Équations de Lagrangevignette|Joseph-Louis Lagrange Les équations de Lagrange, découvertes en 1788 par le mathématicien Joseph-Louis Lagrange, sont une reformulation de la mécanique classique. Il s'agit d'une reformulation de l'équation de Newton, qui ne fait pas intervenir les forces de réaction. Pour cela, on exprime les contraintes que subit la particule étudiée sous la forme d'équations du type : Il n'y a qu'une équation si le mouvement est contraint à une surface, deux s'il est contraint à une courbe.
Quartic interactionIn quantum field theory, a quartic interaction is a type of self-interaction in a scalar field. Other types of quartic interactions may be found under the topic of four-fermion interactions. A classical free scalar field satisfies the Klein–Gordon equation. If a scalar field is denoted , a quartic interaction is represented by adding a potential energy term to the Lagrangian density. The coupling constant is dimensionless in 4-dimensional spacetime. This article uses the metric signature for Minkowski space.
Interaction de YukawaEn physique des particules, l'interaction de Yukawa est une interaction entre un champ scalaire φ et un champ de Dirac ψ de type : (scalaire) ou (pseudoscalaire). Cette interaction porte le nom du physicien japonais Hideki Yukawa. Cette interaction s'effectue entre les nucléons d'un atome et permet de maintenir le noyau atomique en place. Cette interaction consiste pour les nucléons de s'échanger des pion (particule) qui peuvent transformer des neutrons en protons et vice-versa.
Fixed effects modelIn statistics, a fixed effects model is a statistical model in which the model parameters are fixed or non-random quantities. This is in contrast to random effects models and mixed models in which all or some of the model parameters are random variables. In many applications including econometrics and biostatistics a fixed effects model refers to a regression model in which the group means are fixed (non-random) as opposed to a random effects model in which the group means are a random sample from a population.
Reconnexion magnétiquedroite|vignette|380px|Reconnexion magnétique: Ce schéma est une coupe à travers quatre domaines magnétiques séparés par une interface propice à un phénomène de reconnexion. Deux séparatrices (voir texte) divisent l'espace en quatre domaines magnétiques avec un point critique (de stagnation) au centre de la figure. Les larges flèches jaunes indiquent le mouvement général du plasma. Les lignes magnétiques et le plasma qui les porte s'écoulent vers le centre à partir du haut (lignes rouges) et du bas (lignes bleues) de l'image, reconnectent au niveau de la zone critique, puis s'évacuent vers l'extérieur à gauche et à droite.
MarginalismeLe marginalisme est un mouvement intellectuel économique qui promeut une méthode d'analyse économique basée sur le raisonnement à la marge, résultant de « l'utilité marginale » (l'utilité de la dernière unité consommée). Il façonne le courant de l'école néoclassique à la fin du XIXe siècle. Cette théorie résulte de travaux menés dans la seconde moitié du de façon indépendante par des chercheurs comme Léon Walras, Carl Menger et William Stanley Jevons.
Interaction électrofaibleL’interaction électrofaible, aussi appelée force électrofaible, est la description unifiée de deux des quatre interactions fondamentales de l'univers, à savoir l'électromagnétisme (appelé électrodynamique quantique dans sa version quantique) et l'interaction faible. Ces deux forces paraissent pourtant très différentes aux échelles d'énergie atomique, et même nucléaire : la force électromagnétique est dite de portée infinie car on peut l'observer aisément à l'échelle macroscopique tandis que la force faible a une influence uniquement à l'échelle microscopique, au niveau du noyau atomique.
Tube de flux magnétiqueUn tube de flux magnétique caractérise une région de l'espace où règne un fort champ magnétique occupant un territoire approximativement tubulaire. Ce champ, à la surface de sa zone de répartition, est parallèle à cette surface. On en trouve généralement autour des grands corps célestes tels que les étoiles. Le Soleil possède de nombreux tubes de flux, avec des diamètres de l'ordre de 300 kilomètres pour la plupart. Un certain nombre de tubes de flux plus importants comportant des diamètres de l'ordre de kilomètres sont connus comme étant directement en rapport avec les taches solaires.
Flux (physique)En physique, un flux est une intégrale de surface de la composante normale d'un champ vectoriel sur une surface donnée. Le champ vectoriel associé est souvent nommé densité de flux. Cette définition rejoint celle du flux en mathématiques. Si dans certains domaines de la physique, le flux est également un débit, lié à un déplacement de matière ou à un transfert d'énergie, ce n'est pas toujours le cas : on aime malgré tout se représenter un flux comme caractéristique de ce qui s'écoule le long des lignes de champs à travers la frontière que marque la surface.
Économie du travailL'économie du travail est une branche de l'économie appliquée à l'analyse du marché du travail. Sur le marché du travail, la confrontation de l’offre et de la demande conduit à déterminer deux grandeurs : le salaire et le niveau d’emploi. La théorie néo-classique utilise ce mécanisme de marché pour démontrer que le chômage ne peut être durable. Il suffit en effet de diminuer les salaires pour que la demande de travail des entreprises s’accroisse et fasse disparaître le chômage.