Micro-environnement tumorallien=//upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/0/04/Tumor_microenvironment.jpg/220px-Tumor_microenvironment.jpg|vignette| Plusieurs facteurs déterminent si les cellules tumorales sont éliminées par le système immunitaire ou échappent à sa détection. Le microenvironnement tumoral (TME, pour tumor microenvironment) est l'environnement autour des cellules tumorales qui comprend des vaisseaux sanguins des cellules immunitaires, des fibroblastes, des molécules de signalisation et la matrice extracellulaire (MEC).
Tumeur du cerveauvignette|Biopsie du cerveau vignette|Scanner du cerveau d'une fillette de 6 ans atteinte d'un médulloblastome (tumeur cérébrale la plus fréquente chez les enfants de moins de 2 ans). Les tumeurs cérébrales désignent l'ensemble des tumeurs, bénignes ou malignes, se développant dans le parenchyme cérébral. Elles surviennent par le développement anormal et désorganisé de divisions cellulaires, à partir soit d'une cellule du cerveau lui-même, soit d'une cellule métastatique exportée d'un cancer situé dans une autre partie du corps.
MésothéliomeLe mésothéliome est une forme rare et virulente de cancer des surfaces mésothéliales qui affecte le revêtement des poumons (la plèvre), de la cavité abdominale (le péritoine), l'enveloppe du cœur (le péricarde) ou plus rarement l'enveloppe du testicule (vaginale). Le mésothéliome pulmonaire est causé par l'exposition à des fibres minérales (comme l’amiante, ou l'érionite). Les études actuelles permettent d'affirmer (odds ratio de 6,6 et risque relatif de 5,02) sans ambigüité une relation entre l'exposition à l'amiante et le développement d'un mésothéliome péritonéal.
Tumeur neuroendocrinienneLes tumeurs neuroendocriniennes ou tumeurs neuroendocrines (TNE) sont des tumeurs (néoplasmes) qui se forment à partir d'un développement désordonné de cellules du système endocrine (hormonal) et du système nerveux. Ces tumeurs particulières sont le plus souvent bénignes, mais quelques-unes sont malignes et peuvent facilement métastaser. La plupart se forment dans l'intestin et le poumon, mais on en trouve ailleurs dans le corps, sur les organes ayant des fonctions de glandes ou voisin ( pénis, voisin du testicule).
Épanchement pleuralUn épanchement pleural liquidien est la présence de liquide dans la cavité pleurale, c'est-à-dire entre les deux feuillets de la plèvre, le feuillet viscéral adhérant au poumon et le feuillet pariétal adhérant à la cage thoracique. Habituellement, cet espace est virtuel. Selon l'importance de l'épanchement, sa mise en évidence peut être faite cliniquement au moyen de l'auscultation pulmonaire et de la percussion, et radiologiquement sur une radiographie du thorax, en s'appuyant sur un examen ultrasonographique ou sur un scanner.
Immune responseAn immune response is a physiological reaction which occurs within an organism in the context of inflammation for the purpose of defending against exogenous factors. These include a wide variety of different toxins, viruses, intra- and extracellular bacteria, protozoa, helminths, and fungi which could cause serious problems to the health of the host organism if not cleared from the body. In addition, there are other forms of immune response.
Pleural cavityThe pleural cavity, pleural space, or interpleural space is the potential space between the pleurae of the pleural sac that surrounds each lung. A small amount of serous pleural fluid is maintained in the pleural cavity to enable lubrication between the membranes, and also to create a pressure gradient. The serous membrane that covers the surface of the lung is the visceral pleura and is separated from the outer membrane, the parietal pleura, by just the film of pleural fluid in the pleural cavity.
Système immunitaire adaptatifvignette|Schéma simplifié de l'homéostasie et de la réponse immunitaire au niveau de la barrière intestinale. Le système immunitaire adaptatif comprend les lymphocytes T, qui contribuent à l'immunité à médiation cellulaire, et les lymphocytes B, qui sont responsables de l'immunité à médiation humorale. Ces deux populations cellulaires ont des propriétés et des fonctions distinctes des cellules du système immunitaire inné.
Monocytevignette|Monocytes Les monocytes sont des globules blancs présents dans le sang qui évoluent en passant dans les tissus biologiques en : macrophages (ostéoclastes, microgliocytes, histiocytes, macrophages alvéolaires (poumons), cellules mésangiales (reins), cellules de Kupffer (foie), macrophages péritonéaux (péritoine) et cellules de Hoftbauer (villosités du placenta)) cellules dendritiques ou DC pour Dendritic Cell (cellules de Langerhans (peau), DC plasmacytoïdes (tissus conjonctifs et Organes Lymphoïdes
Système immunitairevignette|Un lymphocyte, principale composante du système immunitaire adaptatif des vertébrés. Le système immunitaire d'un organisme est un système biologique complexe constitué d'un ensemble coordonné d'éléments de reconnaissance et de défense qui discrimine le soi du non-soi. Ce qui est reconnu comme non-soi est détruit. Il protège l'organisme des agents pathogènes : virus, bactéries, parasites, certaines particules ou molécules « étrangères » (dont certains poisons), mais est responsable du phénomène de rejet de greffe.