NanotigeEn nanotechnologie, une nanotige est l'une des formes des objets nanométriques. Chacune de ses dimensions va de 1 à . Elle peut être synthétisée chimiquement à partir d'un matériau métallique ou semi-conducteur. Un ensemble de ligands influent sur les agents de forme et se lient aux différentes facettes de la nanotige avec une force variable. Ces forces agissent sur le taux de croissance des facettes, ce qui permet de créer une nanotige étirée selon une direction.
Faux videDans la théorie quantique des champs, le faux vide est un secteur d'espace métastable qui semble être un vide par analyse perturbative mais qui est instable sous les effets instanton (effet tunnel vers un potentiel plus bas). En physique théorique du faux vide, un système métastable transite vers un vide de plus basse énergie par un processus connu sous le nom de nucléation de bulle. Dans une approche semi-classique, la transition est modélisée par l'apparition d'une bulle dans laquelle les champs ont la valeur d'attente du vide et qui est due aux effets des instantons.
Effet Casimirvignette|Forces de Casimir sur des plaques parallèles. vignette|Forces de Casimir sur des plaques parallèles. L’effet Casimir, tel que prédit par le physicien néerlandais Hendrik Casimir en 1948, est une force attractive entre deux plaques parallèles conductrices et non chargées. Cet effet, dû aux fluctuations quantiques du vide, existe également pour d'autres géométries d'électrodes. Expérimentalement, on utilise souvent des miroirs. Les fluctuations quantiques du vide sont présentes dans toute théorie quantique des champs.
Résine photosensibleLa résine photosensible (appelée aussi photorésine et parfois photorésist) est un matériau photosensible utilisé dans de nombreux procédés industriels, comme la photolithographie ou la photogravure, afin de former un revêtement protecteur ajouté à la surface d'un substrat.
Centrale thermiqueUne centrale thermique est une centrale électrique qui fonctionne à partir d'une source de chaleur selon le principe des machines thermiques. Cette transformation se fait soit directement, par détente des gaz de combustion, soit indirectement, par exemple à travers un cycle eau-vapeur. Les installations à cogénération utilisent en outre une partie de la chaleur résiduelle pour d'autres applications, telles que les réseaux de chaleur.