Interface utilisateurL’interface utilisateur est un dispositif matériel ou logiciel qui permet à un usager d'interagir avec un produit informatique. C'est une interface informatique qui coordonne les interactions homme-machine, en permettant à l'usager humain de contrôler le produit et d'échanger des informations avec le produit. Parmi les exemples d’interface utilisateur figurent les aspects interactifs des systèmes d’exploitation informatiques, des logiciels informatiques, des smartphones et, dans le domaine du design industriel, les commandes des opérateurs de machines lourdes et les commandes de processus.
Base orthonorméeEn géométrie vectorielle, une base orthonormale ou base orthonormée (BON) d'un espace euclidien ou hermitien est une base de cet espace vectoriel constituée de vecteurs de norme 1 et orthogonaux deux à deux. Dans une telle base, les coordonnées d'un vecteur quelconque de l'espace sont égales aux produits scalaires respectifs de ce vecteur par chacun des vecteurs de base, et le produit scalaire de deux vecteurs quelconques a une expression canonique en fonction de leurs coordonnées.
Recherche fondamentaleLa recherche fondamentale consiste en des travaux expérimentaux ou théoriques entrepris principalement en vue d'acquérir de nouvelles connaissances sur les fondements des phénomènes et des faits observables, sans envisager une application ou une utilisation particulière. En somme, elle « crée » de la connaissance et l’explique. Les résultats des recherches fondamentales donnent en général lieu à des publications dans des revues scientifiques. La recherche fondamentale peut être de deux types.
Quaternionvignette|Plaque commémorative de la naissance des quaternions sur le pont de Broom (Dublin). En mathématiques, un quaternion est un nombre dans un sens généralisé. Les quaternions englobent les nombres réels et complexes dans un système de nombres plus vastes où la multiplication n'est cette fois-ci plus une loi commutative. Les quaternions furent introduits par le mathématicien irlandais William Rowan Hamilton en 1843. Ils trouvent aujourd'hui des applications en mathématiques, en physique, en informatique et en sciences de l'ingénieur.
MatroïdeEn mathématiques, et plus particulièrement en combinatoire, un matroïde est une structure introduite comme un cadre général pour le concept d'indépendance linéaire. Elle est donc naturellement liée à l'algèbre linéaire (déjà au niveau du vocabulaire : indépendant, base, rang), mais aussi à la théorie des graphes (circuit, cycle), à l'algorithmique (algorithme glouton), et à la géométrie (pour diverses questions liées à la représentation). La notion a été introduite en 1935 par Whitney. Le mot matroïde provient du mot matrice.
Sciences biomédicalesLes sciences biomédicales correspondent à un champ d’étude étendu des sciences de la vie ayant pour but l'application directe des connaissances des lois de la vie en médecine. Elles ont pour objectifs l’étude des organismes vivants et les réponses que ceux-ci manifestent à des traumatismes ou à des états pathologiques divers (inflammation chronique, infection virale, etc.). Elles contribuent ainsi à la mise en place de nouvelles thérapeutiques par l’étude des origines de ces processus pathologiques ainsi que par l'étude des réponses des organismes visant à rétablir l’homéostasie.
Cycle spaceIn graph theory, a branch of mathematics, the (binary) cycle space of an undirected graph is the set of its even-degree subgraphs. This set of subgraphs can be described algebraically as a vector space over the two-element finite field. The dimension of this space is the circuit rank of the graph. The same space can also be described in terms from algebraic topology as the first homology group of the graph. Using homology theory, the binary cycle space may be generalized to cycle spaces over arbitrary rings.