Implicit cognitionImplicit cognition refers to cognitive processes that occur outside conscious awareness or conscious control. This includes domains such as learning, perception, or memory which may influence a person's behavior without their conscious awareness of those influences. Implicit cognition is everything one does and learns unconsciously or without any awareness that one is doing it. An example of implicit cognition could be when a person first learns to ride a bike: at first they are aware that they are learning the required skills.
Souvenir (mémoire)Un souvenir est quelque chose dont on se remémore, un élément de la mémoire. Paul Valéry Pour René Descartes, la description des mécanismes psychologiques permet de définir certaines de nos facultés. Ainsi le souvenir des choses matérielles est-il la conservation de certaines traces de mouvements provoqués dans notre cerveau. De même, l'imagination ne s'explique que par des mouvements corporels joints à une certaine activité de l'âme.
Concept learningConcept learning, also known as category learning, concept attainment, and concept formation, is defined by Bruner, Goodnow, & Austin (1967) as "the search for and listing of attributes that can be used to distinguish exemplars from non exemplars of various categories". More simply put, concepts are the mental categories that help us classify objects, events, or ideas, building on the understanding that each object, event, or idea has a set of common relevant features.
Self-perception theorySelf-perception theory (SPT) is an account of attitude formation developed by psychologist Daryl Bem. It asserts that people develop their attitudes (when there is no previous attitude due to a lack of experience, etc.—and the emotional response is ambiguous) by observing their own behavior and concluding what attitudes must have caused it. The theory is counterintuitive in nature, as the conventional wisdom is that attitudes determine behaviors. Furthermore, the theory suggests that people induce attitudes without accessing internal cognition and mood states.
Biais cognitifalt=180+ cognitive biases, designed by John Manoogian III (jm3)|vignette|302x302px|Les biais cognitifs peuvent être organisés en quatre catégories : les biais qui découlent de trop d'informations, pas assez de sens, la nécessité d'agir rapidement et les limites de la mémoire. Modèle Algorithmique: John Manoogian III (jm3) Modèle Organisationnel: Buster Benson. Un biais cognitif est une déviation dans le traitement cognitif d'une information. Le terme biais fait référence à une déviation de la pensée logique et rationnelle par rapport à la réalité.
Amorçage (psychologie)vignette|323x323px|Lien entre amorce et cible En psychologie cognitive, l’amorçage consiste, lors d'une expérience, à faire précéder un stimulus (l'amorce) par un autre (la cible) avec un court laps de temps. Le rôle de l'amorce est d'influencer la façon dont le second sera traité. Ce phénomène s'opère sans intention consciente. Lorsque l’amorce influence effectivement le traitement de la cible, il y a un effet d'amorçage. Une cible peut ainsi être reconnue plus rapidement lorsqu’un sujet a été exposé à une amorce.
Excès de confianceL'effet d'excès de confiance est un biais cognitif bien établi qui se manifeste lorsque la confiance subjective d'une personne dans ses jugements dépasse systématiquement l'exactitude objective de ces jugements, surtout lorsque la confiance est élevée. L'excès de confiance est un exemple de mauvaise calibration des probabilités subjectives. Dans la littérature de recherche, l'excès de confiance est défini de trois manières distinctes : surestimation des performances réelles, surévaluation des performances par rapport aux autres et certitude démesurée qui exprime une confiance injustifiée dans l'exactitude de croyances.
Cécité d'inattentionLa cécité d'inattention (traduction la plus fréquente de l'expression anglaise inattentional blindness) est le fait d'échouer à remarquer un stimulus pourtant parfaitement visible. Ce stimulus est généralement inattendu, mais il devrait cependant être perçu. Le phénomène se produit typiquement parce que trop d'éléments mobilisent déjà l'attention de l'observateur. De nombreuses expériences ont permis de mettre en évidence ce phénomène, qui a d’importantes conséquences pratiques, en particulier dans le domaine de la sécurité routière.
SomesthésieLa somesthésie (dite aussi sensibilité du corps) constitue un des systèmes sensoriels de l'organisme. La somesthésie désigne un ensemble de différentes sensations (pression, chaleur, douleur...) qui proviennent de plusieurs régions du corps (peau, tendons, articulations, viscères...). Ces sensations sont élaborées à partir des informations fournies par de nombreux récepteurs sensitifs du système somatosensoriel, situés dans les tissus de l'organisme (mécanorécepteurs du derme et des viscères, fuseaux neuromusculaires des muscles, fuseaux neurotendineux des tendons, plexus de la racine des poils.
HaptiqueL’haptique, du grec grc qui signifie « je touche », désigne la discipline qui explore et exploite le sens du toucher et les phénomènes kinesthésiques, c'est-à-dire la perception du corps dans l’environnement, par analogie avec l'acoustique ou l'optique. Un courant philosophique emploie, dans le domaine de l'esthétique, « haptique » en opposition à « optique », reconnaissant dans certains styles la volonté de provoquer chez le spectateur, par la vision, une émulation du sens du toucher sans que celui-ci soit physiquement activé.