Weber (unité)In physics, the weber (ˈveɪb-,_'wEb.ər ; symbol: Wb) is the unit of magnetic flux in the International System of Units (SI), whose units are volt-second. A magnetic flux density of one Wb/m2 (one weber per square metre) is one tesla. The weber is named after the German physicist Wilhelm Eduard Weber (1804–1891). The weber may be defined in terms of Faraday's law, which relates a changing magnetic flux through a loop to the electric field around the loop.
Groupe fondamentalEn mathématiques, et plus spécifiquement en topologie algébrique, le groupe fondamental, ou groupe de Poincaré, est un invariant topologique. Le groupe fondamental d'un espace topologique pointé (X, d) est, par définition, l'ensemble des classes d'homotopie de lacets (chemins fermés) de X de base d. C'est un groupe dont la loi de composition interne est induite par la concaténation (juxtaposition) des arcs. L'examen des groupes fondamentaux permet de prouver que deux espaces particuliers ne peuvent être homéomorphes (c'est-à-dire topologiquement équivalents).
Timeline of category theory and related mathematicsThis is a timeline of category theory and related mathematics. Its scope ("related mathematics") is taken as: of abstract algebraic structures including representation theory and universal algebra; Homological algebra; Homotopical algebra; Topology using categories, including algebraic topology, categorical topology, quantum topology, low-dimensional topology; Categorical logic and set theory in the categorical context such as algebraic set theory; Foundations of mathematics building on categories, for instance topos theory; Abstract geometry, including algebraic geometry, categorical noncommutative geometry, etc.
Catégorie concrèteEn mathématiques, et plus précisément en théorie des catégories, une catégorie concrète sur une catégorie est un couple où est une catégorie et est un foncteur fidèle. Le foncteur est appelé le foncteur d'oubli et est appelée la catégorie base pour . Si n'est pas précisée, il est sous-entendu qu'il s'agit de la catégorie des ensembles . Dans ce cas, les objets de la catégorie sont des ensembles munis de certaines structures, et les morphismes de cette catégorie sont les morphismes entre ensembles munis de ces structures.
Catégorie cartésienneUne catégorie cartésienne est, en mathématiques — et plus précisément en théorie des catégories — une catégorie munie d'un objet terminal et du produit binaire. Dans une catégorie cartésienne, la notion de morphisme entre morphismes n'a pas encore de sens. C'est pourquoi l'on définit l'exponentiation, c'est-à-dire l'objet B qui représente l'« ensemble » des morphismes de A dans B. Munie de cette propriété de clôture qu'est l'exponentiation, une catégorie cartésienne devient une catégorie cartésienne fermée.
Objet libreEn mathématiques, la notion d'objet libre est l'un des concepts de base de l'algèbre générale. Elle appartient à l'algèbre universelle, car elle s'applique à tous les types de structures algébriques (avec des opérations finitaires). Elle se formule plus généralement dans le langage de la théorie des catégories : le foncteur « objet libre » est l'adjoint à gauche du foncteur d'oubli. Des exemples d'objets libres sont les groupes libres, les groupes abéliens libres, les algèbres tensorielles...
ConnectivitéLa connectivité désigne ce qu'une entité offre comme à d'autres entités de son environnement. Elle se rapporte plus généralement à la théorie des graphes. En écologie, la connectivité écologique désigne le degré de non-fragmentation écologique des milieux et paysages. La connectivité est parfois utilisée pour désigner les connecteurs offerts par un dispositif physique, par exemple, pour un appareil électrique. En géométrie, la connectivité peut aussi désigner le voisinage d'une entité dans un pavage.
Coherent dualityIn mathematics, coherent duality is any of a number of generalisations of Serre duality, applying to coherent sheaves, in algebraic geometry and complex manifold theory, as well as some aspects of commutative algebra that are part of the 'local' theory. The historical roots of the theory lie in the idea of the adjoint linear system of a linear system of divisors in classical algebraic geometry. This was re-expressed, with the advent of sheaf theory, in a way that made an analogy with Poincaré duality more apparent.
Tensor-hom adjunctionIn mathematics, the tensor-hom adjunction is that the tensor product and hom-functor form an adjoint pair: This is made more precise below. The order of terms in the phrase "tensor-hom adjunction" reflects their relationship: tensor is the left adjoint, while hom is the right adjoint. Say R and S are (possibly noncommutative) rings, and consider the right module categories (an analogous statement holds for left modules): Fix an -bimodule and define functors and as follows: Then is left adjoint to .
Algèbre de HeytingEn mathématiques, une algèbre de Heyting est une structure algébrique introduite en 1930 par le mathématicien néerlandais Arend Heyting pour rendre compte formellement de la logique intuitionniste de Brouwer, alors récemment développée. Les algèbres de Heyting sont donc pour la logique intuitionniste analogue à ce que sont des algèbres de Boole pour la logique classique : un modèle formel permettant d'en fixer les propriétés.