Glande salivaireLes glandes salivaires produisent la salive qui est le liquide qui baigne la bouche. La salive a pour rôle d'humidifier les muqueuses du système digestif supérieur, de participer aux premières étapes de la digestion et de faciliter la progression des aliments du pharynx à l'œsophage et à l'estomac (voire éventuellement comme moyen de défense). Les glandes salivaires sont des glandes à mode de sécrétion exocrine. Par définition, les glandes salivaires produisent la salive utile à l'hygiène buccale, à la gustation et à la digestion.
Salivevignette|upright=1.5|Sécrétion de la salive dans les canaux des glandes salivaires. La salive est un liquide biologique sécrété par les glandes salivaires, à l'intérieur de la bouche chez la plupart des animaux. La salivation est la production de la salive, tandis que l'insalivation est l'imprégnation des aliments par la salive au cours de leur passage dans la bouche et de leur mastication. Certains animaux ont une salive pouvant devenir allergène pour l'humain (après une morsure de tique par exemple).
Salivary gland diseaseSalivary gland diseases (SGDs) are multiple and varied in cause. There are three paired major salivary glands in humans: the parotid glands, the submandibular glands, and the sublingual glands. There are also about 800–1,000 minor salivary glands in the mucosa of the mouth. The parotid glands are in front of the ears, one on side, and secrete mostly serous saliva, via the parotid ducts (Stenson ducts), into the mouth, usually opening roughly opposite the second upper molars.
Interaction protéine-protéinethumb|upright=1.2|L'inhibiteur de la ribonucléase en forme de fer à cheval (en représentation « fil de fer ») forme une interaction protéine–protéine avec la protéine de la ribonucléase. Les contacts entre les deux protéines sont représentés sous forme de taches colorées. Une Interaction protéine–protéine apparait lorsque deux ou plusieurs protéines se lient entre elles, le plus souvent pour mener à bien leur fonction biologique.
Protéineredresse=1.36|vignette|Représentation d'une protéine, ici deux sous-unités d'une molécule d'hémoglobine. On observe les représentées en couleur, ainsi que deux des quatre molécules d'hème, qui sont les groupes prosthétiques caractéristiques de cette protéine. redresse=1.36|vignette|Liaison peptidique –CO–NH– au sein d'un polypeptide. Le motif constitue le squelette de la protéine, tandis que les groupes liés aux sont les chaînes latérales des résidus d'acides aminés.
XérostomieLa xérostomie est un état de sècheresse de la bouche, lié à un manque de salive autrement dit à une hyposialie. Les causes peuvent être : dysfonctionnement des glandes salivaires ; médicamenteuse : anorexigènes, anti-hypertenseurs, atropiniques, antidépresseurs, antispasmodiques, sédatifs, antiparkinsoniens, antipsychotiques anticholinergiques (ex: cyamémazine) antihistaminiques, diurétiques, anti-migraineux, amphétamines, méthamphétamine, cannabis ; syndrome de Goujerot-Sjögren ; sarcoïdose ; dysfonctionnement immunitaire : sida.
SojaLe soja, nommé soya au Canada (Glycine max (L.) Merr.), est une espèce de plante annuelle de la famille des légumineuses (Fabaceae), originaire d'Asie orientale. Le soja cultivé Glycine max a accumulé une diversité génétique prodigieuse depuis sa domestication. Il en existe de nombreuses variétés, se différenciant notamment par le port, la couleur des graines, la période de floraison. Les fruits sont des gousses velues, contenant en général 2 à 4 graines, comestibles après trempage et cuisson.
Repliement des protéinesthumb|right|300px|Repliement des protéines Le repliement des protéines est le processus physique par lequel un polypeptide se replie dans sa structure tridimensionnelle caractéristique dans laquelle il est fonctionnel. Chaque protéine commence sous forme de polypeptide, transcodée depuis une séquence d'ARNm en une chaîne linéaire d'acides aminés. Ce polypeptide ne possède pas à ce moment de structure tridimensionnelle développée (voir côté gauche de la figure).
Résistance des plantes aux maladiesvignette|upright=2|Les plantes n'ont qu'un système immunitaire inné qui repose sur deux niveaux : le premier appelé PTI est une résistance non spécifique induite par les éliciteurs des pathogènes et implique une réponse qui limite la croissance du pathogène. Le second appelé ETI est une résistance spécifique qui se traduit par une réponse plus forte s'accompagnant le plus souvent d'une mort des cellules végétales par apoptose ou nécrose au niveau du site d'infection (réponse hypersensible).
Glycan-protein interactionsGlycan-Protein interactions represent a class of biomolecular interactions that occur between free or protein-bound glycans and their cognate binding partners. Intramolecular glycan-protein (protein-glycan) interactions occur between glycans and proteins that they are covalently attached to. Together with protein-protein interactions, they form a mechanistic basis for many essential cell processes, especially for cell-cell interactions and host-cell interactions.