Reconnexion magnétiquedroite|vignette|380px|Reconnexion magnétique: Ce schéma est une coupe à travers quatre domaines magnétiques séparés par une interface propice à un phénomène de reconnexion. Deux séparatrices (voir texte) divisent l'espace en quatre domaines magnétiques avec un point critique (de stagnation) au centre de la figure. Les larges flèches jaunes indiquent le mouvement général du plasma. Les lignes magnétiques et le plasma qui les porte s'écoulent vers le centre à partir du haut (lignes rouges) et du bas (lignes bleues) de l'image, reconnectent au niveau de la zone critique, puis s'évacuent vers l'extérieur à gauche et à droite.
Palier magnétiqueUn palier magnétique est un palier qui supporte une charge grâce à la sustentation électromagnétique (ou "lévitation magnétique"). Les paliers magnétiques permettent le support de pièces mobiles sans contact physique. Il existe deux types de paliers magnétiques : Les paliers magnétiques "actifs" asservis où un système de contrôle électronique régule des électroaimants assurant le centrage. La majorité des applications actuelles utilisent ce principe.
Flux électriqueEn électromagnétisme, le flux électrique est le flux du champ électrique à travers une surface. Contrairement au flux magnétique, cette grandeur ne présente pas d'intérêt particulier en électromagnétisme dans le cas général. Sa seule caractéristique notable est que sur le plan théorique, le flux électrique à travers une surface fermée est proportionnelle à la charge électrique du volume correspondant. Le flux électrique n'étant pas une grandeur mesurable, cette propriété n'a pas d'application pratique.
Théorème de Helmholtz-HodgeEn mathématiques et en physique, dans le domaine de l’analyse vectorielle, le théorème de Helmholtz-Hodge, également appelé théorème fondamental du calcul vectoriel, assure qu'un champ vectoriel se décompose en une composante « longitudinale » (irrotationnelle) et une composante « transverse » (solénoïdale), soit la somme du gradient d’un champ scalaire et du rotationnel d’un champ vectoriel. Ce résultat possède des applications importantes en électromagnétisme et en mécanique des fluides ; il est également exploité en sismologie.
Laplacian of the indicatorIn mathematics, the Laplacian of the indicator of the domain D is a generalisation of the derivative of the Dirac delta function to higher dimensions, and is non-zero only on the surface of D. It can be viewed as the surface delta prime function. It is analogous to the second derivative of the Heaviside step function in one dimension. It can be obtained by letting the Laplace operator work on the indicator function of some domain D.
Mesure de DiracIn mathematics, a Dirac measure assigns a size to a set based solely on whether it contains a fixed element x or not. It is one way of formalizing the idea of the Dirac delta function, an important tool in physics and other technical fields. A Dirac measure is a measure δx on a set X (with any σ-algebra of subsets of X) defined for a given x ∈ X and any (measurable) set A ⊆ X by where 1A is the indicator function of A. The Dirac measure is a probability measure, and in terms of probability it represents the almost sure outcome x in the sample space X.
Mine marinevignette|Une mine marine allemande de 1944 conservée au musée de l'Armée. Une mine marine ou mine sous-marine est une charge explosive placée en surface, au milieu de l'eau ou au fond de la mer, qui se déclenche automatiquement lorsqu'un navire de surface ou un sous-marin passe à proximité (et a fortiori au contact). La mine marine flottante moderne est une invention du physicien russe d'origine prussienne Moritz von Jacobi en 1853, dont le premier usage se fera en Mer Baltique en 1854, pour défendre Kronstadt, mais le concept pourrait remonter au , en Chine.