grèce à rembourser sa dette publique et par le poids du paiement de ses intérêts.
Valuation using discounted cash flowsValuation using discounted cash flows (DCF valuation) is a method of estimating the current value of a company based on projected future cash flows adjusted for the time value of money. The cash flows are made up of those within the “explicit” forecast period, together with a continuing or terminal value that represents the cash flow stream after the forecast period. In several contexts, DCF valuation is referred to as the "income approach".
Crise de la dette dans la zone euroLa crise de la dette dans la zone euro, également appelée crise des dettes souveraines ou encore crise de la dette européenne, désigne une suite d'événements financiers qui affecte, depuis le début de l'année 2010, les économies de 19 États membres de l'Union européenne, dont la monnaie de référence est l'euro, dans le sillage de la crise financière de 2007-2010. Le premier évènement est relevé en 2010, avec la crise de la dette grecque, provoquée par la mise en lumière de celle-ci, ainsi que de son important et constant déficit public.
Accumulation du capitalL’accumulation du capital est un phénomène économique d'ordre microéconomique et macroéconomique. Il s'agit soit de l'épargne accumulée par des individus, soit de l'accumulation de capital, comme facteur de production, qui permet d’augmenter la production totale de l’économie. Le concept est issu de l'économie politique classique chez Adam Smith et David Ricardo. Accumulation primitive du capital Dans la Richesse des nations, Adam Smith réfléchit à la formation du capital et à ses origines.
Taux sans risqueUn taux sans risque dans une devise et pour une période particulière est le taux d'intérêt constaté sur le marché des emprunts d'État de pays considérés solvables et d'organisations intergouvernementales pour la même devise et la même période. On désigne donc ainsi l'absence théorique de risque de crédit, et non une quelconque absence de risque de taux, qui lui demeure bien présent. Il est toutefois à noter qu'un État peut faire faillite. Comme pour tous les taux d'intérêt, il convient de préciser quelles bases et conventions de calcul s'appliquent.
Valeur mobilièreUne valeur mobilière est une catégorie d'instruments financiers (titres financiers ou contrats financiers), qui peut être soit un titre de propriété (action), soit un titre de créance (obligation), et qui confère des droits standardisés (droit au même coupon ou dividende, etc., pour une émission donnée ayant le même montant nominal). Les valeurs mobilières existaient dès le Moyen Âge et leur usage s'est renforcé au , comme en témoigne l'histoire des bourses de valeurs, qui a cependant surtout marqué une accélération à partir du premier tiers du .
Structure algébriqueEn mathématiques, une structure algébrique est définie axiomatiquement par une ou plusieurs opérations sur un ensemble (dites internes), éventuellement muni d’autres opérations (externes) dépendant d’autres ensembles, toutes ces opérations satisfaisant certaines relations telles que l’associativité, la commutativité ou la distributivité. La structure de groupe qui émerge progressivement au , avec une seule opération interne et quelques propriétés se formalise au début du avec une kyrielle de structures d’algèbre générale moins restrictives (monoïde) ou au contraire enrichies par une seconde opération (anneau, corps, algèbre de Boole.
Capital social (sciences sociales)Le capital social est la possibilité de mobiliser à travers ses réseaux sociaux des ressources en tout genre. Plus le capital social d'une personne ou d'une organisation est grand, plus elle est privilégiée dans les dynamiques sociales. Certains groupes sociaux ont un capital social vu comme plus faible, il s'agit des groupes marginalisés ou dans la précarité. Il en va de même dans le cadre des échanges entre des institutions sociales, comme les marchés. La notion de capital social sous-tend que les structures sociales sont hiérarchisées.
Terme (logique)Un terme est une expression de base du calcul des prédicats, de l'algèbre, notamment de l'algèbre universelle, et du calcul formel, des systèmes de réécriture et de l'unification. C'est l'objet produit par une analyse syntaxique. Sa principale caractéristique est d'être homogène (il n'y a que des opérations de base et pas d'opérations logiques) et de décrire l'agencement des opérations de base. Un terme est parfois appelé une formule du premier ordre.