Relation (mathématiques)Une relation entre objets mathématiques d'un certain domaine est une propriété qu'ont, ou non, entre eux certains de ces objets ; ainsi la relation d'ordre strict, notée « < », définie sur N l'ensemble des entiers naturels : 1 < 2 signifie que 1 est en relation avec 2 par cette relation, et on sait que 1 n'est pas en relation avec 0 par celle-ci. Une relation est très souvent une relation binaire, définie sur un ensemble comme la relation d'ordre strict sur N, ou entre deux ensembles.
Nébuleuse d'OrionLa nébuleuse d'Orion, également connue sous le matricule de M42, Sh2-281, LBN 974, ou NGC 1976, est un nuage diffus qui brille en émission et en réflexion au cœur de la constellation du même nom. C'est la nébuleuse la plus intense visible à l'œil nu depuis l'hémisphère nord, de nuit et en l'absence de pollution lumineuse. Elle peut être facilement observée avec des jumelles. Sa structure occupe un pan de ciel de 66 × 60 minutes d'arc, quatre fois plus étendu que la pleine lune. Sa taille est d'environ 24 années-lumière.
Long-focus lensIn photography, a long-focus lens is a camera lens which has a focal length that is longer than the diagonal measure of the film or sensor that receives its image. It is used to make distant objects appear magnified with magnification increasing as longer focal length lenses are used. A long-focus lens is one of three basic photographic lens types classified by relative focal length, the other two being a normal lens and a wide-angle lens.
Normal lensIn photography and cinematography, a normal lens is a lens that reproduces a field of view that appears "natural" to a human observer. In contrast, depth compression and expansion with shorter or longer focal lengths introduces noticeable, and sometimes disturbing, distortion. Photographic technology employs different physical methods from the human eye in order to capture images. Thus, manufacturing optics which produce images that appear natural to human vision is problematic.
Cercle circonscritEn géométrie, un cercle circonscrit à un polygone est un cercle qui passe par tous les sommets du polygone. Le polygone est alors dit inscrit dans le cercle : on parle de polygone inscriptible ou parfois de polygone cyclique. Les sommets sont alors cocycliques, c'est-à-dire situés sur un même cercle. Si le polygone n'est pas aplati, ce cercle est unique et son centre est le point de concours des médiatrices des côtés. Un polygone n'a pas nécessairement de cercle circonscrit, mais les triangles, les rectangles et les polygones réguliers sont tous inscriptibles.
Angle inscrit dans un demi-cercleLe théorème de géométrie qui affirme que l'angle inscrit dans un demi-cercle est droit, est appelé Théorème de Thalès en Allemagne (Satz des Thales) à partir de la toute fin du , puis dans plusieurs pays, mais assez rarement en France où, à partir à peu près de la même époque, le « théorème de Thalès » désigne un théorème tout autre, sur la proportionnalité des segments découpés sur deux droites sécantes par des droites parallèles.
Point médianLe point médian, ou point milieu, est un signe typographique « · » semblable au point mais placé au-dessus de la ligne de base. Les usages les plus anciens remontent à l’épigraphie : il a servi, dans nombre d'écritures antiques, à séparer les mots. En latin et en grec, son utilisation, bien que fréquente, n’a jamais été systématique, et on a le plus souvent cantonné ce point séparateur de mots aux inscriptions en capitales. Voici un exemple : el (en grec : « lave tes péchés non seulement le visage », palindrome que l’on peut rencontrer sur des fonts baptismaux).
SymédianeEn géométrie, les symédianes d'un triangle désignent des droites particulières de cette figure : ce sont les droites symétriques des médianes par rapport aux bissectrices. La symédiane en un sommet A d'un triangle est l'isogonale de la médiane par rapport aux côtés de l'angle A. Si est la longueur de la médiane issue de A, alors la longueur de la symédiane issue de A est donnée par la formule Émile Lemoine a démontré en 1873 que les trois symédianes d'un triangle d'un plan affine euclidien sont concourantes; il les appelle « médiane antiparallèle », le terme de « symédiane » sera introduit par Maurice d'Ocagne en 1880.