Philosophie du langageLa philosophie du langage est la branche de la philosophie qui s'intéresse aux langages, et plus particulièrement à la signification, à la référence ou au sens en général, à son usage, à son apprentissage et à ses processus de création, ainsi qu'à sa compréhension, à la communication en général, à l'interprétation et à la traduction.
Éthiquethumb|L'éthique s'intéresse depuis toujours aux moyens de répartition des richesses. L'éthique est une discipline philosophique portant sur les jugements moraux et dont le concept est donc très proche de celui de la morale. On parle aussi de philosophie morale pour désigner cette discipline. C'est une réflexion fondamentale de tout peuple afin d'établir ses normes, ses limites et ses devoirs.
Sciences des religionsLes sciences des religions sont un domaine des sciences humaines et sociales. L'expression est généralement usitée au pluriel. Il n'existe pas à proprement parler « une » science des religions, mais des approches pluridisciplinaires du religieux en sociologie, anthropologie, psychologie, philosophie, art et littérature, etc. Les sciences religieuses sont les diverses sciences appliquées aux religions dans une option non théologique : philologie, linguistique, histoire littéraire, exégèse, sociologie, anthropologie, archéologie, etc.
FolkloreLe folklore (de l'anglais folk, peuple et lore, savoir, connaissances, science) est l'ensemble des productions collectives émanant d'un peuple et se transmettant d'une génération à l'autre par voie orale et par imitation. Ces arts et traditions populaires comprennent la culture littéraire (contes, récits, chants, musiques et croyances), figurative (rites, costumes, danses, décors, représentations), et matérielle (habitation, outillage, techniques, instruments, etc.).
IrréligionL’irréligion ou l’irreligionisme est toute opinion philosophique qui refuse le principe de culte religieux. Dans les faits, ce terme englobe des notions très diverses : l'athéisme, l'agnosticisme, le déisme, le scepticisme, la libre-pensée, voire le théisme philosophique. En statistique, la notion se traduit simplement par l'expression « sans religion » dans les questionnaires.
ConnaissanceLa connaissance est une notion aux sens multiples, à la fois utilisée dans le langage courant et objet d'étude poussée de la part des sciences cognitives et des philosophes contemporains. Les connaissances, leur nature et leur variété, la façon dont elles sont acquises, leur processus d'acquisition, leur valeur et leur rôle dans les sociétés humaines, sont étudiés par une diversité de disciplines, notamment la philosophie, l'épistémologie, la psychologie, les sciences cognitives, l'anthropologie et la sociologie.
MétaphysiqueLa métaphysique est la branche de la philosophie qui étudie la nature fondamentale de la réalité. Elle s'intéresse à des concepts tels que l'être et l'identité, l'espace et le temps, la causalité, la nécessité et la possibilité. Elle comprend notamment des questions sur la nature de la conscience et la relation entre l'esprit et la matière, ou entre la substance et l'attribut. La métaphysique est considérée comme l'une des quatre principales branches de la philosophie, avec l'épistémologie (ou théorie de la connaissance, ou encore gnoséologie en un sens plus large), la logique et l'éthique.
Psychologie socialeLa psychologie sociale est la branche de la psychologie expérimentale qui étudie de façon empirique comment « les pensées, les émotions et les comportements des individus sont influencés par la présence réelle, imaginaire ou implicite d'autres personnes ». Dans cette définition, proposée initialement en 1954 par Gordon Allport, les termes « présence imaginaire ou implicite » indiquent que l'influence sociale indirecte est possible, même en l'absence physique d'autres individus, par l’intermédiaire de normes sociales perçues ou intériorisées.
Éthique de la vertuLéthique de la vertu est une expression utilisée en philosophie morale contemporaine, afin de la distinguer de deux autres courants majeurs de l'éthique normative : la morale déontologique, qui insiste sur le devoir moral propre à l'action, et le conséquentialisme, qui insiste sur les conséquences de l'action. L'éthique de la vertu insiste sur l'importance des traits caractéristiques d'une personne, et prête ainsi davantage attention à ce qu'on considère habituellement sous le nom de vertus.
Histoire des religionsthumb|upright=1.1|right|Chronologie de quelques religions, organigramme provenant de l'ouvrage de Baladier, Charles et Lapierre, Jean-Pie, (dir.), La petite encyclopédie des religions, Éditions du regard : Paris, 2000, 239 p. L'histoire des religions fait partie des sciences humaines et sociales ayant pour objet d'étude les religions, définies ici comme un ensemble de croyances (parfois considérées comme révélées) de textes, pratiques rituelles et morales organisées dans un cadre social, et bénéficiant, le plus souvent, d'une reconnaissance officielle, permettant de relier un individu ou une communauté à une entité surnaturelle.