Sphingomyélineupright=1.25|vignette|Structure des sphingomyélines à choline. Une sphingomyéline est un sphingolipide constitué d'une unité céramide liée à un résidu de choline par une liaison phosphodiester. Chez l'Homme, les sphingomyélines constituent environ 85 % de tous les sphingolipides et seraient le seul phospholipide qui ne soit pas un phosphoglycéride. Ce sont les constituants fondamentaux de la gaine de myéline des nerfs et sont donc de bons isolants électriques.
Juxtacrinevignette|Communication juxtacrine par voie de signalisation Notch entre cellules adjacentes. En biologie cellulaire, la communication juxtacrine est un type de signalisation cellulaire entre cellules adjacentes impliquant des oligosaccharides, des lipides ou des protéines de la membrane cellulaire, et affectant la cellule émettrice ou certaines des cellules adjacentes. Contrairement à d'autres modes de signalisation cellulaire, paracrine ou endocrine, la signalisation juxtacrine requiert l'établissement d'un contact physique entre les cellules impliquées dans cette communication.
Muqueusevignette|Organisation d'une muqueuse (épithélium, membrane basale et chorion). En rouge, un vaisseau qui va nourrir l'épithélium grâce au chorion. Une muqueuse (du latin mucus) est une mince couche de tissu constituée d'un épithélium, et de tissu conjonctif sous-jacent qui se nomme chorion. Les muqueuses tapissent les cavités du corps qui sont en continuité avec la peau. Épithélium et chorion sont séparés par une lame basale. L'infection d'une muqueuse est appelée « mucite ».
Théorème de GibbsLe théorème de Gibbs permet de calculer l'entropie d'un mélange de gaz parfaits. Il s'énonce ainsi : L'entropie d'un mélange idéal de gaz parfaits est égale à la somme des entropies de ses constituants supposés séparés, à la température du mélange, et sous des pressions égales aux pressions partielles qu'ils exercent dans le mélange. Le théorème de Gibbs montre qu'un mélange de gaz parfaits est une solution idéale.
Membrane basaleLa membrane basale est une matrice extracellulaire particulière qu'on trouve à l'interface entre un épithélium et un tissu conjonctif (souvent qualifié de chorion). Sa perméabilité régule les échanges de molécules, en particulier de nutriments, entre les deux tissus. Elle contribue également à la cohésion structurale de l'épithélium. Elle est constituée d'une lame basale d'origine épithéliale et d'une lame réticulaire d'origine conjonctive.
Échelle de HammettL'échelle d'acidité de Hammett (aussi appelée fonction d'acidité de Hammett) est un graphique général permettant de positionner les uns vis-à-vis des autres les divers couples acido-basiques et les domaines d'activité des divers solvants utilisés en chimie inorganique. Elle s'avère très utile pour comparer les propriétés des divers solvants.
Ampoule à décanterthumb|upright|Schéma de deux types d'ampoules à décanter: A - conique, B - cylindrique. L'ampoule à décanter est un élément de verrerie de laboratoire, utilisé pour séparer par décantation deux liquides non-miscibles pour effectuer une extraction liquide-liquide. Les deux phases sont en général l'une aqueuse et l'autre organique (éther, cyclohexane, chloroforme...). Lors de la décantation, le liquide le plus dense se placera, sous l'effet de la gravitation, en dessous du liquide le moins dense : on dira que le liquide le moins dense constitue la phase supérieure, et le liquide le plus dense la phase inférieure.
Lamellar phaseLamellar phase refers generally to packing of polar-headed long chain nonpolar-tail molecules in an environment of bulk polar liquid, as sheets of bilayers separated by bulk liquid. In biophysics, polar lipids (mostly, phospholipids, and rarely, glycolipids) pack as a liquid crystalline bilayer, with hydrophobic fatty acyl long chains directed inwardly and polar headgroups of lipids aligned on the outside in contact with water, as a 2-dimensional flat sheet surface.
Théorie SITLa théorie SIT, ou Specific ion interaction theory, est un modèle théorique utilisé en chimie pour estimer les coefficients d'activité d'ions simples dans des solutions électrolytiques à concentrations relativement élevées. Cette estimation repose sur la prise en compte des coefficients d'interaction entre les différents ions présents en solution. Les coefficients d'interactions sont déterminés à partir des valeurs de la constante d'équilibre prises sur des solutions à différentes forces ioniques.