Modèle de circulation généraledroite|vignette|Modèle de circulation générale GEOS-5 (Goddard Earth Observing System Model) développé par la NASA. Un modèle de circulation générale (en anglais, general circulation model ou GCM) est un modèle climatique. Il s'appuie sur les équations de Navier-Stokes, appliquées à une sphère en rotation ainsi que sur des équations d'équilibre de la thermodynamique pour inclure les sources d'énergie (rayonnement, changement de phase). Ceci permet de simuler à la fois la circulation atmosphérique mais aussi la circulation océanique.
Flandrien (géologie)Le Flandrien est une époque géologique informelle équivalent à l'Holocène allant de la dernière glaciation à nos jours. Ce terme est principalement utilisé par les géologues et archéologues britanniques. La différence principale entre le Flandrien et l'Holocène est une question de nomenclature formelle: contrairement à l'Holocène, qui est désormais ratifié par la commission internationale de stratigraphie en tant que série stratigraphique à part entière, l'usage du Flandrien considère plutôt ce dernier comme un simple interglaciaire faisant partie intégrante de la série Pléistocène.
Méthane atmosphériquevignette|redresse=1.2|Augmentation annuelle de la moyenne mondiale du méthane atmosphérique depuis 2004. Le méthane atmosphérique désigne la quantité de méthane présent dans l'atmosphère terrestre. Sa concentration est intéressante car il s'agit de l'un des gaz à effet de serre les plus puissants et qu'elle est en hausse depuis plusieurs décennies. Le potentiel de réchauffement planétaire du méthane sur 20 ans est de 84, c'est-à-dire que sur une période de 20 ans, il piège 84 fois plus de chaleur par unité de masse que le dioxyde de carbone () et 105 fois plus si l'on tient compte des interactions avec les aérosols.
Réchauffement climatiquevignette|redresse=1.35|Températures moyennes de l'air en surface de 2011 à 2020 par rapport à une moyenne de référence de 1951 à 1980. vignette|redresse=1.35|Température observée par la NASA par rapport à la moyenne de 1850-1900 comme référence préindustrielle. Le principal facteur d'augmentation des températures mondiales à l'ère industrielle est l'activité humaine, les forces naturelles ajoutant de la variabilité. vignette|redresse=1.35|L'énergie circule entre l'espace, l'atmosphère et la surface de la Terre.
Glaciations quaternairesvignette|Calottes glaciaires actuelles de la Terre (avec les banquises). Lors de leur extension quaternaire maximale, les glaces couvraient près de 30 % de la planète. vignette|Extension maximale des calottes glaciaires du Nord de l'Europe au cours du Vistulien et de son équivalent alpin le Würmien. L'inlandsis (calotte anglo-irlandaise et calotte fennoscandienne dont l'épaisseur était de au centre) atteint le bassin de Londres et la plaine germano-polonaise.
Rebond post-glaciairevignette|300px|Modélisation de l'ajustement post-glacial quaternaire : les zones en rouge se soulèvent en raison de la fonte des calottes glaciaires. Les zones bleues s'affaissent à cause du remplissage des bassins océaniques consécutif à cette fonte. vignette|Les effets du rebond post-glaciaire à Stockholm. La carte indique l'accroissement des terres sur une période de 4000 ans. Le rebond post-glaciaire (également appelé ajustement isostatique, rebond isostasique ou glacio-isostasie) se définit comme le relèvement de masses terrestres consécutif à la déglaciation et plus précisément à la fonte des calottes glaciaires.
Petit âge glaciaireLe petit âge glaciaire (parfois abrégé en PAG) est une période climatique froide principalement localisée sur l'Atlantique nord ayant approximativement eu lieu entre le début du s. Elle est caractérisée par une série d'hivers longs et froids. Elle porte plusieurs noms, dont « petit âge de glace », « petite période glaciaire » ou encore « petite glaciation ». Elle se caractérise par des périodes de crues glaciaires, auxquelles correspondent plusieurs minimums de températures moyennes très nets.
Glaciation saalienneLa glaciation saalienne (Saale-Eiszeit ou Saale-Kaltzeit en allemand) est le nom donné en Europe septentrionale à l'avant-dernière période glaciaire traditionnelle du Pléistocène. Elle a duré de avant le présent, ce qui correspond aux stades isotopiques 8 à 6 de la chronologie isotopique. Cette période doit son nom à la rivière Saale, en Allemagne. Le Saalien est corrélé à la glaciation de Riss dans la nomenclature alpine. Glaciation elstérienne Glaciation vistulienne Saalien Catégorie:Climat du Pléistocèn
Kansan glaciationThe Kansan glaciation or Kansan glacial (see Pre-Illinoian) was a glacial stage and part of an early conceptual climatic and chronological framework composed of four glacial and interglacial stages. Kansan glaciation was used by early geomorphologists and Quaternary geologists to subdivide glacial and nonglacial deposits within north-central United States from youngest to oldest and are as follows: Wisconsin (glacial) Sangamonian (interglacial) Illinoian (glacial) Yarmouthian (interglacial) Kansan (glacial) Aftonian (interglacial) Nebraskan (glacial) As developed between 1894 and 1909, the Kansan Stage was based on a model that assumed that the Pleistocene deposits contained only two glacial tills and one volcanic ash bed within Nebraska and Kansas.
Inlandsis du GroenlandL'inlandsis du Groenland est un inlandsis recouvrant , soit 80 % du territoire du Groenland. C'est la deuxième plus grande masse de glace sur Terre après l'inlandsis de l'Antarctique, présente sur le Groenland depuis au moins d'années. Elle se réchauffe, fond et s'allège ; et en 2020, il a plu sur l'inlandsis pour la première fois de mémoire d'Homme. La calotte polaire arctique se met en place à la fin du Miocène, entre d'années. L'origine de sa formation fait l'objet de débat.