CartilageLe cartilage est un tissu conjonctif souple parfois élastique que l'on retrouve chez les animaux sous différents types dans le corps y compris à la surface des articulations entre les os et dans la cage thoracique, l'oreille, le nez, les bronches ou les disques intervertébraux. Le cartilage est formé de cellules de forme arrondie, les chondrocytes, incluses dans des logettes nommées chondroplastes au sein d'une matrice extracellulaire constituée de glycosaminoglycanes et de collagène.
DissipationEn physique, la dissipation désigne le phénomène selon lequel un système dynamique (onde, oscillation...) perd de l'énergie au cours du temps. Cette perte est principalement due aux frottements et aux turbulences, et l'énergie correspondante est alors dégradée en chaleur, une forme d'énergie qui ne pourra pas être intégralement retransformée en énergie mécanique, comme l'affirme le deuxième principe de la thermodynamique. Amortissement Dissipateur thermique Entropie Hystérésis Théorème de fluctuation-dissi
Chondrocytevignette|redresse=2|Une cellule chondrocytaire possède à la surface de sa membrane des mécanorécepteurs (annexines, CD44, intégrines) sensibles à la pression et à l'étirement de la membrane cellulaire. Ces récepteurs transforment le qui se traduit par la synthèse et la dégradation des composants de la matrice extracellulaire cartilagineuse. Les chondrocytes (du grec ancien / khóndros, et / kutos, d'où ) sont les cellules composant le cartilage. Ce sont des cellules arrondies et volumineuses (d'un diamètre de 10 à ) présentes dans le cartilage.
Chondroblastethumb|Chrondoblastes Les chondroplastes contiennent des chondroblastes qui sont de futurs chondrocytes. Les chondroblastes sont des cellules arrondies dont la membrane plasmique porte des microvillosités irrégulières au contact de la substance fondamentale et dont le cytoplasme est basophile. Les chondroblastes ont une synthèse protéique importante, à l'origine de la matrice extracellulaire particulièrement développée dans le cartilage. Histologie humaine, Alan Stevens, James Lowe, ed. De Boeck Supérieur Ca
Théorème de fluctuation-dissipationEn théorie de la réponse linéaire, il existe une relation entre la fonction de réponse et la fonction de corrélation . Celle-ci a été établie par Herbert Callen et Theodore Welton en 1951, et pour cette raison le théorème de fluctuation-dissipation est aussi appelé théorème de Callen-Welton. Selon ce théorème, Le nom de théorème de fluctuation-dissipation vient de ce que la partie imaginaire de la fonction de réponse mesure la dissipation, alors que la fonction de corrélation mesure l'intensité des fluctuations.
TempératureLa température est une grandeur physique mesurée à l’aide d’un thermomètre et étudiée en thermométrie. Dans la vie courante, elle est reliée aux sensations de froid et de chaud, provenant du transfert thermique entre le corps humain et son environnement. En physique, elle se définit de plusieurs manières : comme fonction croissante du degré d’agitation thermique des particules (en théorie cinétique des gaz), par l’équilibre des transferts thermiques entre plusieurs systèmes ou à partir de l’entropie (en thermodynamique et en physique statistique).
Dissipation factorIn physics, the dissipation factor (DF) is a measure of loss-rate of energy of a mode of oscillation (mechanical, electrical, or electromechanical) in a dissipative system. It is the reciprocal of quality factor, which represents the "quality" or durability of oscillation. Electrical potential energy is dissipated in all dielectric materials, usually in the form of heat. In a capacitor made of a dielectric placed between conductors, the typical lumped element model includes a lossless ideal capacitor in series with a resistor termed the equivalent series resistance (ESR) as shown below.
GenouLe genou est le segment du membre inférieur situé entre la cuisse et la jambe. Il enferme l'articulation du genou. Sa partie antérieure est occupée par la patella palpable sous la peau. Sa partie postérieure correspond à la fosse poplitée. Le genou a pour limite supérieure la ligne circulaire qui passe à deux travers de doigt au dessus de la patella. Sa limite inférieure est la ligne circulaire passant par l'extrémité inférieure de la tubérosité du tibia.
Processus adiabatiquevignette|250px|Récipient aux parois adiabatiques : le vase de Dewar. En thermodynamique, un processus adiabatique est une transformation effectuée sans qu'aucun transfert thermique n'intervienne entre le système étudié et son environnement, c'est-à-dire sans échange de chaleur entre les deux milieux. Le mot « adiabatique » a été construit à partir du grec (« infranchissable »), dérivé de , « traverser, franchir ». Un matériau adiabatique est imperméable à la chaleur.
Température thermodynamiqueLa température thermodynamique est une formalisation de la notion expérimentale de température et constitue l’une des grandeurs principales de la thermodynamique. Elle est intrinsèquement liée à l'entropie. Usuellement notée , la température thermodynamique se mesure en kelvins (symbole K). Encore souvent qualifiée de « température absolue », elle constitue une mesure absolue parce qu’elle traduit directement le phénomène physique fondamental qui la sous-tend : l’agitation des constituant la matière (translation, vibration, rotation, niveaux d'énergie électronique).